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Tinie Tempah de retour avec We Don’t Play No Games

Tinie Tempah est de retour avec un extrait groovy et original, intitulé We Don’t Play No Games.

La pièce psychédélique est issue du nouveau EP du rappeur, Junk Food.

Véritable sensation depuis cinq ans, Tinie Tempah multiplie les collaborations et semble définir son propre son avec We Don’t Play No Games. Moins accessible et prévisible, et donc moins accrocheuse, la nouvelle offrande de Tinie Tempah n’en est cependant pas moins originale et intéressante.

We Don’t Play No Games met également en vedette MoStack et SneakBo.

La chanson fait suite à la collaboration de Tempah avec Jess Glynne, Not Letting Go, qui s’était retrouvée au sommet des palmarès en Angleterre plus tôt cette année.

Le rappeur avait également proposé Turn the Music Louder en compagnie de KDA et Katy B.

Le EP Junk Food sera lancé le 4 décembre prochain. L’opus fera suite à Demonstration, paru en 2013.

Découvrez Tinie Tempah avec We Don’t Play No Games.

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La malbouffe liée au développement de la maladie d’Alzheimer

Il existerait un lien entre des composantes de divers aliments jugés mauvais pour la santé et une hausse des risques de faire de l’Alzheimer.

Ces résultats, rapportés par The National Library of Medicine, sont ceux obtenus après qu’une équipe de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine de New York aient testé l’impact de ces aliments sur des rongeurs.

Les souris tests ont présenté des traces accrues de bêta-amyloïde au cerveau après que les chercheurs aient intégré dans leur alimentation des composantes retrouvées dans la malbouffe.

La bêta-amyloïde est une protéine responsable des plaques amyloïdes, l’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve ces composantes alimentaires néfastes et propices au développement de l’Alzheimer dans les viandes chauffées à haute température, comme les viandes frites et bouillies, ainsi que dans les produits laitiers pasteurisés.

« On ingère ces toxines par grandes quantités au cours d’une vie », lance la docteure Helen Vlassara, qui dirige les travaux.

Même si Vlassata et son équipe doivent démontrer une cause à effet directe, il s’agit d’une des premières études à démontrer efficacement un possible lien entre la malbouffe et l’Alzheimer.

Les conclusions de ces recherches ont été publiées dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Une ville d’Angleterre veut bannir le fast-food avant 17 h

C’est une formule pour le moins originale que propose le conseil de ville de Salford, en Angleterre. Selon ce que rapporte le Telegraph (UK), une motion sera proposée pour que les chaînes de restauration rapide ne puissent désormais plus servir des aliments frits et néfastes avant 17 h.

Plusieurs raisons expliquent la démarche, mais la principale demeure la protection des étudiants, qui sont friands de ce genre de nourriture.

En empêchant les restaurateurs de vendre du fast-food durant les heures de classe, les autorités croient pouvoir ainsi régler une partie de problème à la source, les étudiants devant alors se tourner vers d’autres solutions alimentaires… plus nutritives.

La motion s’inscrit dans une démarche qui démontre clairement la volonté des autorités de la ville à contrer le phénomène de l’obésité, particulièrement chez les jeunes.

La tentative du conseil de ville peut sembler extrême et friser l’illégalité en terme de libre choix du consommateur et des commerçants, mais elle a au moins l’avantage d’être claire et proactive.

On attend la suite avec impatience!

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L’apport calorique du fast-food encore sous-estimé par la population

« Manger du fast-food, ce n’est pas pire que ça. » Voilà ce que pense fondamentalement une majorité de citoyens des pays largement industrialisés, où pullulent les chaînes de restauration rapide.

Selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, une grande partie de la population en général sous-estime encore grandement les apports caloriques des repas-minute, banalisant ainsi le phénomène.

D’abord les adolescents, qui sous-estiment le nombre de calories ingérées dans leur repas minute préféré dans une proportion de 34 %. Les adultes ne font pas beaucoup mieux, la proportion d’ignorance s’établissant à 20 %, et 24 % chez les parents de jeunes enfants.

Les gens se trompent donc souvent, les chercheurs en tête de l’étude estimant que la différence entre le nombre de calories réelles ingérées et celui présumé par les amateurs de fast-food peut parfois dépasser les 300 calories.

« Plusieurs personnes qui mangent du fast-food ne sont pas bien informées… Obtenir les bonnes informations est une étape importante pour quiconque veut effectuer des changements », s’indigne le Dr Jason Block, qui dirige l’étude.

Il rappelle également que les apports caloriques varient en fonction des chaînes de restaurant, et que toutes les informations concernant ces repas sont disponibles sur demande du consommateur.

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Un régime fort en sel peut mener à diverses maladies chroniques

The National Library of Medicine rapporte une étude qui accuse le sel, mais qui y va de précisions intéressantes.

Notamment en ce qui concerne les maladies chroniques qui peuvent apparaitre à cause d’une alimentation trop riche en sodium. Du lot, on apprend que la sclérose en plaques et la polyarthrite rhumatoïde sont susceptibles de se développer chez les personnes qui mangent trop de sel.

Des conséquences bien plus graves, donc, qu’une simple montée de la pression sanguine, déjà observée chez les amateurs de sel.

« La diète affecte en effet le système immunitaire d’une façon qui n’a peut-être jamais été observée jusqu’à maintenant », lance le Dr David Hafler, professeur en neurologie et immunobiologie à Yale.

C’est après avoir découvert un peu par hasard que les amateurs de restauration rapide affichaient des résultats de tests médicaux inquiétants sur divers plans que les chercheurs ont voulu pousser l’étude plus loin, en précisant les dangers réels d’une consommation de sodium élevée.

Les chercheurs recommandent à tout le monde, mais spécialement aux gens qui souffrent de maladies chroniques comme la sclérose en plaques, d’entamer le plus rapidement possible une diète pauvre en sel.

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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Les Américains se lasseraient-ils de la malbouffe?

Un rapport aussi encourageant qu’improbable, en provenance des États-Unis, fait état d’une baisse de popularité de la malbouffe chez nos voisins du sud.

Pourtant reconnus comme capitale de la restauration rapide et des repas malsains dans le monde, les États-Unis voient leurs statistiques de consommation de malbouffe diminuer pour la première fois.

C’est Top Santé qui rapporte cette nouvelle étonnante, alors que l’organisation du NHANES (National Center For Health Statistics) constate certaines modifications dans la relation des Américains avec leurs chaînes de restauration rapide préférées.

« La baisse est significative, mais beaucoup d’efforts restent à faire », mentionne Cheryl D. Fryar, coauteure de ces recherches.

Cette dernière croit que la baisse enregistrée est en partie due à la sensibilisation massive effectuée au cours des dernières années en Amérique concernant les dangers reliés à la consommation de malbouffe.

Malgré tout, si on regarde les chiffres d’une autre façon, on constate que la malbouffe en général compte encore pour 11 % des calories ingérées quotidiennement par le peuple américain.

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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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L’alternative au fast-food

Bien ou mieux manger ne signifie pas nécessairement se priver de tout ce que vous aimez. Selon Babble, il existe plusieurs solutions intéressantes pour ceux qui aiment manger de « bonnes » choses (au goût, à tout le moins), comme des aliments gras ou encore du fast-food.

Le tour d’horizon s’entame avec le fameux lait frappé, qui serait facilement remplaçable par le moderne et savoureux smoothie. Ce dernier est une boisson de plus en plus populaire, confectionnée notamment avec des fruits, et s’avère moins calorique et tout aussi délicieux.

Pour les amateurs d’ailes de poulet, on suggère fortement d’abandonner la recette Buffalo pour se tourner plutôt vers celle de la Caroline. Les ailes Caroline sont moins salées et sucrées que les Buffalo.

Maintenant, abordons le sujet des fameuses barres de chocolat, des ennemis notables de la santé et du maintien du poids, qui peuvent être aisément remplacées par de nutritives barres dites « granolas ». Vous noterez qu’une large diversité est maintenant offerte sur le marché, et elles sont savoureuses.

On termine avec la pomme de terre frite, principal facteur alimentaire de l’obésité, selon plusieurs spécialistes. Les frites peuvent céder leur place à de belles pommes de terre cuites au four, qui s’avèrent non seulement plus nutritives, mais aussi bien meilleures!