La maison, qui célèbre cette année ses 25 ans, a choisi de mettre la fourrure à l’honneur, qu’elle soit en lapin ou en renard. On la retrouve partout : les cols et les capes XXL, les vestes style motard ou encore les robes légères dos nu, qu’elle accessoirise à la perfection. D’une façon plus générale, la collection est sobre et élégante, avec des pièces amples dans des tons neutres.
Nicholas et Christopher Kunz ont également fait la part belle à la fourrure, matière qui pourrait devenir la tendance phare de ces défilés. Ici ce ne sont pas des manchons, mais des capuches fourrées que les fashionistas ont pu découvrir. Autre tendance qui se dessine : les pièces amples, là aussi les capuches étaient XXL, tout comme les manteaux parfois portés sur des ventres dénudés. Côté accessoires, les bottes à lacets ont nettement dominé ce défilé.
Au contraire des deux maisons précédentes, Tadashi Shoji n’a pas dévoilé de fourrure, misant essentiellement sur le velours et la dentelle. Résultat : la collection est ultra-raffinée, avec des broderies, une multitude de jeux de transparence, des sequins et des tailles marquées. Imprimés et couleurs vives étaient présents, avec notamment du rouge et du bleu, même si les teintes hivernales restaient majoritaires (marron, gris, noir).