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Le batteur de Metallica en a déjà marre du président américain, qui n’est pourtant qu’en début de mandat.

Pour Lars Ulrich, davantage devrait être tenté afin de « rassembler les gens », et non pour diviser.

Le musicien fait référence au fameux mur que Donald Trump souhaite ériger le long de la frontière séparant les États-Unis du Mexique.

« Je ne pense pas que le monde ait besoin de quelconques murs. Je pense qu’on doit rassembler les gens. Metallica voyage partout dans le monde, et on tente de rassembler à travers la musique. Alors, que l’on soit au Mexique, ou encore en Asie, ou en Europe ou peu importe, on encourage le plus de gens de différents origines et profils à se rassembler et à partager la musique, la vie et la culture et toutes ces expériences », lance Lars Ulrich en entrevue avec une chaîne de télévision mexicaine (Las Estrellas), rapporte BANG Media International.

En janvier dernier, le collègue d’Ulrich au sein de Metallica Kirk Hammett avait lui aussi attaqué Donald Trump en marge de son inauguration, et avait urgé les gens à « se tenir debout » et à « demeurer attentif ».

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Le guitariste de Metallica Kirk Hammet fait peut-être partie du groupe rock le plus populaire de la planète, reste qu’il a été fortement impressionné par sa rencontre avec David Bowie au début des années 2000.

Hammett a d’ailleurs raconté sur son blogue que lors de la tournée Madly in Anger, en marge de l’album St. Anger, Metallica avait joué quelques dates en compagnie de David Bowie, Velvet Revolver et Joe Satriani. De ce fait, Metallica résidait au même hôtel que l’équipe de David Bowie, si bien que Hammet a pu prendre un autobus entre le stade et l’hôtel en compagnie du chanteur maintenant décédé.

«Je me sentais comme les gars dans Wayne’s World (devant Alice Cooper). Robert (Trujillo) et moi avons monté les marches, et là, il y avait David Bowie qui nous disait de venir et de nous asseoir. Nous nous sommes assis et les fans que nous étions ont déballé leurs souvenirs. Je ne me rappelle pas de tous les détails, mais nous avons parlé de musique et de son amour pour les Dandy Warhols. Je me suis aussi excusé d’avoir piqué le titre Leper Messiah, et il a ri», s’est remémoré le musicien.

Fan avoué de science-fiction, Kirk Hammett avait apprécié le jeu de Bowie dans The Man Who Fell to Earth, notamment. «Je me souviens d’avoir regardé ce film et d’avoir été désorienté et confus. Je me demandais si c’était trop sophistiqué pour mon cerveau d’adolescent. Mais en même temps, une chose me trottait dans la tête : l’image de Bowie en Alien et c’était exactement la représentation que je me faisais d’un extraterrestre», a-t-il expliqué.

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