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Apprendre à maintenir son poids avant d’en perdre serait plus efficace

www.nlm.nih.gov propose aux gens qui luttent contre les kilos en trop de peut-être agir bien avant de commencer à perdre réellement du poids.

On entend par là que les gens qui désirent maigrir devraient se conscientiser aux raisons pour lesquelles ils ont du mal à maintenir un poids régulier. Changer ses habitudes avant de perdre de la masse offrirait de plus grandes chances de succès, c’est-à-dire de ne pas reprendre le poids perdu.

Car c’est là une bonne partie du problème. Si plusieurs personnes parviennent à maigrir, une bonne partie reprendra éventuellement et progressivement les kilos perdus.

C’est spécialement vrai pour les femmes, selon une étude publiée par l’Université Stanford. Les chercheurs ont observé les comportements de 267 femmes en surpoids durant 28 semaines.

Séparées en deux groupes, les femmes du groupe A devaient passer huit semaines à apprendre comment bien maintenir leur poids, avant de passer aux 20 semaines du programme d’entraînement et de perte de masse.

Les femmes du groupe B ont plutôt fait le contraire, perdant d’abord du poids grâce au programme, puis apprenant les rudiments par la suite.

Après un an passé chacune de leur côté, les femmes du groupe A avaient repris, en moyenne, trois livres, pour sept livres chez celles du groupe B.

La théorie initiale s’avère donc exacte, selon les chercheurs.

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Le stress fait engraisser

Selon une recherche, dont les détails sont publiés dans l’American Journal of Epidemiology, le stress ferait engraisser particulièrement les personnes qui ont déjà un surplus de poids.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe du Dr Jason Block, de l’Université Harvard aux États-Unis, a travaillé avec 1 355 sujets.

Ce sont les femmes qui sont plus sensibles aux effets du stress comparativement aux hommes. Ces dernières avouent que ce sont les situations familiales difficiles et les finances personnelles qui génèrent le plus de stress chez elles, tandis que les hommes sont plus stressés par la vie professionnelle.

« Nos résultats montrent que le stress devrait être reconnu comme une menace pour le bien-être des adultes américains, surtout ceux qui sont déjà en surpoids. De plus, on remarque des différences apparentes liées au sexe dans la façon dont le stress influence la prise de poids », a indiqué le Dr Block.

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Quelques kilos en trop pour vivre vieux

Une recherche menée avec plus 11 000 sujets ayant un surplus de poids a permis de conclure que cette condition n’entrave pas la longévité, bien au contraire.

En fait, selon l’équipe du Dr Mark Kaplan, coauteur de l’étude, ces patients vivent plus vieux que ceux qui ont un poids santé.

« Cela peut être attribué au fait que les quelques kilos en trop protègent les gens un peu plus âgés contre le déclin de la santé. Mais cela ne veut pas dire que les personnes ayant un poids santé peuvent engraisser sans s’en soucier », ont indiqué les auteurs.

Les résultats démontrent qu’un poids en dessous de la moyenne est associé à un risque de mortalité de 70 % supérieur à ceux ayant un poids normal.

Quant à ceux ayant un surplus de poids, le taux de mortalité était de 17 % inférieur aux patients ayant un poids santé.

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Les conséquences de prises de poids trop rapides

Une étude, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale Diabetes, nous apprend que les adolescents qui engraissent trop rapidement au cours de cette période charnière du développement sont plus à risque de souffrir de maladies cardiovasculaires à l’âge adulte.

Ce phénomène est attribué à la graisse abdominale qui est plus importante.

Des chercheurs suédois associés à l’Université de Gothenburg ont travaillé avec 612 jeunes hommes de 18 à 20 ans et ont découvert que ceux dont l’indice de masse corporelle avait considérablement augmenté au cours de l’adolescence avaient plus de graisse abdominale, souvent associée au diabète de type 2 et aux maladies coronariennes.

L’un des auteurs, la Dre Jenny M. Kindblom, recommande donc de surveiller davantage la prise de poids chez les adolescents.

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La relation entre l’obésité et la douleur chronique

Les travaux menés par le Dr Richard B. Lipton, du Collège de médecine Albert Einstein de New York, lui permettent de conclure que les personnes âgées ayant une surcharge pondérale sont plus à risque d’être touchées par la douleur chronique.

840 sujets de plus de 70 ans ont participé à cette étude publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. 52 % d’entre eux avouaient souffrir de douleur chronique, particulièrement les femmes.

Ceux qui étaient obèses étaient deux fois plus touchés par la douleur chronique que les participants ayant un poids santé.

De plus, le Dr Lipton affirme que ce phénomène peut être attribué au fait que l’obésité fait travailler davantage les articulations du corps, ce qui peut exacerber la douleur chronique.

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Les conséquences d’un léger surplus de poids

Une recherche, publiée dans Circulation, prouve qu’un léger surplus de poids et une inactivité sont suffisants pour que l’incidence d’insuffisance cardiaque soit en hausse.

L’auteur principal de cette étude, le Dr Satish Kenchaiah, assure qu’un peu d’exercice physique quotidiennement est suffisant pour faire diminuer ce risque.

Pour arriver à ces conclusions, 21 000 participants ont été suivis pendant 20 ans. Ceux qui avaient un indice de masse corporelle de 25 à 29,9 voyaient leur incidence d’insuffisance cardiaque augmenter de 49 % comparativement aux sujets ayant un poids santé.

Le cardiologue Gerald Fletcher a réagi à ces résultats : « Ces résultats renforcent ce que l’on affirme depuis des années. Sans être obèse, avoir un surplus de poids est considéré comme un facteur de risque de l’insuffisance cardiaque. »

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Le sevrage de la cigarette, plus difficile pour les femmes

Un sondage Angus Reid, mené pour le compte de Johnson & Johnson, nous apprend que les femmes sont plus préoccupées par l’irritabilité et le gain de poids provoqués par le sevrage de la cigarette, au point où elles remettent en question l’abandon de cette habitude.

77 % des répondantes ont affirmé être inquiètes à l’idée d’engraisser lors de l’arrêt du tabagisme, comparativement à 48 % de la gent masculine.

De plus, dans 10 % des cas, les femmes interrogées ont avoué griller des cigarettes dans l’espoir de mieux contrôler leur poids, voire même maigrir.

« L’image de soi chez la femme est très souvent biaisée et tend à encourager un tel comportement », a expliqué Nadine Bonneville, nutritionniste et intervenante en cessation tabagique à la Clinique d’aide aux fumeurs de l’Hôpital Laval de Québec.