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Un journaliste met en garde la population concernant l’utilisation d’une friteuse à air

Martin Lewis, un journaliste anglais, a mis en garde la population concernant l’utilisation d’une friteuse à air (air fryer), rapporte LADbible.

Pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, Martin Lewis est un journaliste financier anglais. Il est notamment connu pour avoir fondé le site web MoneySavingExpert.com qu’il a vendu en 2012 au groupe Moneysupermarket.com pour environ 87 millions de livres sterling, l’équivalent d’environ 147 millions de dollars canadiens.

Les conseils et recommandations de Martin Lewis suscitent la plupart du temps de nombreuses réactions chez nos amis britanniques.

Cette fois, dans son podcast, le journaliste a décidé de parler de l’utilisation des friteuses à l’air et il semble avoir un avis bien tranché sur le sujet.

Selon lui, il peut être plus intéressant, économiquement parlant, de faire cuire de la nourriture à la friteuse à air plutôt qu’au four.

Il affirme que « généralement », les friteuses à air sont « moins chères à utiliser » qu’un four, souligne LADbible.

Cependant, l’homme de 50 ans nuance tout de même ses propos en expliquant que certaines friteuses à air, très puissantes, peuvent utiliser environ la même quantité d’énergie qu’un four.

« Le facteur le plus important est la quantité de nourriture que vous cuisinez », souligne Martin Lewis.

« Si vous cuisinez quelque chose de petit et simple, c’est probablement moins cher au micro-ondes et à la friteuse à air », affirme-t-il.

Donc, à l’avenir, ne tentez pas d’économiser de l’électricité avec votre air fryer si vous devez cuire de nombreux plats, votre four sera peut-être plus économique! 

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Josh Anderson perd patience et réplique à un journaliste en point de presse

Importante journée pour les joueurs du Canadien de Montréal puisqu’ils rencontrent les médias pour la dernière fois de la saison 2022-23. 

Le défenseur Joel Edmundson était sous les projecteurs il y a quelques minutes et il a fait une déclaration intéressante en expliquant un facteur qui a été très difficile cette année. 

Le jeune Cole Caufield a vécu une montagne d’émotions dans les derniers mois. 

Après avoir connu un départ canon, le numéro 22 a été forcé de subir une opération et il revient sur des moments plus difficiles.

William Nadeau du site Habs & LNH vient de rapporter quelque chose d’extrêmement intéressant. 

Pendant qu’il s’adressait aux médias, Josh Anderson a perdu patience envers un journaliste. 

Questionné au sujet des transactions, il a notamment mentionné ceci : « Je ne veux pas embarquer là-dedans. Écoutez là, vous avez eu la chance (les journalistes) de partir des rumeurs d’échange à la date limite des transactions, mais je suis encore ici. Je n’ai pas été échangé et je suis encore ici pour quatre ans parce que c’est ce que stipule mon contrat. Je suis un Canadien de Montréal, prêt à gagner. Vous pouvez écrire ce que vous voulez. »

Le journaliste lui a ensuite indiqué que c’est Kent Hughes lui-même qui a parlé d’échange impliquant Anderson et ce dernier a fait une courte réponse en précisant de nouveau qu’il est encore ici. 

Voyez l’extrait dans la vidéo de Habs et LNH plus bas : 

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Kate Beckinsale encense les journalistes

Kate Beckinsale souligne l’importance du journalisme dans le monde, et encense le travail des professionnels de l’information.

L’actrice estime que sans l’apport des journalistes, nous serions confrontés à un « état policier ».

Cette soudaine passion pour le métier n’est pas étrangère à son récent rôle de journaliste dans The Face of an Angel, qui retrace l’affaire Amanda Knox.

« C’était bizarre pour moi de jouer cette journaliste (Simone Ford), mais j’ai vite réalisé comme c’était important pour mon personnage que les gens lui donnent de l’information. Ce n’est pas que salace, ce n’est pas à propos de ce qu’elle portait en cour. Si nous n’avions pas de journalistes, nous serions dans un état policier. », explique Kate Beckinsale à The Guardian.

The Face of an Angel est réalisé par Michael Winterbottom, et met également en vedette Daniel Bruhl, Cara Delevingne et Genevieve Gaunt.

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Potins

Megan Fox craint d’être mal interprétée

Megan Fox semble développer une peur bleue des entrevues, car l’actrice craint d’être mal interprétée, rapporte BANG Media International.

Il semble que cette peur soit fondée et se base sur des expériences vécues par l’actrice. En effet, Megan Fox affirme être constamment mal interprétée en entrevue, surtout parce que tout ce qu’elle dit serait perçu de manière littérale.

« Malheureusement pour moi, je ne peux faire de blagues. Je ne peux pas être comme Will Arnett en entrevue, parce que tout ce que je dis est imprimé de manière littérale. Il semble y avoir un besoin de me présenter comme une folle ou une vilaine coincée. Il n’y pas de marge de manœuvre pour moi pour relaxer et être juste moi-même. On me prend toujours hors contexte », explique Megan Fox au Herald Sun.

La star de Teenage Mutant Ninja Turtles n’en fait toutefois pas un drame. Elle estime que la situation s’explique probablement par son physique, qui l’a toutefois aidé largement à se bâtir une carrière.

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Potins

Megan Fox craint d’être mal interprétée

Megan Fox semble développer une peur bleue des entrevues, car l’actrice craint d’être mal interprétée, rapporte BANG Media International.

Il semble que cette peur soit fondée et se base sur des expériences vécues par l’actrice. En effet, Megan Fox affirme être constamment mal interprétée en entrevue, surtout parce que tout ce qu’elle dit serait perçu de manière littérale.

« Malheureusement pour moi, je ne peux faire de blagues. Je ne peux pas être comme Will Arnett en entrevue, parce que tout ce que je dis est imprimé de manière littérale. Il semble y avoir un besoin de me présenter comme une folle ou une vilaine coincée. Il n’y pas de marge de manœuvre pour moi pour relaxer et être juste moi-même. On me prend toujours hors contexte », explique Megan Fox au Herald Sun.

La star de Teenage Mutant Ninja Turtles n’en fait toutefois pas un drame. Elle estime que la situation s’explique probablement par son physique, qui l’a toutefois aidé largement à se bâtir une carrière.

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Cinéma

Une seconde bande-annonce efficace pour Jake Gyllenhaal et Nightcrawler

Gyllenhaal multiplie les rôles intéressants depuis quelque temps, notamment grâce au travail de Denis Villeneuve (Enemy, Prisoners), et l’acteur est de retour avec un projet des plus prometteurs.

Gyllenhaal incarne un jeune apprenti journaliste aux affaires criminelles qui tente désespérément de faire sa marque et de se trouver du boulot à Los Angeles dans Nightcrawler, du réalisateur Dan Gilroy. Malheureusement, l’obsession du journaliste pour son travail le mènera à franchir la ligne de l’éthique journalistique.

Ce dernier propose une deuxième bande-annonce convaincante pour son film, alors que la réalisation semble impeccable, tout comme le jeu de Gyllenhaal.

Mettant en vedette une Rene Russo qui vieillit comme le bon vin et plusieurs autres acteurs intéressants, dont Bill Paxton, Riz Ahmed, Ann Cusack, Kevin Rahm et Michael Hyatt, Nightcrawler promet d’être l’une des meilleures sorties de l’année.

Le long métrage sera présenté au prochain Festival du Film de Toronto, avant d’être lancé officiellement le 31 octobre.

Découvrez Jake Gyllenhaal dans Nightcrawler

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Cinéma

Paz Vega rejoint Jeremy Renner pour Kill the Messenger

Paz Vega (Spanglish, Sex and Lucia) rejoint Jeremy Renner pour le film Kill the Messenger, nous apprend The Hollywood Reporter.

Réalisé par Michael Cuesta, ce film est basé sur l’histoire vraie du journaliste Gary Webb.

En 1996, le journaliste publiait une série d’articles dans le San Jose Mercury News,dénonçant l’implication de la CIA dans un trafic de drogue, par le biais d’un groupe de rebelles au Nicaragua. Selon lui, l’agence centrale de renseignements introduisait du crack dans les banlieues noires de Los Angeles.

Accusé d’affirmer sans fondements, Gary Webb a été fustigé par la presse et calomnié par la CIA. Le 10 décembre 2004, le reporter a été retrouvé mort avec deux balles dans la tête. L’enquête a conclu au suicide.

Pour Kill the Messenger, le scénariste Peter Landesman (Parkland) s’inspirera des articles de Gary Webb, publiés depuis en livre sous le nom de Dark Alliance: The CIA, the Contras, and the Crack Cocaine Explosion.

Entretemps, Paz Vega donnera la réplique à Antonio Banderas et Penélope Cruz dans I’m so excited dès le 28 juin prochain. Elle sera aussi du film Grace of Monaco à la fin de l’année avec Nicole Kidman. Elle tourne maintenant Pompeii avec Kiefer Sutherland, Emily Browning et Kit Harington. Ce film est prévu en salles le 21 février 2014. 

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Potins

Alec Baldwin dément l’incident impliquant une journaliste et un photographe

Le magazine Us rapporte que la photographe Tara Palmeri du journal New York Post accuse Alec Baldwin, 54 ans, de l’avoir empoignée par le bras. Il l’aurait ensuite menacée de mort : « Je veux t’égorger jusqu’à ce que tu meures », lui aurait-il soufflé.

Quant au photographe G.N. Miller, il affirme que la star l’a traité de « nègre, de drogué et de trafiquant ».

Cet incident a eu lieu dimanche dernier (17 février). Alec Baldwin affirme pour sa part qu’il se promenait sur la rue, quand le duo s’est carrément jeté devant lui. Ils l’ont alors questionné à propos d’une poursuite impliquant Hilaria Thomas, sa femme qui est maintenant enceinte.

Alors que le New York Post assure qu’un enregistrement de la menace contre Palmeri a été capté, l’acteur est celui qui a appelé la police lors de l’incident.

Il s’est également confié à TMZ après avoir entendu les accusations qui pesaient contre lui. « C’est l’une des choses les plus scandaleuses que j’ai entendues dans ma vie », a déclaré Baldwin.

Celui-ci affirme aussi que le photographe est entré en collision avec lui volontairement, en le poussant de son épaule. « Ils le font dans l’espoir de vous faire réagir. »

Découragé par le comportement des employés du journal new-yorkais, Alec Baldwin n’est cependant pas surpris. « Ils sont là pour humilier les gens, les montrer sous leur mauvais jour. Mais cette fois, même pour le Post, ça dépasse l’entendement. »

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Rihanna doit des excuses aux journalistes de sa tournée 777

C’est l’éditeur en chef du Us Weekly, Ian Drew, qui rapporte les événements. Il faisait lui-même partie de l’équipe journalistique ayant accompagné la chanteuse.

La tournée 777 se voulait très thématique. Rihanna effectuait la visite de 7 villes dans 7 pays différents pour donner 7 spectacles, et ce, en 7 jours. Ceci concordait avec son septième album, Unapologetic. Même le jet privé portait le numéro 777.

Une idée de génie, si ce n’est de la fatigue que tous ont accumulée durant le voyage. Ian Drew explique : « Arrivé aux 5e et 6e jours, la situation était sans espoir. À compter du 19 novembre, soit le lundi, la plupart des passagers étaient au-delà de l’épuisement. Nous avons manqué de sommeil, de nourriture et de soleil ».

Les membres de la presse étaient furieux contre la star, qui dormait dès qu’elle en avait l’occasion, sans accorder de commentaires ou d’entrevues, dès la 2e journée de la tournée. À un moment, un journaliste australien a même fait circuler de fausses affiches de Rihanna avec la mention « disparue ».

Avec cette mauvaise publicité, Rihanna n’a eu d’autre choix que de s’asseoir avec eux dans l’avion pour leur faire ses excuses. Elle a expliqué qu’elle devait se préoccuper de sa santé avant tout, et surtout de sa voix. « Je sais que vous êtes épuisés et que vous n’avez pas eu ce que vous souhaitiez », a déclaré Rihanna aux journalistes.

Si c’était à recommencer? Rihanna le ferait à nouveau. Cependant, on se doute qu’aucun journaliste ne se joindrait à elle.