Les enfants qui chantent en première, deuxième et troisième année ont 20 % plus de capacités que les autres, apprenons-nous dans les Bulletins électroniques.
De plus, ces enfants écriraient mieux et vivraient une meilleure intégration sociale.
Le docteur Idit Sulkin, membre du Laboratoire de sciences musicales du département d’arts à l’Université Ben Gourion, a démontré ce lien par une étude qui a duré cinq ans.
Au départ, il s’intéressait à l’intérêt que les enfants avaient à partir de l’âge de sept ans pour le chant et les jeux de mains. Ces activités disparaissent à l’âge de 10 ans pour être remplacées par le sport.
Il a visité des classes de maternelle et du primaire, en plus de chanter avec les enfants, et ce, sur une période de 10 semaines.
En conclusion, le Dr Sulkin propose que le chant fasse partie de l’éducation des enfants de 6 à 10 ans à titre d’entraînement cognitif et moteur.