Étiquette : Jonathan Drouin

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Jonathan Drouin subit beaucoup de pression en ce moment

Puisque Jonathan Drouin a connu trois matchs consécutifs frôlant la catastrophe, et où son coach l’a indiqué en public samedi dernier, il est devenu rapidement la tête de Turc du Canadien de Montréal.

Lorsqu’il performe en fou comme il l’a fait pendant 3 ou 4 joutes au début du mois, il est le Dieu du stade, le « nouveau » Guy Lafleur.

Par contre, lorsque ça va moins bien et qu’il s’efface, ces mêmes personnes le qualifient de zéro… ou de Russe, comme l’a fait JP Bertrand lors d’une capsule des Partants.

Il le traite de Kovalev et Kovalchuk? puis d’une maudite boîte à surprise. Pourtant, le numéro 92 joue avec Brendan Gallagher, qui joue toujours le pied au plancher… Pour ajouter du poids aux propos livrés par Bertrand, Michel Bergeron a lui aussi piétiné sur les dernières performances de Jonathan Drouin, qui a laissé tomber son équipe, selon lui.

Félix Séguin a aussi mis son grain de sel dans le dossier « Drouin » en indiquant que celui-ci n’était peut-être pas le joueur qu’on rêve d’avoir.

Bâtard, je le répète une énième fois : tout le Québec l’encensait au début du mois. Tout le monde se disait qu’on avait enfin le joueur que l’on voulait dans la transaction qui a sorti Mikhail Sergachev de Montréal.

Pourquoi ne pas être indulgent envers lui? Pourquoi ne pas vivre avec ce qu’il est? Mine de rien, il se positionne très bien pour la moyenne de points par match chez les attaquants empochant entre 5 et 6 millions de dollars. Ça demeure une statistique non négligeable, non? Ce genre de statistique doit être pris en considération lorsqu’on évalue un joueur.

En tout cas, tout le monde admirait Alex Kovalev lors de son séjour à Montréal, donc pourquoi ne pas faire de même avec les qualités et les défauts de Jonathan Drouin?

En rafale

– Les Flames de Calgary recherchent des réponses à leurs questions concernant les gardiens de but. [Sportsnet]

– Quand celui à qui les spécialistes le comparent l’encense de haut en bas.

– Ces trois équipes-là sont en feu depuis le 14 janvier.

– Le ballotté du jour :

– Clairement la statistique du jour :

– Pas de filtre au sujet d’Anthony Duclair…

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Des critiques pour Jonathan Drouin

Comme c’est souvent le cas, les fans du CH deviennent plus négatifs après une ou deux défaites. Surtout quand l’équipe jouait au Centre Bell et qu’elle n’est parvenue qu’à inscrire un petit but en deux rencontres…

Les fans… Les journalistes… Les médias… Tout le monde cherche un coupable.

C’est souvent Carey Price.

Hier, la cible facile est certes Jeff Petry. Sa fancy pass à l’aveuglette directement dans l’enclave a coûté un point ou deux au Canadien.

Mais après la rencontre, plusieurs journalistes (et joueurnalistes) ont défendu Petry… Pour s’en prendre à Jonathan Drouin. Qu’est-ce qu’ils reprochaient à Drouin? De ne pas s’impliquer physiquement… D’éviter les contacts… De refuser de prendre une mise en échec afin de récupérer ou conserver la rondelle… De trop vouloir jouer de façon fancy et de prioriser les jeux de dentelle…

Arpon Basu (TheAthletic), François Gagnon (RDS), Éric Fichaud (TVA Sports) et Jean-Sébastien Giguère (TVA Sports).

« Drouin ne veut pas payer le prix. Il refuse de prendre la mise en échec pour faire un jeu et tant qu’il ne fera pas ça, il ne connaîtra pas de succès. Je peux comprendre que Jonathan, ce n’est pas sa game, mais il y a quand même un minimum. » – Éric Fichaud

Êtes-vous aussi critiques que ces quatre membres de la confrérie médiatique sportive montréalaise?

Vrai que Jonathan Drouin n’a que 28 mises en échec en 43 rencontres…

Mais il a aussi 33 points depuis le début de la saison, soit le deuxième plus haut total de l’équipe après son coéquipiers Max Domi.

Drouin pourrait-il en donner un peu plus physiquement par contre? Oui.

Pourrait-il accepter de prendre une mise en échec pour l’équipe quand ça compte? Assurément.

Reste qu’il a subi plusieurs commotions cérébrales et qu’il n’a certes pas envie d’imiter son ancien linemate Andrew Shaw, qui est à nouveau aux prises avec des maux de tête.

Jonathan Drouin est l’attaquant le mieux payé de l’équipe avec un cap hit de 5,5 millions $. Il n’a que 23 ans et il sera admissible à l’autonomie complète en juillet 2023. Il est en voie de connaître la saison la plus productive de sa carrière.

En rafale

– Charlie Lindgren ne semble pas prêt à revenir au jeu encore… Mais ça ne saurait tarder.

– Claude Julien n’a pas de problème avec la vengeance et le fait de se faire justice soi-même.

– Marc Bergevin a beaucoup de raisons de sourire suite au CMJ.

– Tant que ça?

–  Le conducteur du camion à l’origine de la tragédie de Humboldt a plaidé coupable.

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Jonathan Drouin et le lapsus de l’année

Bon jeudi matin! C’est la grande guignolée des médias aujourd’hui.

Soyez généreux(euses) si vous en avez les moyens.

Les joueurs du Canadien ont pris le train vers Ottawa hier après-midi.

Ils s’entraîneront ce matin au Canadian Tire Centre de Kanata. L’entraînement est prévu pour 11h30. #MorningSkate

Les hommes de Claude Julien tenteront ce soir (19h30, RDS) de remporter un deuxième match d’affilée pour la première fois depuis la mi-novembre (Calgary et Vancouver).

Il faudra espérer que Carey Price sera aussi solide que récemment, que Shea Weber continuera de resserrer la défensive, que les meilleurs attaquants de l’équipe (Drouin, Domi, Tatar, Kotkaniemi, Gallagher et compagnie) produiront encore…

Et que le power play se réveillera enfin.

L’avantage numérique affiche un pourcentage d’efficacité de seulement 14,6 % depuis le début de la saison #29eRangDansLaLNH

Les Sénateurs voudront venger leur défaite de mardi soir au Centre Bell. Y parviendront-ils? Tout dépendra de la productivité ou non de leurs meilleurs éléments offensifs (Duchene, Stone, Chabot et autres).

Non, les joueurs des deux équipes ne s’aiment pas beaucoup. Jonathan Drouin nous l’a rappelé hier.

Par contre, l’attaquant du Canadien y est allé d’un drôle de lapsus à la fin de sa quote média.

« On les déteste autant qu’ils se détestent entre eux! »

Bien évidemment, Drouin voulait dire que les joueurs du CH détestaient autant ceux des Sénateurs que ceux-ci les détestaient. Mais son lapsus a de quoi nous faire sourire… Après toutes les histoires qui sont sorties d’Ottawa au cours des derniers mois. #KarlssonVsHoffman #UberGate #RéputationDeCertains

Blague à part, il faut s’attendre à un match de grande qualité ce soir. La table a été mise pour ça en troisième période, mardi soir…

Revenons à Shea Weber…

Mathieu Dandenault et Stéphane Quintal ont tenu à défendre sa présence avec le Canadien. Sa présence à long terme…

Selon eux, Weber est un quart-arrière inspirant qui doit demeurer avec le Canadien qui doit demeurer avec le Canadien au moins encore quelques années. Il est ultra efficace sur la patinoire – on le voit présentement, malgré deux opérations et une absence de près d’un an – et il est capable de ramener dans les rangs des joueurs qui ont des écarts de conduite. #Attitude

Pas question d’échanger le #6 avant quelques années! Et puisque sa valeur sera plus basse dans ces quelques années, pourquoi ne pas le garder à Montréal jusqu’à la fin de sa carrière?

Surtout que si Marc Bergevin devait compléter une mauvaise transaction impliquant son capitaine, on ressortirait encore la transaction Weber vs Subban sur la place publique…

En rafale

– CMJ 2019 : Les Finlandais parmi les favoris malgré l’absence (probable) de Kotkaniemi et Tolvanen? Et Jacob Olofsson très polyvalent (et talentueux).

– Josh Brook a marqué un superbe but (quelle patience!) en plus de récolter une mention d’aide dans une défaite en prolongation des Warriors (6 à 5) hier soir. Il a obtenu pas moins de neuf lancers au filet! Brook a désormais 31 points en 23 matchs seulement depuis le début de la saison.

– Une quatrième ligne formée de Scherbak, de la Rose et McCarron serait-elle meilleure que notre quatrième trio actuel (Chaput, Agostino et Deslauriers/Peca)?

(Crédit: Twitter)

– Les rénovations du KeyArena ont été entamées hier à Seattle… Et la facture a déjà grimpé de 200 millions $ (pour atteindre 850 millions USD).

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Une histoire impliquant Jonathan Drouin et des croquettes est très cocasse

Jonathan Drouin s’est présenté la face dans une publicité de la chaîne McDonald’s et lors de son déplacement vers l’un des restaurants, il était impatient de voir la réaction des gens lors de sa commande de croquettes… aux personnes qui en mangent.

Il s’assoit ou passe à côté des gens en leur demandant s’il peut leur « piquer » une croquette. La plupart des gens répondent négativement et un jeune homme lui demande même de quitter puisqu’il trouve cela dérangeant. Le jeune adulte en question ne semble pas connaître le numéro 92 du bleu-blanc-rouge.

En visionnant le vidéo jusqu’au bout, on voit plusieurs personnes lui dire « oui » et un moment donné, il sort une paire de billets à un couple très sympathique. Ensuite, on voit les gens sourire, alors qu’il distribue des billets. Les gens le reconnaissent et une dame dit même : « Attends que je dise ça à mes élèves! »

Un beau moment. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que McDo s’associe à un joueur du Canadien de Montréal, ce qui donne un excellent boni en argent au joueur en question. Voici d’ailleurs la liste des McJoueurs au fil des ans :

– 2014 : Brendan Gallagher et Daniel Brière (hamburgers spéciaux)
– 2015 : Max Pacioretty (Big Mac à Boston) et Jeff Petry (poutine au smoked meat)
– 2016 : Alex Galchenyuk et Brendan Gallagher (le concours hamburgers sur mesure)
– 2017 : Shea Weber (Angus… la course conte le cheval)
– 2018 : Jonathan Drouin et son histoire avec les croquettes

Toutes ces publicités-là ont vraiment un petit quelque chose de charmant et cocasse.

En rafale

– Le linge sale doit encore se laver et cette fois-ci, il y aura certes des dommages collatéraux.

– Ce n’est assurément pas le même rêve qu’il vit en réalité…

– Eh ben! Les Islanders ne s’ennuient pas de John Tavares. John, qui?

– Le CH devra-t-il piger dans son club-école bientôt pour du renfort?

– Parce que ça, c’est vraiment drôle.

– C’est maintenant officiel.

– J’adore lorsque l’on me confie ce genre d’histoires singulières.

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Jonathan Drouin s’est confié au sujet de sa timidité offensive

Les bottines qui ne suivent pas les babines, on voit ça souvent chez un être humain. L’an dernier, Jonathan Drouin est débarqué comme un sauveur à Montréal, dans une transaction où Marc Bergevin a sacrifié Mikhail Sergachev.

Drouin devenait aussitôt la nouvelle flamme née au Québec qui évolue au sein de cette Sainte-Flanelle. Beaucoup de gens étaient emballés, dont le principal intéressé, qui avait hâte de relever ce défi avec brio.

Jonathan Drouin a finalement fait pouet pouet, tout comme Carey Price et le Canadien de Montréal. Un total de 46 points en 77 rencontres. Pas mal, mais loin d’être suffisant pour un joueur aussi talentueux.

On se disait, pour le défendre : « Oui, mais il joue au centre, il doit se soucier de sa défensive, ce qui étouffe sa ‘liberté’! »

Cette année, toute cette troupe s’arme chaque soir pour affronter l’ennemie et travailler de façon intense, sauf un. Jonathan Drouin. Il est la cible de quelques critiques et on a pu voir sur Twitter des amateurs le comparer à Scott Gomez. Ouch. Ça fait mal, ça! Aucun point en deux rencontres et un différentiel de moins-1… On peut dire que c’est pas mal frisquet dans son coin. Disons plutôt timide.

Le positif dans tout ça : Drouin est en mesure de se regarder dans le miroir en se blâmant lui-même, sans jeter ça sur la faute de Pierre, Jean ou Jacques.

Je pense que je n’étais pas assez impliqué. Dans un match, quand je n’obtiens pas mes chances, mes lancers ou mes passes, je sais que quelque chose ne fonctionne pas. C’est un nouveau trio pour moi donc je ne suis pas en train de paniquer ou rien. C’est à nous de mieux faire pour rejoindre le niveau des autres trios. On n’a pas mal joué non plus, mais on peut en donner plus que ça. Si on veut se classer parmi les bons trios de la LNH, on doit en faire un peu plus que ça! – Drouin

À partir de là, sa responsabilité est d’embrayer la seconde vitesse et devenir le leader de son trio. C’est à lui de permettre à ses coéquipiers de performer, d’être au niveau des autres combinaisons. Il doit se servir de la pression qu’il ressent pour justement atteindre le niveau de vedette, comme son ancien coéquipier Nathan MacKinnon a réussi à la faire à Denver.

D’ici le réveil, soyons indulgents.

En rafale

– Seattle, c’est le nom de la ville la plus populaire de la semaine.

– Le fait de parler de la ville de Houston peut être positif pour la ville de Québec.

– Ducharme et Richardson ont vraiment la cote auprès des joueurs.

– Bien, on est en droit d’y croire, avec ce qu’il démontre depuis qu’il est un membre du Canadien.

– Les Astros de Houston sont une dynastie des temps modernes.

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La promesse de Jonathan Drouin aux partisans

La saison 2017-18 a été un désastre. 

Ceux et celles qui prédisent une bonne saison au Canadien tout simplement parce que le club ne pourra pas faire pire que l’an dernier ne sont pas nécessairement de grands visionnaires. I

ls sont logiques et cartésiens. Il sera extrêmement difficile de faire pire que la saison dernière en 2018-19. 29 victoires en 82 matchs réguliers… Ce sera difficile à battre (négativement). Même avec Weber, Byron et Shaw sur la touche…

La question est de savoir où se situera le Canadien? Dans le dernier tiers de la LNH ou dans la course aux séries jusqu’à la fin? Parmi les pires clubs de la ligue ou devant ces pires clubs?

Pour connaître du succès, le Tricolore aura besoin de Carey Price, de Max Pacioretty (ou du joueur en retour de qui il sera échangé), de Max Domi, de Brendan Gallagher, de Jeff Petry…

Et de Jonathan Drouin!

Le joueur de centre #1 du Canadien avoue se sentir d’attaque. Il promet aux partisans qu’il sera, tout comme ses coéquipiers, bien meilleur la saison prochaine. Bref, on devrait voir un nouveau joueur dans le gilet #92.

Les 13 buts et 46 points seulement de Drouin n’ont clairement pas été satisfaisants. Lorsque tu joues au centre du premier trio et que tu gagnes plus de 5 millions $ par saison, on doit s’attendre à au moins 20 buts et 60 points. Minimum…

Et à un meilleur différentiel que moins-28!

Drouin croit que son année d’expérience au centre, dans un marché comme Montréal, l’aidera à exploser en 2018-19.

Il a aussi confié ne pas être blessé au(x) genou(x). Il n’a toutefois pas divulgué la raison qui l’a empêché de participer au Boot Camp cet été.

Si Drouin parvient à (enfin) faire parler son talent, il ne serait pas surprenant de voir le Canadien se battre pour une place en séries après Noël (et non pas être écarté du portrait en novembre comme la saison dernière).

Price… Drouin… Weber (lorsqu’il reviendra)… Domi… Pacioretty… Ils devront tous être meilleurs! Et Gallagher devra poursuivre sur sa bonne lancée. Parce que sinon, on aura droit à une autre saison pénible et interminable…

En rafale

– Le hockey devrait-il être joué plus souvent à 3 vs 3? [TSN]

– Je présume que le ou les chapitres sur Montréal seront intéressants…

– Je n’avais jamais rien vu de tel (et j’espère ne pas en revoir de sitôt).

– Les joueurs de l’Impact ne pourront pas se permettre de lever le pied s’ils souhaitent participer aux séries d’après-saison.

– Direction Alberta pour Sam Giguère!

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Jonathan Drouin veut jouer avec Anthony Duclair

Lors de la Classique de golf Phillip Danault, plusieurs joueurs québécois de la LNH étaient présents, dont Jonathan Drouin et Marc-Édouard Vlasic. Vlasic a d’ailleurs enchaîné sur son tweet de ce matin, où il stipulait qu’il ne manquait juste que la couleur de ses bobettes (en lien avec son nouveau manoir). Finalement, on a appris la couleur de son caleçon.

Outre les bobettes de Vlasic, certains propos de Jonathan Drouin ont été croustillants, dont ceux au sujet d’Anthony Duclair. S’il tenait les guides du Canadien, il n’hésiterait pas et il octroierait un accord à son ami. Par contre, il n’a aucun pouvoir décisionnel… La seule chose qu’il est en mesure de faire est d’encenser Anthony Duclair.

Duclair est un bon joueur avec une belle vision, un beau coup de patin. Il a prouvé qu’il est capable de marquer dans cette ligue. Ce serait l’fun de l’avoir, mais ce n’est pas moi qui vais décider. – Drouin

Avec Max Domi, qui a également été grandement comblé de louanges par Drouin, ça pourrait devenir un trio très menaçant. Avec deux « as » passeurs comme Domi et Drouin peut-être que Duclair pourrait retrouver ses repères.

Drouin n’a aucun doute au sujet de Max Domi : il pense que ça va l’aider de venir évoluer au sein d’une équipe qui siège dans un gros marché de hockey.

Évidemment, les journalistes ne se sont pas sauvés sans lui poser LA question du jour. Celle au sujet de John Tavares et son non-désir de rencontrer le Canadien. Qu’est-ce que Drouin peut dire d’autre que ça?

C’est sûr qu’on est déçus de ne pas avoir la chance d’amener un joueur comme ça ici! – Drouin

Puisqu’il est question de John Tavares, il ne resterait plus que trois équipes sur sa courte liste de six. Les Islanders, les Leafs et les Sharks sont les seules formations toujours dans cette course éreintante. Qui la remportera au final?

En rafale

– Ouais, l’attitude y était. On parle plus de ça que les résultats des espoirs.

– Eh ben…

– Un brin de positif chez le Canadien…

– Je crois que c’est une bonne chose. Mais les fanatiques de basket espèrent davantage.

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Jonathan Drouin n’est pas coupable

9 partisans du Canadien sur 10 croient que Marc Bergevin s’est fait fourvoyer dans la transaction Drouin-Sergachev.

Pour ma part, je me situe du côté du 1 sur 10. Oui.

Traitez-moi bien d’hurluberlu, ça m’est égal. Luke Fox, de Sportsnet, a jasé des plus grosses erreurs de Marc Bergevin en 2017 et 2018, puis il considère que la transaction Drouin en est une. Lors du moment de la transaction, les commentaires étaient peut-être 50/50, mais avec la saison de caca du 92, ce chiffre a gonflé du côté de Sergachev.

Cet échange a-t-il défini la campagne 2017-18? Certains avancent que OUI puisque le Québécois n’a pas connu une saison se rapprochant de nos attentes. Des attentes peut-être trop élevées au départ puisqu’aux yeux de plusieurs, il devenait le meilleur Québécois depuis Vincent Damphousse… ou même Guy Lafleur. Finalement, il s’est occupé de prendre les mises en jeu tout le long de cette saison… et ce fut une période d’adaptation pour celui-ci.

Pourquoi serait-il le seul coupable dans l’histoire?

Drouin a récolté un mince total de 42 points en 72 rencontres. On s’attendait certes à plus de sa part, mais dans les circonstances, c’est honnête. Si le Canadien avait arrêté de jouer à la tête de mule en le greffant à l’aile, le résultat aurait peut-être été plus reluisant. Moi, je n’en démords pas. C’est TRÈS difficile de s’adapter à une nouvelle position qui n’est pas naturelle, surtout lorsqu’un ailier doit soudainement devenir un premier centre.

De son côté Mikhail Sergachev a performé à la hauteur des attentes avec une récolte de 38 points en 74 joutes. N’oubliez pas une chose ici, le kid a passé du temps dans les gradins parce qu’on n’était pas satisfait de son jeu.

Avant de statuer officiellement concernant cette transaction, pouvons-nous attendre deux ou trois ans? Un bref échantillon n’est pas suffisant à mes yeux pour dire que MB s’est fait avoir sur celle-là!

En rafale

– J’espère que le Canada pensera à lui. Il a beaucoup trop de talent pour être ignoré!

– Alex Galchenyuk, pour sa part, a été invité afin de représenter les États-Unis.

– Brendan Gallagher a opté pour le repos, lui!

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Jonathan Drouin ne s’est pas entraîné adéquatement

On parle beaucoup de Jonathan Drouin, de sa saison froide et d’une position, celle de centre, avec laquelle il n’est pas réellement à l’aise. Dès que Marc Bergevin a acquis les services du Québécois l’été dernier, il a été vendu comme le centre d’impact que cette organisation cherche depuis trop longtemps.

Toutefois, le numéro 92 ne remplit pas son mandat et il a avoué, candidement, que sa préparation n’a peut-être pas été adéquate l’été dernier.

Selon Drouin lui-même, il a peut-être mis trop d’importance à ses muscles. Les jambes d’un joueur de centre doivent être dans une forme splendide puisqu’elles sont toujours mobiles. Comme ailier, les repos sont un peu plus fréquents sur la patinoire.

Voici une citation traduite par nos collègues de Habsolumentfan :

« Les centres dominants sont vraiment en forme. C’est difficile à dire si je suis rendu à cette étape, mais j’ai commencé l’année plus lourd que j’aurais dû en pensant que j’aurais à me battre le long de la rampe et dans le cercle des mises en jeu… »

Donc, Jonathan Drouin n’est pas VRAIMENT en forme? Il est très en forme, mais pas dans une forme de joueur de centre.

Drouin considère seulement qu’il ne s’est pas entraîné comme un joueur de centre… cette nouvelle position ne demande pas le même type d’entraînement qu’un joueur qui évolue à l’aile ou en défensive. Je me souviens qu’en compagnie de Max Pacioretty, il a travaillé très fort lors de la dernière période estivale.

Donc, si Drouin peaufine son prochain entraînement en vue de l’été… peut-être qu’il arrivera dans des conditions différentes en septembre prochain. À moins qu’on lui dise qu’il redeviendra un ailier? À suivre.

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Le Québec s’est-il trompé au sujet de Jonathan Drouin?

Le Québec a-t-il surestimé Jonathan Drouin? Depuis son acquisition l’été dernier, je vante ses mérites, son talent unique et sa passion pour la game.

Drouin réalise de plus grands tours de magie qu’Alain Choquette, mais jusqu’à présent, Choquette n’est pas en danger. Même s’il connaît une saison de misère, je continue de le défendre corps et âme lors de discussions avec mon paternel ou mes chums. J’utilise toutes les défaites du monde pour justifier ses performances peu éloquentes.

Bob Hartley l’a vivement critiqué hier, sur les ondes du 91.9 Sports, en citant que le Québécois était un babouneux de nature, qu’il était arrogant. Le coloré entraîneur n’a pas vraiment de trouble avec ça, pourvu que le 92 se présente sur la surface glacée pour jouer au hockey et non pour se traîner les bottines. L’attitude de Drouin démontre à quel niveau se situe celle du groupe. Hartley a terminé son discours comme lui seul peut le faire.

Enrico Ciccone a lui aussi décidé de frapper sur Jonathan Drouin. Il touche d’excellents points, donc celui-ci :

« Si tu décides de ne pas te présenter sur la glace, tu fais juste mal à ton boss! »

Que Claude Julien ou Marc Bergevin fassent n’importe quoi, si un gars décide de ne pas se donner, ils n’y peuvent rien… même en changer les trios ou en trouver de nouvelles stratégies. Drouin est loin du jeu, il n’est pas impliqué dans le jeu, il se laisse glisser, il applique les freins lorsqu’il arrive dans le coin. En ce moment, c’est ça Jonathan Drouin.

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