Après avoir été accusé par un directeur de location de l’avoir frappé à deux reprises en marge du tournage du film City of Lies, Johnny Depp affirme maintenant avoir agi en légitime défense.
Confirmant donc du même coup de manière indirecte avoir bel et bien usé de violence contre le plaignant, Gregg Brooks, Johnny Depp plaide avoir craint pour sa sécurité et celle de son réalisateur, Brad Furman, dans des documents légaux obtenus par The Blast.
Ce dernier avait d’ailleurs défendu Depp lors du dépôt de la plainte par Brooks, qualifiant l’acteur de « professionnel » et toute l’affaire de non-histoire.
Gregg Brooks affirme et maintient toutefois que Johnny Depp crée un environnement hostile sur les plateaux, et qu’il l’a frappé gratuitement à deux reprises dans les côtes avant de lui offrir 100 000$ pour le cogner au visage.
L’affaire se poursuit.
Crédit photo : BANG/BIG