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Art de vivre

Ne pas avoir d’enfant, est-ce toujours un tabou en 2021?

Je viens d’écouter une table ronde sur la question des femmes sans enfants par choix (c’est juste ici). Même si pour moi ça a toujours été clair que j’allais avoir des enfants, il est tout à fait normal que plusieurs personnes vivent complètement le contraire. Ce qui est fou c’est qu’en 2021, ces personnes (particulièrement lorsque ce sont des femmes) ressentent de la pression de la part de leur entourage. Pourtant, avec la surpopulation et les changements climatiques ne pas avoir d’enfants c’est un choix bénéfique pour la planète. Malgré cela, elles se font souvent dire que c’est égoïste de ne pas avoir d’enfants. Alors pourquoi y a-t-il toujours autant de commentaires négatifs envers les gens sans enfants ? Je pensais pourtant que le jugement était moins présent lorsqu’on parle du choix d’avoir des enfants.

Il ne faut pas oublier qu’en questionnant quelqu’un sur le fait qu’iel n’a pas d’enfants on touche souvent une corde sensible. Même si de plus en plus de femmes parlent ouvertement du fait de ne pas vouloir d’enfants, plusieurs personnes sont sans enfants par circonstances. C’est-à-dire que malgré leur désir d’en avoir, ces femmes n’ont pas d’enfants. Elles n’ont donc pas besoin d’un rappel de leur situation familiale. Évidemment, si c’est une amie proche, la maternité est un sujet normal de discussion; peut-être moins avec la cousine de l’amie de la voisine.

Le regret de la maternité (ou de la paternité) est aussi un sujet difficile à aborder pour de nombreux parents. Même si les parents qui le regrettent aiment leurs enfants, ça doit être terriblement difficile de vivre avec ce sentiment. C’est quand même fou qu’en 2021 les femmes ressentent autant de pression à avoir des enfants surtout lorsqu’elles approchent de la trentaine. 

Si vous voulez lire un peu plus sur le sujet, je vous conseille le site de Catherine-Emmanuelle Delisle qui aborde de nombreux aspects de la non-parentalité.

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Mike Ward : « Même Rocky a perdu le premier »

Mike Ward a commenté par l’entremise de son compte Twitter le jugement rendu contre lui, et qui le condamne à payer 35 000 dollars à Jérémy Gabriel ainsi que 7000$ à la mère de ce dernier en dommages punitifs.

« Même Rocky a perdu le premier, on va en appel », lance d’abord Mike Ward en fin de soirée, hier (21 juillet), quelques heures après le jugement.

L’humoriste avait auparavant affirmé ne vouloir ne faire aucun commentaire.

Sur le compte Twitter de Mike Ward, la discussion va bon train. Plusieurs s’inquiètent du phénomène actuel et du précédent possiblement créé par le Tribunal des droits de la personne en ce qui concerne l’humour et la liberté d’expression.

Mike Ward reçoit notamment l’appui de Just For Laughs, et affirme que les dirigeants regardent de près cette affaire.

« Tous les humoristes du monde regardent ça de près », conclut Mike Ward, toujours sur Twitter.

Me Julius Grey, l’éminent avocat de Mike Ward, avait auparavant confirmé son intention de porter ce jugement en appel.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Lindsay Lohan vs GTA V : la poursuite ira de l’avant

Lindsay Lohan a vu sa requête en poursuite contre les créateurs du jeu vidéo à succès Grand Theft Auto V être acceptée par la Cour suprême.

Paralysée depuis deux ans, rapporte BANG Media International, la poursuite intentée par Lindsay Lohan contre Take-Two Interactive et Rockstar ira donc de l’avant.

L’ancienne superstar du cinéma affirme qu’un personnage du jeu vidéo, Lacey Jonas, a été calqué sur sa propre personne et sur sa carrière, ce que nient les concepteurs.

La juge Joan Kennedy a rejeté les arguments de la défense, qui plaidait notamment que la durée limite pour une poursuite de ce genre avait été dépassée.

« La défense n’a pas été en mesure de prouver, à ce stade-ci, que l’exemption s’appliquait, parce que l’auditoire visé est le même que lors de la publication originale, et que les images demeurent les mêmes », a tranché la juge Kennedy.

Les créateurs du jeu et l’acteur Ned Luke (Michael), ont sévèrement critiqué la décision.

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Blurred Lines : Pharrell commente le jugement de 7,3 millions de dollars

Pharrell Williams commente pour la toute première fois le jugement rendu dans « l’affaire Blurred Lines », et qui condamnait le chanteur et son collègue Robin Thicke à verser 7,3 millions de dollars à la descendance du regretté Marvin Gaye.

La Cour ayant statué que Williams et Thicke s’étaient trop largement « inspirés » de la chanson originale Got To Give It Up de Marvin Gaye, celle-ci a finalement tranché en faveur de la famille de Gaye dans la cause entendue.

Or, selon Pharrell Williams, ce jugement « paralyse » l’industrie du divertissement en entier, et met un frein à liberté de création et à la créativité.

« Le verdict handicape tous les créateurs qui font quelque chose inspirée de quelqu’un d’autre. Ça s’applique à la mode, la musique, le design… tout. Si nous perdons notre liberté de créer, nous allons un jour nous réveiller avec une industrie du divertissement paralysée en litiges. Ceci est à propos de la protection de la propriété intellectuelle des gens qui ont des idées. Tout ce qu’il y a dans une pièce autour de vous a été inspiré par quelqu’un, ou quelque chose », lance Pharrell Williams en entrevue avec The Financial Times.

L’avocat qui représente Pharrell Williams et Robin Thicke a pour sa part assuré que ses clients « dormaient bien la nuit », en sachant qu’ils n’avaient pas copié la chanson originale de Marvin Gaye.

Ces derniers pourraient maintenant porter la cause en appel, rapporte le Rolling Stone.

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Cate Blanchett se sent jugée par les autres mères

Cate Blanchett affirme ne pas se sentir appréciée par les autres mères, et n’hésite pas à prétendre que la plupart de ces dernières la jugent dans son rôle de chef de famille, rapporte BANG Media International.

L’actrice oscarisée se sent épiée et jugée. Elle croit qu’on l’évalue par rapport à des critères différents des autres mères.

« Vous savez, les autres mères vous observent toujours en tant que parent. Elles ne savent pas comment vous parvenez à tout entrer dans votre horaire pour faire de la place à vos enfants dans votre vie, comme n’importe lequel parent qui travaille. Les autres mères présument qu’on a une nounou, un chauffeur et un chef. Le fait est que je n’en ai pas », explique une Cate Blanchett visiblement exténuée de ces commérages.

Cate Blanchett est la mère de trois enfants, Dashielle, Roman et Ignatuis, respectivement âgés de 12, 10 et 6 ans.

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Cate Blanchett se sent jugée par les autres mères

Cate Blanchett affirme ne pas se sentir appréciée par les autres mères, et n’hésite pas à prétendre que la plupart de ces dernières la jugent dans son rôle de chef de famille, rapporte BANG Media International.

L’actrice oscarisée se sent épiée et jugée. Elle croit qu’on l’évalue par rapport à des critères différents des autres mères.

« Vous savez, les autres mères vous observent toujours en tant que parent. Elles ne savent pas comment vous parvenez à tout entrer dans votre horaire pour faire de la place à vos enfants dans votre vie, comme n’importe lequel parent qui travaille. Les autres mères présument qu’on a une nounou, un chauffeur et un chef. Le fait est que je n’en ai pas », explique une Cate Blanchett visiblement exténuée de ces commérages.

Cate Blanchett est la mère de trois enfants, Dashielle, Roman et Ignatuis, respectivement âgés de 12, 10 et 6 ans.

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Comment venir en aide aux proches souffrant de crise émotionnelle?

Dépression, traumatisme,  troubles alimentaires, abus d’alcool ou de drogues, automutilations et pensées suicidaires sont tous des éléments caractérisant la crise émotionnelle. Comment venir en aide à un proche atteint de l’un de ces troubles?

Selon l’American Psychological Association (APA), certains indices vous permettent de détecter une crise émotionnelle chez les gens de votre entourage. Une cloche devrait sonner lorsque l’hygiène personnelle est négligée, si le poids change drastiquement, que l’humeur, l’appétit ou le sommeil sont instables. 

Ajoutez à cela un retrait progressif ou soudain des activités, de la vie sociale et des passe-temps, énumère le site Top Santé.Lorsque l’un ou plusieurs de ces symptômes sont identifiés, il est conseillé d’offrir votre écoute, sans jugement.  

Si la situation se dégrade ou qu’elle représente un danger pour vous-même, proposez l’aide de psychologues ou professionnel de la santé à votre proche. 

L’APA rappelle aux aidants de ne jamais sous-estimer l’aide qu’ils peuvent apporter, mais d’être prudent lorsqu’il est question de pensées suicidaires, d’automutilation ou d’intention de blesser autrui. Une personne aux pensées suicidaires ne devrait jamais demeurer seule et devrait être accompagné jusqu’à l’hôpital pour recevoir des soins. 

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Les parents se sentent jugés dans leurs choix et décisions

Apparemment, les parents ont l’impression d’être scrutés à la loupe lorsqu’ils « influencent » leurs enfants, indique les résultats de Nurofen for Children. Ce sont plus des deux tiers des parents (68 %) qui craignent la critique des autres.

Les données exactes rapportent, selon Female First, que :

– La moitié des répondants ont peur d’être critiqués sur l’alimentation de leur enfant;

– 43 % craignent la même chose, mais à propos de leurs qualités parentales;

– 33 % ont peur que ce soit le comportement de leur enfant qui soit pointé du doigt.

Les mères, contrairement aux pères, sont portées à demander l’avis des autres, que ce soit leurs propres parents, grands-parents, amis ou médecin.

Un représentant de Nurofen for Children affirme que l’objectif pour le parent est de comprendre que l’hésitation et les mauvais choix font partie du rôle de parent, et que demander de l’aide est normal, voire souhaitable.

Les autres préoccupations des parents concernaient surtout la santé, la sécurité, l’entourage et les bonnes manières de leurs enfants.

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New York contre les boissons gazeuses : offensive stoppée

New York devra encore patienter, voire abandonner, dans le dossier des boissons gazeuses qui l’oppose aux commerçants et restaurateurs.

On se rappellera que la Ville de New York avait décidé d’agir contre l’obésité en présentant une offensive majeure contre les boissons gazeuses grand format, toujours très populaires chez nos voisins du sud.

Or, rapporte Radio-Canada, un tribunal (cour d’appel) vient de statuer que la Ville avait outrepassé son autorité en s’insurgeant ainsi dans le pouvoir de consommation et de ventes des citoyens et des commerçants, respectivement.

La loi visant les restaurateurs et interdisant la vente de contenants de boissons gazeuses excédant 16 onces doit donc demeurer sur la tablette, pour l’instant.

Parions que la Ville de New York tentera de contre-attaquer, car on sent une volonté profonde des élus à lutter contre l’obésité.

La nouvelle règlementation est donc stoppée, un jour seulement avant son entrée en vigueur. Il était moins une pour les amateurs invétérés de grands formats!

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Les enfants partagent plus lorsqu’il y a un témoin

Une étude intéressante, menée au Michigan, a fait valoir que malgré leur connaissance sur la générosité et le partage, les enfants sont toujours réticents à partager. D’autre part, à l’Université Yale, les résultats vont plus loin. Ils démontrent que la « réputation » a son importance même chez les enfants, et ce, dès 5 ans.

En d’autres mots, les participants, et ce, presque à l’unanimité, partageaient uniquement lorsque l’autre avait vu le « contenu à partager ». Si, par exemple, l’autre enfant n’avait pas connaissance des autocollants qu’il avait en sa possession, il les cachait. En contrepartie, dès que le pot aux roses était découvert, immédiatement, l’enfant donnait généreusement.

Il s’agit d’un comportement qui fait passer la réputation sociale en avant-plan et qui a surpris les chercheurs. Habituellement, le discernement du jugement social débute tranquillement vers 8 ans. Or, l’étude a démontré que dès 5 ans, les jeunes comprenaient l’impact positif lorsqu’on pouvait témoigner de leur générosité.

En Allemagne, une autre recherche voulait comparer le comportement de singes du même âge que les enfants, afin de voir si l’impact social chez les primates se développait de la même façon. Finalement, les singes agissaient exactement de la même façon, que leurs pairs en soient témoins ou non.

Ainsi, la conscience de l’impact social est uniquement ancrée chez l’humain.