Alors que le monde du cinéma québécois est touché par une nouvelle vague d’allégations de comportements inappropriés contre Sylvain Archambault, certains estiment que la prise de position de Sophie Prégent, présidente de l’Union des Artistes, n’est pas la bonne.
Invitée ce matin même, 8 novembre, au micro de Paul Arcand sur 98,5FM, Sophie Prégent a, semble-t-il, pris partie aux côtés du réalisateur sur le banc des accusés.
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« Si on vous demande de commenter cette nouvelle, ce n’est pas pour avoir l’opinion de Sophie Prégent «l’actrice», mais bien comme présidente de l’UDA. Un devoir de neutralité s’imposait », affirme Marc-André Grondin dans une lettre ouverte à l’attention de Sophie Prégent, publiée sur Twitter.
« Vous vous êtes placée ce matin à la défense d’un réalisateur, au détriment de vos membres (…) Je m’interroge ce matin sur votre capacité à distinguer vos expériences personnelles de votre devoir syndical et remet ainsi en doute votre capacité à remplir le rôle pour lequel vous avez été élue », écrit sans ambages l’acteur québécois.
Marc-André Grondin n’est pas la seule personnalité du cinéma québécois a avoir été choqué par le comportement de Sophie Prégent.
En effet, Karine Vanasse a également fait entendre sa voix et son désaccord sur Twitter :
« Suite a la lecture de cet article, je me demande ceci : est-ce qu’un acteur/actrice encore actif peut, de facon impartiale, representer les autres membres UDA a titre de President et ce, en toutes circonstances ? ».
À date, Sophie Prégent, présidente de l’UDA depuis 2013, n’a pas encore répondu à ces accusations.
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