Les informations obtenues par Le Monde font part du désir de l’actrice Julie Gayet de se faire dédommager par Closer, mais cette fois au criminel, selon l’article 226-1 du Code pénal en France.
Cette loi interdit de prendre des photos ou vidéos d’autrui sans son consentement, et ce, dans le but de porter volontairement atteinte à sa vie privée.
Petit détail, la loi stipule bien que la personne doit se trouver dans un lieu privé, condition qu’apparemment, la voiture de Julie Gayet remplit. Si la maitresse de François Hollande gagne sa cause, la partie défenderesse est passible d’une amende de plus de 67 000 $ et d’un an d’incarcération.
Les photos de la voiture représentent une deuxième série de clichés publiés par le magazine Closer. Comme la première vague montrait François Hollande et l’actrice sur la voie publique, elle ne peut être utilisée.
Ce n’est pas d’hier que Julie Gayet tente de mettre la main au collet du responsable des rumeurs la concernant. La première plainte avait été déposée en mars 2013, bien avant que le scandale éclate.