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Bertrand Cantat riposte et porte plainte

Le chanteur de Noir Désir, Bertrand Cantat, attaque en diffamation l’ex-compagnon de Krisztina Rady qui l’accusait d’exercer une « terreur psychologique » sur sa compagne.

L’histoire remonte à 2010. Le 10 janvier, l’ex-femme de Cantat, Krisztina Rady, s’enlevait la vie dans son appartement. Une histoire qui a des répercussions récentes. Le 22 août dernier, le compagnon de Rady, François Saubadu, suggère dans une entrevue accordée à VSD la responsabilité du chanteur. « Je peux attester de la terreur psychologique que Bertrand Cantat exerçait sur Krisztina. »

Devant ces accusations à peine voilées, le rockeur riposte : « Monsieur Bertrand Cantat a saisi mardi 5 novembre le doyen des juges d’instruction de Paris d’une plainte en diffamation », a annoncé dans un communiqué l’avocat du chanteur, Me Aurélien Hamelle.

La plainte vise M. Saubadu, le directeur de la publication de VSD, Rolf Heinz, et l’auteure de l’article. « Cette plainte a été déposée conjointement à celle déposée par les parents de Madame Krisztina Rady en raison du même article de VSD », a ajouté l’avocat.

D’ici la conclusion de cette autre histoire judiciaire dans la vie de Cantat, le chanteur et son nouveau groupe, Détroit, lanceront le 18 novembre prochain en France un premier disque intitulé Horizons.

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Bertrand Cantat à nouveau sur la sellette

Le chanteur du groupe Noir Désir, Bertrand Cantat, condamné pour coups mortels sur l’actrice Marie Trintignant en 2004, pourrait à nouveau avoir à faire face à la justice.

Une enquête préliminaire vient d’être rouverte par le parquet de Bordeaux, en France, afin de faire la lumière sur la mort de l’ex-femme du chanteur survenue en 2010.

À l’époque, l’enquête avait conclu que Krisztina Rady s’était suicidée par pendaison. Selon ce qu’a appris Europe 1, les avocats croient plutôt que la mort de Rady est liée à des violences psychologiques que le chanteur de Noir Désir a exercées sur elle. 

La couronne étaye ses arguments à la suite d’un message désespéré de la victime, enregistré sur le répondeur de ses parents le 3 juillet 2009, soit six mois avant sa mort. 

« Hier, j’ai failli y laisser une dent. Il m’a balancé mon téléphone, mes lunettes. Il m’a jeté quelque chose de telle façon que mon coude est totalement tuméfié et, malheureusement, un cartilage s’est même cassé. Avec lui dans un état aussi grave, on n’arrive pas à réfléchir la tête claire. On ose à peine respirer dans cet état de peur. »