Étiquette : Jonathan Huberdeau

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Les joueurs des Flames détestaient l’environnement créé par Darryl Sutter

En perdant Matthew Tkachuck et Johnny Gaudreau après la saison 2021-22, on s’attendait à beaucoup de changements du côté des Flames de Calgary. Par contre, on ne s’attendait pas à les voir passer du 6e au 16e rang de la LNH. Un grand ménage était maintenant nécessaire. Le directeur général Brad Treliving a quitté l’équipe il y a quelques semaines et voilà que l’entraîneur-chef Darryl Sutter a été congédié.

Le départ de Treliving était mutuel, selon le président des opérations hockey et directeur général par intérim, Don Maloney. Renvoyer Sutter était toutefois une entière décision des Flames.

Maloney a expliqué, lundi en conférence de presse, que le départ de Sutter était nécessaire à l’équipe, que son style ne cadrait plus avec celui de l’équipe. Bien évidemment, on peut lire entre les lignes et comprendre que, même s’il a connu un excellent parcours dans la LNH, Sutter n’a plus un style qui colle avec les nouveaux joueurs.

Maloney a même pris le temps de confirmé que l’équipe a besoin d’un vent de fraîcheur pour apporter une nouvelle atmosphère dans le vestiaire, sur la patinoire et dans l’aréna.

Eric Francis de Sportsnet a confirmé l’hypothèse de plusieurs : les joueurs n’aimaient pas être dirigés par Darryl Sutter.

«Les joueurs haïssaient tout simplement aller à la patinoire, où Sutter aimait que ce soit tendu, lourd et imprévisible. Sutter a bâti une culture de peur.» – Eric Francis

Sutter est un vieux de la vieille, ses techniques ont longuement fonctionné, mais le jeu a changé. Sa stratégie très défensive peut être bonne par moments, mais se fait souvent détruire par les meilleures attaques de la LNH. En plus de ça, ça empêche les talents offensifs de son équipe de se démarquer et de produire des points.

On l’a évidemment vu avec le baisse de régime de Jonathan Huberdeau. Le Québécois est passé d’une production de 115 points en 2021-22 à 55 points en 2022-23. Il s’agit de la pire baisse de production de l’histoire.

Don Maloney a confirmé qu’il engagera un directeur général en premier et que c’est celui-ci qui choisira le futur entraîneur de l’équipe. On pourrait gager qu’il s’agira d’un jeune directeur général parce qu’il a souvent fait allusion au renouveau lors de sa conférence de presse lundi dernier.

En rafale

– Tant mieux parce que les partisans l’aiment beaucoup.

– Pas du tout!

– Joshua Roy est dominant depuis le début des séries de la LHJMQ.

– Lamar voulait les Ravens et rien d’autre.

– RHP ne donne pas beaucoup de chances au CH pour la lotterie.

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Habsolument Fan

Jonathan Huberdeau a connu la saison la plus catastrophique de l’histoire

L’an dernier, l’attaquant étoile Jonathan Huberdeau a connu la meilleure saison de sa carrière avec une récolte de 30 buts et 85 passes pour un total de 115 points avec les Panthers de la Floride.

Puis, à la surprise de tous, il fut impliqué dans la plus grosse transaction de la dernière décennie dans la LNH alors que lui et MacKenzie Weegar ont pris le chemin de Calgary en retour d’un autre attaquant étoile, Matthew Tkachuk.

Lui qui a signé un contrat de 84 millions de dollars pour 8 ans avec sa nouvelle équipe avant même de mettre un pied à Calgary a connu une saison extrêmement difficile.

À quel point difficile? Au point où ce fut la saison la plus catastrophique de l’histoire de la LNH en terme de différence de points.

Avec une récolte de 15 buts et 40 passes pour un total de 55 points, Huberdeau a vu sa production régresser de 60 points, soit plus de la moitié de sa production de l’an dernier! Il s’agissait d’ailleurs de sa pire saison depuis 2014-15.

Pour donner une idée de l’ampleur, voici les cinq pires régressions de points d’une saison à l’autre de l’histoire de la ligue.

  • Jonathan Huberdeau 115 points (2022) à 55 points (2023) -60
  • Bill Barber 112 points (1976) à 55 points (1977) -57
  • Denis Maruk 136 points (1982) à 81 points (1983) -55
  • Bob MacMillan 108 points (1979) à 61 points (1980) -47
  • Reggie Leach 91 points (1976) à 46 points (1977) -45

On peut s’imaginer que ce n’est pas le genre de production à laquelle la direction des Flames s’attendait lorsqu’on a offert 10.5 millions de dollars à Huberdeau l’été dernier. Contrat qui ne débutera d’ailleurs qu’à partir de l’an prochain.

Est-ce que sa relation houleuse avec l’entraîneur-chef Darryl Sutter pourrait avoir un lien direct avec sa chute de production soudaine et qu’un changement derrière le banc pourrait le relancer?

Espérons pour Calgary et Huberdeau que l’on trouvera des solutions durant l’été.

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Jonathan Huberdeau contre l’idée de jouer avec les Canadiens

Après avoir été échangé aux Flames de Calgary pendant l’été, Jonathan Huberdeau était toujours à la recherche d’un nouveau contrat à long terme. Il a fini par signer une entente avec les Flames, mais pendant les négociations, de multiples rumeurs l’envoyaient à Montréal en tant qu’agent libre à la fin de son actuel contrat, qui prend fin après la prochaine saison.

Huberdeau était conscient de ces rumeurs, mais il a préféré rester à Calgary avec sa nouvelle équipe en signant un contrat de huit saisons. En fait, il préférait Calgary parce qu’il ne voulait pas venir jouer avec les Canadiens. C’est ce qu’il a dévoilé lors de son passage au balado 32 Thoughts de Sportsnet.

«Je sais que plusieurs personnes me suggéraient de jouer un an à Calgary et d’ensuite rejoindre le Canadien. Même si j’adore Montréal, je ne sais pas. Je crois que c’est une ville difficile pour les Québécois. Les Flames m’ont acquis. Si le Canadien voulait obtenir mes services, il aurait conclu une transaction en ce sens. Je veux jouer pour une équipe qui me désire.» – Jonathan Huberdeau de passage au balado 32 Thoughts

Expliqué de cette manière, on comprend que Jonathan Huberdeau est content d’avoir été échangé. Sa transaction prouve qu’il est un joueur que les Flames avaient dans leur mire. Encore plus convaincant le directeur général de Calgary, Brad Treliving, a rencontré Huberdeau en personne, à Montréal, pendant l’été.

Contre toute attente, ce n’était pas pour parler d’un renouvellement de contrat. Huberdeau dit avoir apprécié le geste.

«Quand Brad est venu à Montréal, nous avons eu une excellente discussion. Nous n’avons pas parlé de contrat ; nous avons davantage fait connaissance. J’aime sa philosophie et la direction que l’équipe emprunte.» – Jonathan Huberdeau de passage au balado 32 Thoughts

À 29 ans, le Québécois est dans la fleur de l’âge. Il joue présentement son meilleur hockey et veut gagner maintenant. Bien évidemment, gagner la Coupe Stanley aurait dû attendre quelques années avec Montréal, mais il peut déjà viser les grands honneurs avec Calgary cette année.

Une cible de moins pour Kent Hughes pendant le marché des joueurs autonomes en 2023. Heureusement pour le DG du Canadien, le nombre de bons joueurs qui n’auront plus de contrat à l’été prochain est très élevé.

En rafale

– Comment bien évaluer un joueur au camp des recrues.

– Le gros cogneur des Blue Jays pourrait toucher le gros lot.

– Son état sera réévalué quotidiennement.

– Une première dans l’histoire du baseball majeur.

– Eichel a passé son été avec Taylor Hall et sa femme.

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Jonathan Huberdeau célèbre son nouveau contrat en grand!

Jeudi dernier, les Flames de Calgary annonçaient la mise sous contrat de l’attaquant québécois, Jonathan Huberdeau, pour une durée de huit ans. L’entente lui rapportera 84 millions $ en tout. Le Québécois semblait content de se lier avec les Flames pour huit ans de plus, mais restait calme devant les réponses des journalistes. Sur un bateau, avec sa famille et ses amis, c’est une toute autre chose!

Le frère d’Huberdeau a partagé une vidéo sur son compte Instagram montrant le nouveau joueur des Flames célébrant avec sa famille et ses amis en s’aspergeant de champagne sur un bateau. Ils savent fêter les Huberdeau!

Voici la vidéo en question repartagée par La Poche Bleue.

C’est bien la fête sur le bateau, mais l’argent n’est toujours pas dans les poches de l’attaquant vedette, puisque son contrat entrera en vigueur en 2023-24. Par contre, ce n’est qu’une question de temps avant de voir les billets de banque et ce, peu importe ce qui arrive. Sur les 84 millions $ qu’Huberdeau doit toucher en huit ans, 61,5 millions sont des bonus à la signature ou, en d’autres termes, de l’argent garanti. Ça, c’est beaucoup d’argent.

Le Québécois, qui vient de finir la saison avec 115 points, visait certainement la coupe Stanley, cette année, avec les Panthers, mais le Lightning de Tampa Bay a mis fin à leur parcours dès le deuxième tour. En se faisant échanger aux Flames, Huberdeau rejoint toutefois une autre équipe qui aspire aux grands honneurs, encore cette année.

Ce sera une certaine adaptation de passer d’un joueur du calibre de Barkov à celui d’Elias Lindholm au centre, mais le Québécois possède quand même un talent naturel de passeur. Ce n’est pas pour rien qu’il a récolté 85 mentions d’assistance cette année, un record de l’histoire de la LNH pour un ailier gauche. Il devrait donc bien s’en tirer avec de nouveaux compagnons de trio en Alberta.

Même s’il vit maintenant dans le froid de l’Alberta, Huberdeau n’a pas perdu son sens de la fête. Les fêtes sur un bateau, ça se fait à l’année longue en Floride, mais à Calgary, il va devoir avoir de l’imagination en hiver.

En rafale

– Les Blue Jays se sauvent avec la victoire en prolongation!

– Charles Leblanc est inarrêtable depuis ses début dans la MLB.

– Nick Kyrgios s’amène à Montréal en champion.

– Les blessures ne sont pas venues à bout d’Andy Murray et de sa passion pour le tennis.

– Guénette excelle à Trois-Rivières.

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Le secret des Panthers? Rester zen!

Les Panthers de la Floride ont eu chaud, mercredi alors qu’ils tiraient de l’arrière dans le match numéro cinq de leur série contre les Capitals. Ils ont ensuite marqué cinq buts sans riposte pour se sauver avec la victoire. Jonathan Huberdeau, de passage à l’émission JiC de TVA Sports, a expliqué que personne n’a paniqué pendant la rencontre.

« On n’a pas paniqué, c’est notre équipe, en saison on l’a fait souvent. » – Jonathan Huberdeau de passage à l’émission JiC

C’est une spécialité chez les Panthers, commencer en retard et revenir au score. L’attaquant québécois aime bien revenir de l’arrière, mais il voudrait que cela change, que l’équipe joue toujours à son meilleur niveau.

Oui, Huberdeau, meilleur pointeur de l’équipe en saison régulière, ne s’est pas inscrit au pointage, mais il a pu compter sur ses coéquipiers pour réaliser le travail. On pense notamment à Carter Verhaeghe qui a récolté un impressionnant total de trois points, dont deux buts.

L’ambiance n’est pas reconnue pour être folle en Floride, mais en séries, alors que l’équipe regorge de talent, c’est différent.

« L’atmosphère était incroyable, hier en Floride, et on a trouvé le moyen d’aller chercher une victoire importante. » – Jonathan Huberdeau de passage à l’émission JiC

Le match s’est terminée par une bagarre entre Anthony Mantha des Capitals contre Aaron Ekblad. Huberdeau trouve que ce n’était pas la meilleure façon de terminer le match, mais qu’heureusement, personne n’est blessé.

Les Panthers de la Floride auront justement la chance d’éliminer les Capitals de Washington, vendredi, eux qui mènent présentement la série 3-2.

En rafale

– Ça sera une longue attente pour les Sea Dogs.

– Les Bruins sont en avance.

– On devrait avoir droit à de très bons duels.

– Les Mets sont en feu.

– L’entraîneur de la sélection canadienne est en demande.

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Sport

Panthers : Jonathan Huberdeau aurait une relation tendue avec son entraîneur-chef

En début d’après-midi, je vous faisais part des propos de Bob Boughner, l’entraîneur-chef des Panthers, à propos de Jonathan Huberdeau.

Tout en avouant qu’il y avait des rumeurs (et que Huberdeau était un joueur important pour l’équipe), Boughner a laissé sous-entendre que le #11 pourrait être la pièce sacrifiée pour aller chercher Artemi Panarin et/ou Sergei Bobrovsky.

« Il est une pièce importante. Il y a des rumeurs. Mais pour obtenir de bons joueurs, tu dois donner de bons joueurs. J’ai le sentiment qu’il fait partie de notre noyau et il fait aussi partie des plans du futur. »

– Bob Boughner

D’ailleurs, nous avons eu quelques informations supplémentaires à ce propos, et selon les informations de Martin McGuire, la relation entre Huberdeau et son entraîneur-chef est plutôt tendue.

C’est donc dire que les propos de Boughner prennent encore un peu plus de sens. Dans tous les cas, les prochaines semaines risquent d’être très intéressantes à Sunrise.

En rafale

– Un retournement de situation assez fou !

– Et Tarasenko est en feu ! Il a 22 points à ses 12 derniers matchs.

– Si ça vous intéresse.