Jean-Charles Lajoie est partout! Le 91,9 Sports a vraiment relancé sa carrière dans les médias.
JiC était donc l’invité parfait afin de participer à l’émission Dans les médias, diffusée de façon hebdomadaire sur Télé-Québec.
Marie-Louise Arsenault a reçu la semaine dernière le coloré animateur québécois… Qui a profité de cette tribune à la télé pour parler du contrôle (très serré) de l’image et de l’information du Canadien de Montréal.
Jusqu’où va l’emprise du Groupe CH?
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Gros plan – Le contrôle médiatique du Canadien de Montréal
On dit des Canadiens de Montréal que c’est une équipe professionnelle qui exerce un vrai «contrôle d’image». Mais jusqu’où va leur emprise #danslesmédias? On en a discuté avec l’animateur Jean-Charles Lajoie, du 91.9 Sports
Posted by Dans les médias on Monday, 4 December 2017
L’opacité chez le Canadien était le gros sujet de la semaine à Dans les médias… Et voici ce qu’avait à raconter Jean-Charles Lajoie :
– L’organisation du Canadien est très opaque. Elle agit comme un gouvernement. On n’est pas loin du KGB. C’est la culture du silence. C’est l’omerta. Et ça ne sert pas l’équipe au final. Cacher la vérité, c’est prendre le monde pour des caves et c’est une grave erreur aujourd’hui. Prenez l’exemple de la blessure de Carey Price…
– À l’ère des blogues indépendants et des médias sociaux, il y a beaucoup trop de dérapages à la suite de la non-divulgation des infos concernant la blessure de Carey Price.
À ce que je sache, Réjean et Mario Tremblay ne travaillent pas pour un blogue indépendant, mais bon…
– Le coach du Canadien parle aux médias plus souvent que nos politiciens. Il répond souvent avec du vide.
– Le sport occupe beaucoup de place dans le paysage médiatique… Surtout le Canadien.
– Les rumeurs et les discussions sportives prennent plus de place que le jeu lui-même dans les médias québécois. Jacob de la Rose fait davantage parler les gens publiquement qu’un ministre de l’éducation et de l’enseignement supérieur. Ça frôle la maladie…
– Il y a un danger au monopole… #Canadien #HydroQuébec #BellDansLeTemps
Vivement le retour des Nordiques!
– Le 91,9 Sports produit sept minutes de contenu autour du Canadien pour chaque minute jouée. Et ça pogne! C’est écouté!
– Quand le 91,9 Sports parle d’un sujet autre que le hockey (le Canadien, en fait), l’auditoire chute. C’est un fait.
Les gens aiment entendre JiC parler du Canadien, et non d’autre chose…(Crédit: Télé-Québec (capture d’écran))
– Les partisans ont une écoeurantite aiguë envers la façon dont ils sont traités par l’organisation montréalaise. C’est (en partie) pourquoi les prix (des billets) ont tant chuté récemment… #Arrogance #JeuDangereux #PrendreLePublicPourAcquis
– En 2003, le Canadien perdait de l’argent (dans une année).
À noter que Jean-Charles a livré ce message alors que le CH essuyait davantage de défaites que de victoires. Parler négativement contre le Canadien passe toujours mieux lorsque le club perd…
Je suis certain que plusieurs d’entre vous n’ont pas aimé le message de JiC parce que votre club est sur une lancée. Mais vous ne pouvez tout de même pas dire que Jean-Charles dans le champ avec ses propos…
Par contre, comparer l’organisation du Canadien au KGB, une police politique qui a été liée à de nombreux morts durant l’existence de l’URSS (et encore aujourd’hui) était par contre un peu maladroit, il faut l’admettre…
En rafale
– Les Flyers ont battu les Flames (5 à 2) hier soir à Calgary. Ils avaient auparavant perdu leurs 10 derniers matchs. Avant la rencontre d’hier, Ken Hextall a cru bon donner un (gros) vote de confiance à son coach Dave Hakstol. Il faut croire que ça a fouetté les joueurs et qu’ils ont compris le message…
https://twitter.com/BroadStBull/status/937854215631921153
Hextall: Dave Hakstol is our coach and will remain our coach. Period. He inferred it would be beyond this year, but didn’t specifically say that.
— Sam Carchidi (@BroadStBull) December 5, 2017
– Il ne faut juste pas trop en demander à David Schlemko. Non, il n’est pas le partenaire idéal pour jouer aux côtés de Shea Weber. Mais Jordie Benn l’est-il plus, lui?
L’ancien DG Don Maloney a de très bons mots pour David Schlemko.Il ne faut juste pas s’attendre à ce qu’il assume un rôle plus grand que celui qu’il a déjà eu. https://t.co/h1o1IxxJ7o
— Marc Antoine Godin (@MAGodin) December 5, 2017
Schlemko a joué entre 15 et 21 minutes par rencontre depuis son retour au jeu.
– Jesse Puljujarvi a trois buts lors de ses quatre derniers matchs (aux côtés de Connor McDavid)… Et Pierre-Luc Dubois patine sur le premier trio à Columbus.
HOCKEY – À travers la LNH #lapresseplus https://t.co/rgGKSOpugK
— Mathias Brunet (@mathiasbrunet) December 5, 2017
– Le fond d’écran parfait pour ceux et celles dont l’écran est brisé!
reddit user u/KingsBridgeGarden with an ingenious way to hide his broken phone screen pic.twitter.com/uJQeXZfJzg
— Flintor (@TheFlintor) December 5, 2017
– L’Impact aurait discuté avec l’agent du jeune défenseur central argentin Nehuen Paz.
Selon @cabrerahercap, les premiers contacts entre l’Impact de Montréal et les représentants de Nehuen Paz ont été faits.#IMFC pic.twitter.com/pC99b2Od1M
— Nilton Jorge (@NiltonJorge) December 5, 2017
Les secrets du KGB exposés
Au coeur de la guerre froide des années 1960-1970 qui a marqué la politique internationale entre l’Est et l’Ouest, les services de renseignements du KGB régnaient en roi et maître en Union Soviétique.
Le pays, qui regroupait alors la Russie et plusieurs autres républiques aujourd’hui indépendantes, était infiltré partout et le KGB travaillait de concert avec Intourist, l’agence de tourisme de l’époque, afin d’avoir à l’oeil les touristes.
À Tallin, en Estonie, Intourist dirigeait les voyageurs à l’hôtel Viru, aujourd’hui la propriété du groupe finlandais Sokos, et le KGB occupait le 23e étage de l’établissement afin d’épier chacun de ceux-ci pour y repérer de potentiels espions.
En 1991, alors que les Estoniens manifestaient pour rétablir l’indépendance de leur pays, le KGB a fui l’hôtel en hâte, laissant derrière lui tout l’équipement utilisé pour la surveillance.
Tout cet équipement est maintenant au coeur d’une exposition baptisée Viru Hotel and the KGB et tenue sur les lieux même de l’hôtel Viru.
Transmetteurs, postes d’écoute, vieux téléphones jadis à la fine pointe de la technologie et classeurs, tout y est pour que le visiteur puisse jeter un coup d’oeil sur les installations de ce qui fut jadis la police secrète la plus crainte au monde.