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Cinéma

Sony compte sortir un film sur les Angry Birds à l’été 2016

Sony a acquis les droits de distribution pour réaliser un film basé sur le célèbre jeu vidéo Angry Birds, qui devrait sortir le 1er juillet 2016, a annoncé le géant japonais de l’électronique.

Le film sera produit et financé par la société finlandaise de logiciels Rovio, créatrice du jeu, qui souhaite garder un contrôle complet sur le produit final.

« Sony nous a impressionnés par son attitude, sa détermination et son professionnalisme », a déclaré Mikael Hed, le PDG de Rovio Entertainment. « Ils nous ont convaincus que nous avions trouvé les bons partenaires et la bonne équipe pour nous aider à produire et distribuer notre premier film. »

Pour la production du film, Rovio a recruté John Cohen, producteur du film d’animation Despicable Me, et David Maisel, ancien président de Marvel Studios, comme producteur exécutif.

Angry Birds, qui consiste à catapulter des oiseaux en colère contre les échafaudages construits par des cochons verts ayant volé leurs oeufs, est devenu une des plus grosses franchises de jeux vidéo depuis son lancement sur téléphones intelligent en 2009.

Ce film d’animation en 3D doit permettre à Rovio de créer son propre studio d’animation et de peut-être rivaliser avec les studios Disney, avait expliqué en décembre Mikael Hed.

« Si ça se passe bien, c’est ce qui va arriver. Nous sommes en train de nous organiser pour pouvoir continuer à produire des films après celui-ci », avait-il ajouté.

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Quelques trucs pour amuser notre enfant lors d’un séjour à l’hôpital

Voici quelques idées suggérées par Parenting Squad :

La technologie – Bien sûr, elle est en tête de liste, parce qu’il existe plusieurs options possibles et que cela peut occuper votre enfant pendant des jours. Du Nintendo DS au iPad, il y a une myriade de jeux pour son divertissement.

Les LEGO – Ils sont beaucoup plus créatifs que les jeux vidéo, et vous pouvez également y prendre part. Pour les plus ingénieux, cela peut les tenir occupés de longues heures.

Soyez créatifs avec les livres – Il y a les livres à colorier, à peindre à l’eau, avec autocollants, à découper, avec bulles à compléter pour créer des histoires. Également, si l’enfant a des devoirs, vous pouvez profiter de l’occasion pour l’aider.

Jeux de table et de cartes – Non seulement votre enfant sera diverti, mais vous pouvez en profiter pour jouer lorsqu’il y a des invités, pour garder la bonne humeur au rendez-vous et faire passer le temps.

Nuit en camping – Il y a possibilité d’apporter une tente et des bracelets qui illuminent, avec une lampe de poche pour créer une nuit de camping dans la chambre.

L’important, c’est de lui faire oublier l’environnement morne de la chambre d’hôpital.

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Les jeux vidéo violents seraient liés au comportement agressif et criminel

Des chercheurs ont analysé l’exposition à des jeux vidéo violents chez 227 enfants et jeunes considérés comme des délinquants juvéniles. Ceux-ci avaient en moyenne commis 9 actes de violence sérieux, comme se battre avec un gang de rue, frapper un parent ou encore attaquer une autre personne.

Les résultats montrent que la fréquence d’utilisation des jeux vidéo violents ainsi que l’affinité de ces jeunes avec ceux-ci étaient fortement liées avec le comportement délinquant et violent.

Selon les chercheurs, les jeux vidéo ne sont pas la seule cause de violence, et ces jeunes délinquants sont souvent exposés à de multiples facteurs. Il existe néanmoins un lien bien réel, affirment-ils.

Les parents ainsi que les autorités ont souvent tendance à minimiser l’influence de ces jeux, ce que déplorent les auteurs de l’étude, rapporte Science Daily.

« Lorsqu’on étudie l’agression sérieuse, il est important de regarder un ensemble de facteurs de risques plutôt qu’un seul. La recherche est en train d’essayer de comprendre quelle est la combinaison de facteurs de risques individuels qui s’influencent mutuellement pour arriver à augmenter ou à mitiger les probabilités d’agression », a expliqué Craig Anderson, professeur de psychologie à l’Université de l’Iowa.

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Les jeux vidéo peuvent aider les enfants dyslexiques

L’étude a été publiée dans le journal scientifique Current Biology et correspond à la deuxième phase d’une recherche d’une même équipe italienne, qui a déjà établi que la dyslexie serait due à des problèmes d’attention visuelle, plutôt qu’à des problèmes d’apprentissage du langage.

Ces chercheurs ont testé les habiletés de lecture, de phonologie et d’attention de deux groupes d’enfants dyslexiques, avant et après que ceux-ci aient joué à des jeux vidéo durant 9 périodes de 80 minutes.

Ceux qui avaient joué aux jeux vidéo basés sur l’action étaient capables de lire plus vite, sans pourtant perdre de l’exactitude, et ils ont également fait des gains au niveau de l’attention.

« Les jeux vidéo d’action peuvent accroitre plusieurs aspects de l’attention visuelle, en particulier l’amélioration de l’extraction d’information dans l’environnement. Les enfants dyslexiques de notre étude ont appris à orienter et à concentrer leur attention de manière plus efficace, pour ainsi extraire l’information pertinente d’un mot plus rapidement », a noté le professeur Andrea Facoetti, selon ce que rapporte Science Daily.

Jusqu’à un enfant sur 10 aurait une forme de dyslexie, qui rend la lecture difficile.

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En Nouvelle-Zélande, un jeu vidéo aide les ados à combattre la dépression

(AUCKLAND (Nouvelle-Zélande)-AFP) – Parfois considérés comme abrutissants et facteurs d’enfermement, les jeux vidéo peuvent aussi aider les adolescents déprimés.

En Nouvelle-Zélande, un jeu mis au point par des psychiatres met en scène un monde imaginaire où le jeune sauve le monde du désespoir.

Plutôt que d’encourager à détruire pour le plaisir, le jeu SPARX cherche à apprendre aux adolescents à faire face à la dépression, sur la base d’une méthode thérapeutique dite comportementale et cognitive (CBT).

Tout aussi important, ses concepteurs ont voulu créer un outil ludique et captivant pour des patients souvent réticents à demander conseil, ou agacés par les recommandations des adultes.

Dans le monde imaginaire présenté par SPARX, le joueur entre dans la peau d’un avatar qui détruit les pensées négatives avec des boules de feu pour sauver le monde du désespoir et du pessimisme.

Directrice du projet, Sally Merry, pédopsychiatre à l’Université d’Auckland, explique que cette approche peu conventionnelle séduit les ados, car elle leur permet de faire face à leurs problèmes par eux-mêmes et à leur rythme.

« On n’est pas obligé de traiter des difficultés psychologiques de manière effroyablement sérieuse », dit-elle. « La thérapie ne doit pas forcément être déprimante en elle-même, on peut aussi s’amuser ».

Parmi les pays riches, la Nouvelle-Zélande est un de ceux qui arrivent régulièrement en tête en matière de suicide chez les jeunes, selon des études internationales. Et Sally Merry veut rendre plus accessible le traitement à cette maladie.

« La dépression chez les jeunes est un phénomène international. C’est fréquent et la plupart du temps, on ne la soigne pas », indique-t-elle.

Le jeu vidéo compte sept niveaux d’une quarantaine de minutes chacun — une durée similaire aux traditionnelles consultations avec un praticien — et s’adresse aux adolescents âgés de 13 à 17 ans.

Aidé par un guide, le joueur évolue au sein des différents niveaux, qui à chaque fois apportent au joueur des solutions pour mieux gérer la colère, résoudre les conflits ou apprendre à se relaxer avec des exercices de respiration.

Au fil des étapes, l’univers dans lequel il avance devient plus lumineux et moins menaçant.

Les résultats d’un essai clinique publiés en début d’année dans le British Medical Journal montrent que ce jeu vidéo est aussi efficace pour lutter contre la souffrance que des consultations en tête à tête avec un psychothérapeute.

SPARX a suscité l’intérêt des États-Unis, du Canada, de l’Australie et de la Grande-Bretagne, ainsi que d’autres pays non anglophones qui veulent le traduire.

 

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Les jeux vidéo à la rescousse des autistes

À la Steuart W. Weeler Elementary School, près de Washington, des enfants atteints de trouble du spectre autistique bénéficient de jeux vidéo en classe qui leur permettent de faire des choses qu’ils ne peuvent généralement pas faire.

Ces jeux aident les enfants à développer une meilleure coordination, à prendre conscience de leur corps ainsi qu’à coopérer entre eux.

L’un de ces jeux, bien connus de tous les enfants, autistes ou non, est la Kinect. En fait, les chercheurs, thérapeutes et enseignants spécialisés disent avoir vu des résultats prometteurs chez les enfants après avoir installé ce type de console dans leur classe.

Dans plusieurs cas, selon le docteur Dan Stachelski du Lakeside Center for Autism d’Issaquah, les enfants autistes interagissent plus facilement avec un avatar à l’écran qui imite leurs mouvements puisque le monde virtuel est plus prévisible et moins menaçant que la vraie vie.

« Pour les enfants autistes, il y a une certaine maladresse sociale et une incapacité à reconnaître les émotions et à réagir face à ces émotions et aux indices verbaux de la bonne façon », explique le professeur David Chesney de l’Université du Michigan.

Son groupe a créé Tickle Monster, un jeu exprès pour les autistes qui consiste à créer une créature et à apprendre de ses expressions faciales.

Rappelons que les spécialistes estiment qu’un enfant sur 88, âgé en moyenne de 8 ans, souffre d’un trouble du spectre autistique (TSA). Les statistiques auraient triplé depuis 2002.

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Jeux vidéo violents dommageables pour les enfants du primaire

Les jeux vidéo violents ne sont pas présents uniquement sur les consoles de jeu. On peut facilement en trouver sur Internet. Or, de plus en plus d’enfants se retrouvent avec un ordinateur dans leur chambre, et ce, même lorsqu’ils sont âgés de moins de 13 ans.

Selon Independent.co.uk, de nombreux professeurs avisent les parents d’effectuer un contrôle plus efficace sur ces jeux auprès de leurs enfants, tant au niveau du jeu lui-même que du temps passé à y jouer.

L’Association of Teachers and Lecturers (ATL) au Royaume-Uni affirme que certains enfants, à l’insu de leurs parents, restent devant leur écran d’ordinateur jusqu’à minuit, voire plus tard, et les effets dommageables se font sentir sur leur qualité de sommeil et par la suite, au niveau du comportement scolaire.
 
Cette problématique, qui est étudiée par les divers ministères du Royaume-Uni afin d’émettre une législation plus adéquate pour empêcher les enfants d’avoir accès à ces jeux, concerne néanmoins les parents à l’échelle mondiale.
 
Mary Bousted, secrétaire générale de l’ATL, affirme que « certains jeux sont si violents qu’ils ont un effet direct sur le comportement des enfants de 6 à 12 ans. Leurs interactions sont si limitées avec les autres enfants qu’ils en oublient les bonnes manières ».
 
La solution ne consiste pas nécessairement au retrait de l’ordinateur, mais à l’instauration d’une protection parentale qui limite le contenu auquel l’enfant a accès. D’autre part, une vérification aléatoire devrait être effectuée afin de s’assurer que l’enfant se couche à l’heure souhaitée.
 
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Jeux vidéo : pas si efficaces que ça pour les enfants

L’étude intitulée Impact du jeu vidéo actif sur l’activité des enfants en bonne santé physique, publiée en ligne dans Pediatrics, montre en effet que l’activité physique des enfants n’est pas vraiment stimulée par ces jeux.
 
Pour arriver à ces conclusions, les auteurs ont suivi 87 enfants âgés de 9 à 12 qui ont joué à des jeux inactifs et actifs.
 
Les jeux actifs qui ont été donnés aux enfants incluaient la Wii Fit Plus et Dance Dance Revolution.
 
Un jeu vidéo actif est un jeu dans lequel les enfants font réellement de l’activité physique tout en jouant, comme la danse, les quilles, la boxe ou le tennis.
 
L’étude a montré que les enfants qui ont joué à des jeux actifs ne présentaient pas de niveaux plus élevés d’activité physique que ceux qui avaient joué à des jeux inactifs.

Par ailleurs, les chercheurs croient qu’en jouant à ces jeux, les enfants sont moins susceptibles d’être actifs à d’autres moments, comme en jouant dehors avec leurs amis ou en se joignant à une équipe sportive.

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Autisme : télévision et jeux vidéo, mais peu de réseaux sociaux

Ce n’est pas la première fois que les cliniciens et les parents entendent dire que les enfants atteints de troubles du spectre autistique (TSA) ont tendance à être fascinés par les écrans et la technologie.

Cependant, cette nouvelle étude, menée par des chercheurs d’une université du Missouri et publiée dans le Journal of Autism and Developmental Disorders, est la première à être réalisée à plus grande échelle.

Les spécialistes ont constaté que 64,2 % des enfants atteints de TSA passent la plupart de leur temps libre seuls, à regarder la télévision et jouer à des jeux vidéo et informatiques.

Il s’agit là de leur principale activité et leur préférée. Ce taux est d’ailleurs beaucoup plus élevé chez les autistes que chez ceux qui ont une autre forme de handicap.

D’autre part, les autistes sont moins susceptibles d’être socialement interactifs, de partager sur les réseaux sociaux, d’échanger et d’écrire des courriels (13,2 %).

Pour les chercheurs du Missouri, les prochaines analyses devront servir à en apprendre davantage sur les aspects positifs et négatifs de l’utilisation des médias chez les enfants atteints de TSA et chercher des moyens de mettre à profit les forces et les intérêts de ces derniers.

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Bannir la malbouffe : les Américains pourraient s’inspirer des Québécois

Des économistes de l’Université de l’Illinois se sont penchés sur l’effet qu’avait eu sur sa population l’interdiction de faire de la publicité aux enfants québécois pour de la malbouffe, entre 1984 à 1992.

C’est en comparant les provinces anglophones canadiennes au Québec que les chercheurs ont trouvé que réduire de 13 % la publicité reliée au fast-food chaque semaine permettait de consommer de 11 à 22 millions de repas gras en moins par an et ainsi éviter la prise de 2200 à 4400 millions de calories chez les enfants.

Bien que les résultats ne seraient pas aussi robustes qu’au Québec, l’interdiction pourrait être appliquée aux États-Unis. Pour nos voisins du sud, les chercheurs ne pensent pas que la modération a bien meilleur goût, et l’interdiction complète de publicité de malbouffe devrait être en vigueur.

Cependant, les chercheurs se disent inquiets de ne pas pouvoir atteindre leurs objectifs, puisque lorsque l’étude a été réalisée à la fin des années 80 au Québec, les jeunes regardaient moins la télévision et n’avaient pas accès aux jeux vidéo et à l’Internet comme c’est le cas aujourd’hui.

Un gros débat aux États-Unis entoure la façon de faire au Québec qui est d’interdire la malbouffe dans les publicités pendant les dessins animés ou sur des sites internet pour enfants, ou même sur l’emballage des produits dans les magasins.

Conscientes du problème croissant d’obésité, certaines entreprises alimentaires américaines de premier plan ont déjà signé pour limiter la publicité aux enfants.

Il semblerait qu’environ 11 milliards par année soient consacrés à la publicité pour malbouffe qui attire l’œil des enfants. La restauration rapide est l’une des catégories de produits les plus annoncées.