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Repas devant la télévision pendant la grossesse : facteur d’obésité juvénile

La principale raison soulevée par les chercheurs réside dans le fait que les futures mères qui ont cette mauvaise habitude nourriront leur enfant devant la télévision. Par conséquent, elles remarqueront moins lorsque l’enfant a suffisamment mangé.

L’auteure principale de l’étude menée à Université de médecine de New York, Dre Mary Jo Messito, affirme même que la « prise de repas devant la télévision pendant la grossesse sera l’un des points mis de l’avant dans le guide de prévention de l’obésité infantile ».

Le Daily Mail rapporte que les femmes enceintes ayant participé à ce projet provenaient toutes de familles hispaniques à faible revenu. Elles étaient 189 à être suivies de leur grossesse jusqu’à 3 ans suivant l’accouchement.

Pendant la grossesse, 71 % des femmes ont affirmé passer du temps devant la télévision lors des repas. Lorsque les enfants sont nés, 33 % des nouvelles mamans ont affirmé que leur enfant était exposé à la télévision pendant qu’elles le nourrissaient.

Ainsi, les femmes ayant regardé la télévision pendant leur grossesse étaient 5 fois plus susceptibles d’exposer leur enfant à la même chose.

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Bonne nouvelle pour les enfants épileptiques

Le deux tiers des jeunes atteints d’épilepsie myoclonique juvénile, qui touche les adolescents et les jeunes adultes, finissent par ne plus du tout avoir de symptômes de la maladie. De plus, 30 % d’entre eux pourront cesser tout traitement, selon une étude publiée dans la revue en ligne Epilepsia.

Ces résultats prouvent donc l’efficacité des traitements contre l’épilepsie de longue durée.

En fait, quelques facteurs peuvent prédire que les crises disparaissent. Par exemple, l’enfant peut avoir des crises généralisées au départ de l’épilepsie, qui sont souvent précédées de crises myocloniques et que l’on traite avec une médecine antiépileptique.

Aussi, l’un de ces signes est la rémission ainsi que la fréquence des crises généralisées pendant le traitement.

Cependant, à la fin du traitement, le patient soumis à de brefs éclairs lumineux auquel réagit le cerveau en envoyant des décharges est susceptible de subir d’autres crises dans l’avenir.

Généralement, l’étude a quand même permis de prouver que le traitement antiépileptique à long terme est efficace.

Rappelons qu’une équipe de l’Université Concordia à Montréal a créé une méthode informatisée pour détecter les crises plus rapidement et de façon plus précise. L’algorithme peut vérifier les signaux électriques du cerveau des personnes et déterminer plus clairement quand survient une crise.

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Les enfants souffrants d’arthrite seraient plus sujets aux infections

Les victimes aux prises avec de l’arthrite juvénile idiopathique sont plus souvent hospitalisées pour cause d’infection, selon une étude qui apparait dans l’Arthritis & Rheumatism, un journal de l’American College of Rheumatology.

En fait, ce sont les stéroïdes qu’on leur prescrit qui augmenteraient de façon significative les risques d’infections.

L’arthrite est une inflammation des jointures qui cause de la douleur, de l’enflure, de la raideur et qui peut mener jusqu’à l’invalidité.

Les experts estiment que plus de 300 000 enfants sont victimes d’arthrite aux États-Unis. Bien que les traitements immunosuppresseurs, comme les stéroïdes, soient utilisés dans le traitement de la maladie, les risques d’infections qu’ils comportent sont moins bien connus.

« Un traitement sans stéroïdes pourrait réduire les risques d’infections sérieuses chez les enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique », explique le docteur de l’Université d’Alabama de Birmingham et chef de la recherche, Thimothy Beukelman.

Rappelons que les enfants atteints d’arthrite juvénile idiopathique ont un risque quatre fois plus élevé de développer des tumeurs malignes cancéreuses que les autres enfants qui n’ont pas cette maladie ou encore que ceux qui souffrent d’un autre problème de santé, comme l’asthme ou un trouble de l’attention avec hyperactivité.