Pendant que le Canadien parle d’un problème d’attitude au sein de son organigramme, les Jets de Winnipeg, l’équipe du Canada qui a le plus de chances de ramener le précieux trophée argenté, ont de l’attitude, eux. Joe Morrow a rejoint ce groupe lors de la date butoir. Morrow n’est certes pas un acteur principal, mais il a quand même inscrit son premier filet en séries depuis le début de sa carrière.
Lorsque Morrow est apparu soudainement à travers ce groupe, il a rapidement été mis à l’aise. Le capitaine là-bas, Blake Wheeler, semble remplir son mandat à la perfection. Morrow a encensé cette bande, et à travers ses dires, sans être une pointe envers le Canadien, on comprend que c’est fort différent entre les deux vestiaires.
"That’s what you grow up needing in a team."
Super Bowl parties, fighter jet buckets, but no kooky trust falls: Why the Winnipeg Jets believe they can go all the way: https://t.co/QDa5OPBeOI #WPGWhiteout pic.twitter.com/KfhXr6Q3mi
— luke fox (@lukefoxjukebox) April 19, 2018
« C’est une équipe si soudée ICI. Je pense que certains des gars étaient plus excités pour moi que moi-même je l’étais (après mon premier but). C’est ce que vous voulez dans une équipe. C’est ce dont vous avez besoin dans une équipe, surtout dans un vestiaire où les gens sont altruistes et heureux pour vous quand vous avez du succès, ça va faire en sorte que cette équipe ira loin! C’est la camaraderie. Même si quelqu’un a fait un mauvais jeu, je n’ai jamais entendu quelqu’un dans cette équipe parler négativement envers quelqu’un, ce qui est énorme. Par le passé, j’ai entendu cela et ça fait baisser l’élan et l’humeur d’une équipe. Ici, c’est tellement positif. » – Morrow
Donc, la direction et les boys du Canadien se doivent absolument de lire ce passage, où Joe Morrow parle de « différence ».
Cette équipe peut également compter sur un noyau de meneurs très puissant, dont font partie Wheeler, Dustin Byfuglien et Mark Scheifele. D’ailleurs, Wheeler est en train d’installer la passion du hockey de son Minnesota natal dans le vestiaire des Jets. Et ça, c’est sans compter le leadership qu’exerce Connor Hellebuyck devant la cage.
Quelle équipe! Le Canadien a encore beaucoup de croûtes à manger!
En rafale
– C’est possible d’apprendre à aimer Brad Marchand.
Excellent texte de Marchand: "Maybe it was my size, or just the way I was born, but I’ve always felt like you have to be willing to do anything ? literally anything ? in order to win. Even if that means being hated."
Moi, j’adore.
https://t.co/P7jVg66IMN via @playerstribune— Jonathan Bernier (@JBernierJDM) April 19, 2018
– Une autre belle histoire.
Le parcours qui a mené à la première d’une multitude de victoires en séries éliminatoires de la Coupe Stanley, lundi soir, a commencé avec quelque chose de simple: une entrevue d’embauche il y a huit ans. https://t.co/mPXeFHNX4r
— Athlétique Montréal (@AthletiqueMTL) April 19, 2018
– Selon Patrik Laine, il est un petit gars sage.
Patrik Laine gets asked if he feels any wiser now that he’s 20.
?No. I’ve always been wise.? #jets— luke fox (@lukefoxjukebox) April 19, 2018
– Sidney Crosby versus son meilleur chum, Marc-André Fleury.
When Crosby & Fleury are the faces of the NHL’s stats page. #StanleyCup pic.twitter.com/1nVS9avZpS
— Matthew Macaskill (@Habsology) April 19, 2018