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Encore des conséquences des jeux vidéo

Il faudrait peut-être s’inquiéter des problèmes de santé à long terme liés à la technologie moderne. C’est ce que suggère une étude américaine ayant porté sur 257 jeunes.

Selon les résultats présentés au EULAR 2011 Annual Congress et sur EurekAlert, les appareils de jeux vidéo ainsi que les téléphones cellulaires causent des douleurs aux poignets et aux doigts des enfants.
 
Il semble en effet que l’usage excessif et prolongé de ces appareils technologiques engendre des problèmes aux jointures. De plus, on a remarqué, après investigation, que les douleurs étaient plus importantes quand les enfants jouaient avec un appareil Xbox ou Gameboy qu’avec un iPhone.

Finalement, la durée d’utilisation desdits appareils augmenterait la douleur. On évalue que la probabilité de se plaindre de douleurs est multipliée par deux pour chaque heure d’activité.

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Nouvel usage des jeux vidéo

Des chercheurs américains présenteront sous peu leurs découvertes quant à un jeu vidéo bien particulier.

Permettant l’apprentissage d’un langage extra-terrestre, ce jeu reproduit en fait les défis auxquels font face les enfants en apprenant un langage.
 
Visant à comprendre comment les sons du langage sont décodés, les chercheurs ont demandé à 77 participants adultes d’apprendre un langage extra-terrestre, donc inconnu, en jouant à un jeu vidéo.
 
En seulement deux heures, les participants pouvaient déjà extraire efficacement les catégories de sons, pour ensuite appliquer ces nouvelles connaissances à l’avancée du jeu.

Mieux comprendre comment nous apprenons à parler permettrait de traiter la dyslexie ou d’apprendre plus facilement une autre langue, par exemple. On pourrait aussi trouver des solutions à certains problèmes de communication.

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Les jeux vidéo augmentent la consommation de nourriture

Pour la première fois, des chercheurs se sont penchés sur les effets des jeux vidéo sur l’alimentation. Non seulement ils favorisent une prise de poids en raison du fait qu’ils sont en majorité des activités statiques, les jeux vidéo causent également une plus grande consommation alimentaire.
 
22 adolescents ont participé à cette étude dirigée par Jean-Philippe Chaput de l’Université d’Ottawa. Ils ont joué à la Xbox 360 et ont eu des pauses d’une heure. Ensuite, des repas à volonté ont été offerts, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
On a remarqué qu’après une séance de jeux, leur rythme cardiaque, leur tension artérielle, leur tonus sympathique et leur charge de travail mental étaient beaucoup plus élevés. Le plus surprenant a été de constater que malgré le fait qu’aucun jeune n’a affirmé avoir plus faim, ils ont tous mangé plus de nourriture après avoir joué à des jeux vidéo.
 
Les experts croient que le stress pourrait expliquer ce phénomène. « Dans la vraie vie, les jeunes peuvent jouer quatre ou cinq heures aux jeux vidéo. Ils peuvent jouer avec des amis, et on sait qu’on mange plus dans un contexte social. Ils peuvent aussi manger pendant la séance de jeu, alors que nous ne leur donnions de la nourriture qu’après. La prise alimentaire réelle pourrait donc être plus grande encore. Manger, c’est une récompense ou une compensation pour le cerveau à la suite du stress subi. On a souvent tendance à manger des aliments sucrés et gras. L’une de nos hypothèses, c’est que, à cause du travail mental, il y a une combustion du glucose, qui est le substrat principal du cerveau. Manger serait un mécanisme de réaction normal du corps pour refaire ses réserves de carburant afin de bien fonctionner », explique Jean-Philippe Chaput à La Presse.
 
La prochaine étude portera cette fois sur les jeux actifs de style Wii, pour savoir si ce type incite également à manger davantage. Si c’est le cas, il n’y a donc pas de bénéfices en fin de compte.
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Les enfants ne bougent pas, les parents non plus

On apprend sur Canada.com que si les enfants d’aujourd’hui ne bougent pas suffisamment, ce serait en grande partie la faute des parents.

C’est ce que révèle un récent sondage américain ayant porté sur 1 600 parents. Les répondants avaient un ou plusieurs enfants âgés de 5 à 10 ans.
 
Selon les résultats, plus de la moitié des enfants (58 %) passaient moins de 4 heures par jour à jouer dehors. La réponse des parents était qu’ils trouvaient plus simple de les asseoir devant la télévision.
 
De plus, lorsque ces derniers passaient du temps avec leur enfant, plusieurs jouaient souvent à des jeux vidéo, soit dans une proportion de 52 %.
 
Quand on leur demandait pourquoi leur enfant ne pratiquait pas un sport, les parents répondaient souvent que c’était pour une raison financière.
 
Pourtant, faire de l’exercice peut se faire gratuitement, rappellent les chercheurs. Il peut s’agir d’une simple marche. Atteindre 60 minutes d’activité physique peut se faire facilement. Il faudrait toutefois que les parents trouvent du temps pour leurs enfants, dans bien des cas.

Toujours selon les chercheurs, quelques minutes d’exercice, collées bout à bout, peuvent faire une différence dans la prévention des maladies.

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Les jeux vidéo, bons pour la santé

Il a été démontré par une équipe de l’Université du Massachusetts que certains jeux vidéo pouvaient demander un effort physique non négligeable. Pour tirer cette conclusion, 39 enfants d’âge scolaire ont été suivis. Les jeunes participants devaient jouer à six jeux interactifs de type Nintendo Wii.

Précisément, les enfants devaient jouent 90 minutes, 2 fois par semaine, à chacun des 6 jeux suivants en rotation : Dance Dance Revolution, LightSpace (Bug Invasion), Nintendo Wii (Boxing), Cybex Trazer (Goalie Wars), Sportwall et Xavix (J-Mat).

En comparant l’effort demandé en marchant pendant une heure à une vitesse d’un peu moins de cinq kilomètres à l’heure, il en est ressorti que le jeu vidéo correspondait à une plus grande dépense énergétique.

Jouer à des jeux vidéo de ce genre revient donc à pratiquer une activité physique modérée à vigoureuse, ce qui permet aux enfants de garder la forme. Ils poussent les enfants à bouger et à dépenser de l’énergie.

Les chercheurs de cette étude parue dans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine soutiennent même que ces jeux pourraient constituer une nouvelle avenue pour la pratique traditionnelle de l’exercice physique, et ce, pour les enfants de tout indice de masse corporel.

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Les jeux vidéo violents ne sont pas trop mauvais à long terme

De nombreux parents et chercheurs se sont longtemps inquiétés que les jeunes enfants qui sont exposés à des jeux vidéo violents puissent être désensibilisés face à des actes et des images de violence. Toutefois, Babycenter.com révèle qu’une nouvelle étude suggère que cela pourrait ne pas être le cas.

Des chercheurs canadiens qui ont comparé des joueurs et des non-joueurs ont découvert qu’à long terme, les joueurs étaient tout aussi susceptibles de se souvenir d’images négatives dans des tests de mémoire et à démontrer le même niveau d’émotion en réaction à des images négatives que les non-joueurs.

L’auteure de cette étude, Holly Bowen, a déclaré : « Les sujets qui jouent aux jeux vidéo ne se différenciaient pas, en ce qui concerne la mémoire et l’éveil physique, à ceux qui n’y jouent pas. De plus, il n’y avait pas de différence entre la façon dont les sujets de chacun des groupes se sentaient après avoir vu des images négatives ou violentes. »

Soulignons que les jeux vidéo sont très différents de la violence à la télévision et dans des films, puisque les joueurs sont activement impliqués dans l’agression, lorsqu’il s’agit d’un jeu.

Rappelons que des études précédentes suggéraient que les jeux vidéo violents pouvaient mener à un comportement plus agressif et irritable, en plus de désensibiliser les jeunes à la violence.

Toutefois, Bowen souligne que la plupart de ces recherches avaient été effectuées rapidement après l’exposition au jeu vidéo, ce qui pourrait ne pas être représentatif à long terme.

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Les jeux vidéo sont bons pour les filles

Les jeux vidéo ont été pointés du doigt pour induire des problèmes de santé. Or, une nouvelle étude contredit en partie les idées précédentes.

En effet, selon des chercheurs de l’École de la famille de l’Université de Brigham, il serait bénéfique pour les jeunes filles de jouer aux jeux vidéo, à la condition toutefois qu’elles jouent avec un parent.

Leur étude, parue dans le Journal of Adolescent Health, stipule que les filles jouant à ces jeux en compagnie d’un parent ont un meilleur comportement, se sentent plus près de leur famille et ont une meilleure santé mentale.

Ces données sur les jeunes filles de 11 à 16 ans nous apprennent aussi une autre vérité : les filles jouent autant que les garçons aux jeux vidéo. Pourtant, l’effet ne semble pas être le même chez les uns et chez les autres.

Chez les garçons, dans le cadre de la présente étude, on n’a remarqué aucune relation entre leur comportement et le fait qu’ils jouent à ce type de jeu avec un parent ou non.

On constate par ailleurs, après avoir suivi 287 familles, qu’il s’agit d’une activité père-fille dans la très grande majorité des cas.

Donc, la différence des répercussions pourrait s’expliquer par l’effet positif du temps passé par un parent avec ses enfants, sans que ce soit nécessairement en lien avec les jeux vidéo seulement.

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Les jeux vidéo favoriseraient des problèmes de santé mentale

Une étude de l’Université de l’État de l’Iowa a établi certains paramètres psychologiques qui seraient à l’origine de l’emploi excessif des jeux vidéo.

En effet, si le jeu excessif peut mener à des problèmes psychiatriques, il semble que des symptômes déjà existants peuvent indiquer si un enfant développera ou non ces troubles.

Ayant porté sur 3 034 enfants, l’étude s’est étalée sur 2 ans. Sous forme de sondage, elle a eu lieu de 2007 à 2009 et ses résultats ont été récemment présentés dans Pediatrics.

Les chercheurs ont ainsi relevé comme symptômes pouvant mener au jeu pathologique l’impulsivité, les difficultés sociales, la dépression et les mauvais résultats scolaires.

Précisément, on a remarqué que plus un enfant était porté à jouer impulsivement, plus il avait tendance à montrer les autres symptômes.

D’autre part, les auteurs de l’étude en question reconnaissent que ces résultats auraient pu être plus poussés, en demandant l’avis des professeurs et des parents, par exemple.

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Les jeux vidéo ne rendent pas les jeunes plus violents

Une récente étude parue dans le Journal of Youth and Adolescence indique qu’aucun lien clair ne peut être établi entre les jeux vidéo et les agressions chez les jeunes.

Le Dr Christopher Fergusen de l’Université internationale A & M, au Texas, a dirigé l’étude en question.

Son groupe cible était composé de 302 participants âgés de 10 à 14 ans, lesquels vivaient au sein d’une communauté reconnue pour la violence chez les jeunes.

Ils ont été interviewés à deux reprises : au commencement de l’étude, puis 12 mois plus tard. Le Dr Fergusen a pris en compte l’exposition à la violence des jeux vidéo, au même titre que celle de leur vie normale.

Bien que certains des jeunes de l’étude aient été impliqués dans des actes violents (7 %), ni les jeux vidéo ni même la télévision n’auront encouragé de tels gestes.

Selon le Dr Fergusen, les indices à surveiller pour prévenir la violence seraient plutôt les symptômes dépressifs.

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Un lien clair entre les jeux vidéo et la violence

Une étude a en effet prouvé le lien entre l’agressivité des garçons et les activités qu’ils pratiquent, nous apprend MailOnline.

Des scientifiques affirment que jouer à des jeux vidéo violents ou regarder des émissions de télévision et des films du même genre rend vraiment plus agressif.

Pour ce faire, ils ont observé l’activité cérébrale de garçons âgés de 14 à 17 ans après qu’ils aient regardé des vidéoclips.

Les résultats ont été probants. Si l’effet sur l’activité du cerveau est visible, il semble en plus qu’à la longue, les sujets soient moins affectés par ce qu’ils voient.

Les enfants deviendraient moins sensibles à la violence au fur et à mesure qu’ils en voient, ce qui pourrait les pousser à commettre de tels actes sans penser aux conséquences.

De plus, les films avec peu ou aucune violence ont retenu l’attention des garçons. Cela signifie que la perte d’intérêt remarquée avec les films violents n’était pas due à la perte d’attention pour l’histoire en général.

Il semble donc que plus ils en consomment, plus les enfants deviennent insensibles à la violence.