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Pamela Anderson et Julian Assange, en couple ?

Selon le journal New York Post, des rumeurs de couple courraient entre Pamela Anderson et Julian Assange.

Poursuivi pour espionnage par les États-Unis, le cyber-militant Julian Assange est retenu à l’ambassade équatorienne à Londres, après qu’il ait demandé l’asile à l’Équateur.

Si l’on en croit le journal américain, Pamela Anderson aurait ces derniers mois visité pas moins de quatre fois le fondateur de WikiLeaks.

Selon une source proche d’Assange à Londres, Pamela Anderson serait « toujours plus sexy » à chaque rendez-vous avec le cyber-militant qu’elle affectionne tout particulièrement. 

« Elle semble avoir des tenues toujours plus sexy à chaque fois qu’elle lui rend visite », a confié la source au journal. 

Depuis environ deux ans, Pamela Anderson s’est publiquement pris de passion pour l’histoire de Julian Assange. En octobre dernier, l’ex-sirène de la série Baywatch avait fait mouche en apportant à Assange des collations vegan.

Depuis, la sulfureuse blonde aurait donc effectivement multiplié les apparitions (remarquées) à l’ambassade.

Si l’on en croit ces rumeurs et ces signes, d’un simple soutien militant, Pamela Anderson serait passée à un soutien bien plus personnel.

Quant à Julian Assange, il aurait demandé une nouvelle fois à la Suède, où il est accusé de viol, et à Londres, de procéder dès que possible à sa libération.

Assange se serait même dit prêt à retourner aux États-Unis, où il risque de lourdes accusations, tant que ses droits fondamentaux lui soient garantis. 

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com
Crédits photo : BANG/BIG

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La lettre de Pamela Anderson à Barack Obama

Ce n’est pas la première fois que l’actrice Pamela Anderson affiche son soutien à Julian Assange concernant WikiLeaks.

Cette fois-ci, la sulfureuse blonde de Baywatch a saisi sa plume et a écrit une missive à Barack Obama pour lui demander de 
p
« pardonner » à Julian Assange.

« Quand vous aviez un rêve, une idée, quelque chose qui vaut le coup de se battre. Quand il y avait des obstacles et que la justice n’était pas toujours en votre faveur. Je vous demande donc de réfléchir à pardonner à Julian Assange dans vos derniers jours à la Maison-Blanche. Ce serait un mouvement audacieux et excitant pour le futur. S’il vous plait, cessez l’investigation du grand jury et le harcèlement qui tourne le monde contre les États-Unis », s’est-elle exprimé.

« Nous devons cesser de faire de Julian Assange un bouc émissaire. Les enfants sont bien plus intelligents que ça et tout ceci divisent les générations. Tout ceci doit simplement prendre fin et peut prendre fin par la pointe de votre stylo », a-t-elle conclu. 

Il s’avère que depuis quelques années, Pamela Anderson prend un nouveau tournant fait d’engagements politiques et sociaux, loin des clichés de l’époque où elle était une playmate émérite.

Récemment, l’actrice a même émis le désir de devenir une citoyenne russe, clamant haut et fort son affection pour le pays de Vladimir Poutine. Une chose est certaine, aujourd’hui, Pamela Anderson a clairement choisi ses combats.

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Benedict Cumberbatch prête sa voix aux paroles de chanson de R. Kelly

L’animateur Jimmy Kimmel a reçu sur son plateau l’acteur qui double la voix du dragon Smaug dans The Hobbit: Desolation of Smaug, Benedict Cumberbatch.

Il a profité de sa venue pour faire plaisir aux dames, qui ont eu peine à garder leur calme pendant le sketch préparé par Kimmel et Cumberbatch.

La star de 37 ans, qui interprète souvent des vilains, a un sens de l’humour bien présent et s’est prêtée au jeu. Cumberbatch a lu les paroles de la chanson Genius de R. Kelly, en lui apportant la touche « sexy » de son personnage dans la série Sherlock.

Benedict Cumberbatch a réussi à conserver son sérieux en récitant : « Tu me fais sentir… la la la la la » et « Je serai bon avec toi, en embrassant l’intérieur de tes cuisses ».

D’autres animateurs ont donné ce genre de défi à l’acteur. Graham Norton lui a demandé de présenter ses invités d’un ton sinistre lors de l’une de ses émissions, ce que l’acteur s’est empressé de faire. 

Il faut savoir que Benedict Cumberbatch adore imiter les gens. Il l’a démontré à Norton en imitant son rire, puis en interprétant Chewbacca spontanément durant une autre entrevue, en présence de Harrison Ford. Ce dernier est demeuré sans voix.

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Benedict Cumberbatch s’est fait prier par Julian Assange de laisser tomber Fifth Estate

Julian Assange priait Benedict Cumberbatch de se retirer du projet du film Fifth Estate, dans lequel l’acteur incarne le fondateur du très controversé site WikiLeaks.

Standard.co.uk rapporte qu’un communiqué de presse accompagnant la lettre indiquait que la réponse de la star, envoyée par courriel, était « très courtoise et empreinte de considération ».

Néanmoins, comme Fifth Estate a été présenté au Festival international du film de Toronto, on comprend que Cumberbatch, 37 ans, n’a pas tenu compte de « l’avertissement » d’Assange.

Le film est basé sur un livre écrit par un ancien lieutenant en qui Julian avait confiance, Daniel Domscheit-Berg. Mais ce dernier dépeint l’activiste comme un personnage sombre et dangereux.

« Je sais que ce film a l’intention de dénigrer mon travail et moi-même. Je crois fermement qu’il présentera les événements de façon diffamatoire et altèrera l’opinion du public. »

Par le fait même, Julian Assange a refusé de rencontrer Benedict Cumberbatch dans le cadre du tournage, puisque cela aurait signifié qu’il endossait le long métrage. L’acteur, pour sa part, voit en son personnage la possibilité d’honorer les réalisations de l’activiste.

WikiLeaks a publié au-delà de 400 000 documents gouvernementaux confidentiels, entre autres à propos des opérations menées par l’armée américaine en Irak. Le site dénonce toute désinformation de l’État.

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Benedict Cumberbatch s’est fait prier par Julian Assange de laisser tomber Fifth Estate

Julian Assange priait Benedict Cumberbatch de se retirer du projet du film Fifth Estate, dans lequel l’acteur incarne le fondateur du très controversé site WikiLeaks.

Standard.co.uk rapporte qu’un communiqué de presse accompagnant la lettre indiquait que la réponse de la star, envoyée par courriel, était « très courtoise et empreinte de considération ».

Néanmoins, comme Fifth Estate a été présenté au Festival international du film de Toronto, on comprend que Cumberbatch, 37 ans, n’a pas tenu compte de « l’avertissement » d’Assange.

Le film est basé sur un livre écrit par un ancien lieutenant en qui Julian avait confiance, Daniel Domscheit-Berg. Mais ce dernier dépeint l’activiste comme un personnage sombre et dangereux.

« Je sais que ce film a l’intention de dénigrer mon travail et moi-même. Je crois fermement qu’il présentera les événements de façon diffamatoire et altèrera l’opinion du public. »

Par le fait même, Julian Assange a refusé de rencontrer Benedict Cumberbatch dans le cadre du tournage, puisque cela aurait signifié qu’il endossait le long métrage. L’acteur, pour sa part, voit en son personnage la possibilité d’honorer les réalisations de l’activiste.

WikiLeaks a publié au-delà de 400 000 documents gouvernementaux confidentiels, entre autres à propos des opérations menées par l’armée américaine en Irak. Le site dénonce toute désinformation de l’État.

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Cinéma

Un film sur WikiLeaks?

Plusieurs producteurs de cinéma sont maintenant en négociations avec les éditions britanniques Canongate et les éditions américaines Random House pour acheter les droits d’adaptation du prochain livre sur WikiLeaks.
 
C’est que le cofondateur du site internet, Julian Assange, a annoncé au Sunday Mirror qu’il avait signé un contrat de 1,5 million de dollars afin d’écrire un livre sur la création et l’explosion médiatique de son site, WikiLeaks.
 
Ce site est une tribune pour toutes les fuites d’informations, mais depuis quelque temps, il diffuse des documents secrets importants issus de l’univers politique.
 
Depuis cette annonce de livre, les producteurs de cinéma songent déjà à en faire un film, mais le principal intéressé est peu réjoui de cet intérêt. « Je ne veux pas écrire ce livre, mais je ne peux faire autrement : j’ai déjà dépensé 200.000 £ en frais judiciaires et je dois encore me défendre tout en devant maintenir WikilLeaks à flots », indique Julian Assange.
 
Rappelons que plusieurs banques et compagnies de crédit ont bloqué les dons d’argent pour ce site internet.
 
Après The Social Network sur le créateur de Facebook, verra-t-on un film sur WikiLeaks?