Catégories
Uncategorized

Les agrumes en prévention des kystes

On apprend via Santé Log que les agrumes et ses produits dérivés seraient de puissants ennemis des kystes, et préviendraient notamment de la formation de kystes rénaux, un problème de santé grave.

Ce serait une composante spécifique des agrumes qui serait particulièrement efficace contre la formation de kystes, soit la naringénine.

Cette dernière serait en fait un antioxydant, on l’aurait deviné, et permettrait de lutter efficacement contre la polykystose rénale, selon cette nouvelle étude publiée dans le British Journal of Pharmacology.

La polykystose rénale touche pas moins d’un million de personnes à travers le monde et peut mener à l’insuffisance rénale, et donc à la mort prématurée.

Alors que les traitements de la maladie se font rares, une équipe de scientifiques de l’Université Royal Holloway et de l’Université de Londres croient qu’une partie de la solution se trouve peut-être dans la naringénine.

Après avoir injecté l’antioxydant compris dans les agrumes à une lignée cellulaire, sur laquelle on a déclenché la formation de kystes, les chercheurs ont constaté que la naringénine bloquait le processus kystique, tout simplement.

D’autres études sont à prévoir pour confirmer la cause à effet, mais on suggère déjà aux patients à risque de développer ce genre de problèmes de consommer régulièrement des produits aux agrumes, et on avance même que ces derniers pourraient également venir en aide au métabolisme de personnes diabétiques.

Catégories
Uncategorized

Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.