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Kesha Vs Dr Luke : une entente encore possible

Après qu’un juge ait décidé d’invalider la requête en cessation de contrat de la chanteuse Kesha, d’autres options semblent maintenant se dessiner pour l’interprète de Die Young.

Invoquant des raisons variant de l’agression sexuelle au harcèlement physique et psychologique pour expliquer sa volonté de quitter le giron du producteur Dr Luke, Kesha pourrait maintenant s’entendre à l’amiable avec son présumé agresseur.

Lukasz « Dr. Luke » Gottwald pourrait accepter une entente entérinée par Sony si Kesha et lui décidaient de passer par la médiation, rapportent les avocats des deux parties impliquées.

Cela éviterait notamment un procès criminel, qui pourrait perdurer durant des années et étaler au grand jour la vie privée passée des deux artistes.

La manœuvre permettrait également à Kesha et à Dr Luke de reprendre leurs vies et leurs carrières chacun de leurs côtés, ce qui semble à première vue tout aussi bénéfique pour Kesha (c’est d’ailleurs ce qu’elle demande) que pour Dr Luke.

Gottwald et ses avocats continuent de démentir vivement les allégations d’agression sexuelle soulevées par Kesha, mais ne semblent convaincre ni l’opinion publique ni les femmes fortes de l’industrie de la musique.

Taylor Swift, Lady Gaga, Demi Lovato et Kelly Clarkson ne sont que quelques-unes des stars du Top 40 qui ont offert leur soutien inconditionnel à Kesha durant cette période trouble.

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Rihanna se frotte à DC Entertainment

Rihanna fait son entrée dans le monde de DC, mais pas pour les raisons que l’on pourrait présumer.

En fait, Rihanna se frotte à DC Entertainment sur le plan juridique, alors qu’une guerre de droits concernant un prénom bien connu s’apprête à faire rage.

Selon The Independant, DC n’aurait pas apprécié la tentative de commercialisation du nom Robyn de la part de la chanteuse, et s’y oppose maintenant farouchement.

Selon le géant du divertissement, l’utilisation de Robyn aurait pour conséquence de « mélanger et méprendre » le consommateur, qui pourrait y voir un lien avec le fameux personnage de DC.

Robyn s’avère pourtant le nom légal de Rihanna, elle qui s’appelle en réalité Robyn Rihanna Fenty.

Mais Robyn serait trop près de Robin au goût de DC Entertainment, qui tient à sécuriser les droits du nom du célèbre acolyte de Batman.

La demande initiale de Rihanna avait été déposée en 2014, elle qui souhaitait utiliser le nom pour sa ligne de vêtements et de cosmétiques.

Si aucune entente ne survient entre les deux parties, Rihanna et DC pourraient bientôt se retrouver en cour pour mettre un terme au débat.

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Rihanna se frotte à DC Entertainment

Rihanna fait son entrée dans le monde de DC, mais pas pour les raisons que l’on pourrait présumer.

En fait, Rihanna se frotte à DC Entertainment sur le plan juridique, alors qu’une guerre de droits concernant un prénom bien connu s’apprête à faire rage.

Selon The Independant, DC n’aurait pas apprécié la tentative de commercialisation du nom Robyn de la part de la chanteuse, et s’y oppose maintenant farouchement.

Selon le géant du divertissement, l’utilisation de Robyn aurait pour conséquence de « mélanger et méprendre » le consommateur, qui pourrait y voir un lien avec le fameux personnage de DC.

Robyn s’avère pourtant le nom légal de Rihanna, elle qui s’appelle en réalité Robyn Rihanna Fenty.

Mais Robyn serait trop près de Robin au goût de DC Entertainment, qui tient à sécuriser les droits du nom du célèbre acolyte de Batman.

La demande initiale de Rihanna avait été déposée en 2014, elle qui souhaitait utiliser le nom pour sa ligne de vêtements et de cosmétiques.

Si aucune entente ne survient entre les deux parties, Rihanna et DC pourraient bientôt se retrouver en cour pour mettre un terme au débat.

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Potins

Wal-Mart veut en finir avec l’affaire Tracy Morgan

Le géant Wal-Mart semble avoir changé son approche et son attitude concernant le terrible accident impliquant l’un de ses camions et l’acteur et comédien Tracy Morgan.

On rapporte que Wal-Mart en est venu à une entente avec la famille de James McNair, l’ami proche de Tracy Morgan malheureusement décédé dans cet accident survenu au New Jersey l’été dernier.

E! s’est entretenu avec un porte-parole de la chaîne de magasins à grande surface.

« Nous savons qu’il n’y a rien que nous puissions faire pour changer ce qui est arrivé à M. McNair, mais Wal-Mart et sa famille ont travaillé de concert et en sont venu à une entente. Nous allons continuer de travailler pour conclure tous les problèmes reliés à l’accident, et nous sommes dédiés à faire la bonne chose. », explique Brooke Buchanan.

On fait ici bien entendu référence à l’acteur Tracy Morgan, qui a déposé lui-même une poursuite contre Wal-Mart à la suite de révélations indiquant que le chauffeur du camion était « fatigué » lors de l’incident.

Morgan, 46 ans, souffrirait d’une blessure à la tête, aurait du mal à retrouver des fonctions complètes, et a subi plusieurs fractures.

La famille de James McNair s’est de son côté dite satisfaite de l’entente.

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Cinéma

Julianne Moore et Steve Carell se retrouvent pour Freeheld

Digital Spy rapporte que les acteurs Julianne Moore et Steve Carell se retrouveront le temps du tournage d’un projet intitulé Freeheld, qui se base sur le documentaire du même nom.

Julianne Moore et Steve Carell avaient déjà partagé la vedette de Crazy, Stupid, Love, une comédie romantique qui avait fait bonne figure lors de sa sortie.

Steve Carell remplace dans le rôle de l’avocat Steven Goldstein l’acteur Zach Galifianakis, qui s’est retiré du projet pour des raisons de conflit d’horaire.

Freeheld raconte l’histoire d’une bataille juridique concernant les droits de succession des pensions et avantages sociaux s’étant déroulée au New Jersey, un débat entamé par une policière ayant reçu le diagnostic d’une grave maladie.

L’adaptation du documentaire sera réalisée par Peter Sollett, qui a nous a déjà offert Nick & Norah’s Infinite Playlist.

Découvrez la bande-annonce du poignant documentaire original Freeheld.

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Potins

George Clooney remporte sa bataille contre le Daily Mail

Le Daily Mail n’a pas choisi la bonne cible en s’en prenant à George Clooney et en publiant quelques faussetés sur son compte, si l’on se fie aux informations rapportées par Variety.

En effet, Clooney s’est fait menaçant envers le tabloïd, qui n’en est pas à ses premières frasques et poursuites du genre, assez pour que le Daily Mail  retire finalement ses propos et publie des excuses ainsi qu’un erratum officiel.

Le Daily Mail avait suggéré que la belle-mère de l’acteur, qui sera bientôt marié à Amal Alamuddin, s’opposait à cette union. Une « information fausse et de façon démontrable », selon Clooney, qui a forcé le journal à corriger le tir et s’excuser.

George Clooney se réjouit de cette victoire et n’a pas l’intention de jouer la carte de la modestie ou de la discrétion dans ce dossier.

« D’habitude, on rit et on laisse faire.  Je suis habitué après toutes ces années. Mais la chose qui me dérange est à quel point le Daily Mail coule maintenant dans la presse américaine et devient une source pour d’autres journaux légitimes. C’est la chose qui m’inquiète », lance l’acteur.

Affirmant qu’il est « bon de tabasser ces gars-là de temps en temps », Clooney estime qu’il faut choisir ses combats dans la vie, et que ceux menés contre les tabloïds devraient être ceux qui mettent en danger la famille d’un individu et son intégrité.

L’acteur, réalisateur et activiste vient encore une fois d’agir à la hauteur de sa réputation, sans perdre une once de sa classe légendaire.

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Drake poursuivi par son styliste

Les poursuites sont fréquentes ces temps-ci du côté des rappeurs, semble-t-il, et Drake est le plus récent membre à s’ajouter à cette liste peu enviable.

Le rappeur canadien vient en effet de recevoir un avis de poursuite concernant un montant de 40 000 $ impayé à son ancien styliste, Michael Raphael. Ce dernier allègue que l’artiste et ex-star de Degrassi aurait omis de rembourser plusieurs montants de dépenses accumulés au cours de son travail.

Un autre montant s’ajoute pour un mois de salaire impayé, une décision prétendument soudaine du rappeur, pour un montant final de 76 000 $, selon Female First (UK).

À première vue, il semble que Drake devra payer, car le styliste possède des reçus et une histoire relativement facile à démontrer devant un juge.

Parions toutefois que l’interprète de Started From The Bottom n’aura aucun mal à s’acquitter de cette dette, s’il se voyait condamner.

Drake sort par ailleurs tout juste d’une autre bataille juridique, cette fois concernant une altercation impliquant Chris Brown dans un club de New York, bataille qu’il a finalement remportée.

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Shia LaBeouf en guerre juridique contre son oncle

Plus tôt cette année, Shia LaBeouf et sa mère, Shayna Saide, poursuivaient Barry Saide en disant qu’il n’avait pas remboursé la totalité des 800 000 $ qu’il avait empruntés à son neveu. Seulement, une guerre juridique vient d’être déclenchée.

Barry Saide a déposé sa propre poursuite contre l’acteur et sa mère à la Cour Suprême de Manhattan, à New York, disant que LaBeouf et sa mère tentaient de le mettre en faillite, et ce, malgré le fait qu’il les a grandement aidés avant que l’acteur devienne une vedette de cinéma.

Dans les documents de l’oncle de LaBeouf, on peut lire : « Si j’avais cru que Shayna et Shia prendraient ces mesures extraordinaires et chercheraient à m’appauvrir, jamais je n’aurais emprunté un dollar à Shia. Avant son ascension au rang de star, j’ai prêté des centaines de milliers de dollars à Shayna et Shia pour les aider ».

LaBeouf affirme que son oncle avait accepté de rembourser le montant emprunté en 15 versements entre janvier 2011 et avril 2012. Il cherche maintenant à se faire rembourser la somme manquante, plus les intérêts qui s’élèvent à 40 000 $.

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Shia LaBeouf en guerre juridique contre son oncle

Plus tôt cette année, Shia LaBeouf et sa mère, Shayna Saide, poursuivaient Barry Saide en disant qu’il n’avait pas remboursé la totalité des 800 000 $ qu’il avait empruntés à son neveu. Seulement, une guerre juridique vient d’être déclenchée.

Barry Saide a déposé sa propre poursuite contre l’acteur et sa mère à la Cour Suprême de Manhattan, à New York, disant que LaBeouf et sa mère tentaient de le mettre en faillite, et ce, malgré le fait qu’il les a grandement aidés avant que l’acteur devienne une vedette de cinéma.

Dans les documents de l’oncle de LaBeouf, on peut lire : « Si j’avais cru que Shayna et Shia prendraient ces mesures extraordinaires et chercheraient à m’appauvrir, jamais je n’aurais emprunté un dollar à Shia. Avant son ascension au rang de star, j’ai prêté des centaines de milliers de dollars à Shayna et Shia pour les aider ».

LaBeouf affirme que son oncle avait accepté de rembourser le montant emprunté en 15 versements entre janvier 2011 et avril 2012. Il cherche maintenant à se faire rembourser la somme manquante, plus les intérêts qui s’élèvent à 40 000 $.