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Les soeurs Boulay en concert à La Havane

En pleine tournée de concerts, Les soeurs Boulay ont fait un petit stop dans l’hiver difficile en s’arrêtant pour la Foire Internationale du Livre de La Havane, dimanche 12 février.

Représentant fièrement le Québec, Mélanie et Stéphanie Boulay ont eu le luxe de donner un concert au soleil couchant sous la chaleur cubaine.

« Hier on a fait un spectacle à La Havane dans le cadre de la Foire Internationale du Livre. Ça paraît pas full sur la photo mais y avait le soleil qui descendait pis une certaine magie dans nos coeurs de voir des Québécois, des Canadiens pis des Cubains rassemblés pour de la musique en français. Merci à Louis-Frédéric Gaudet et à tous les autres qui ont rendu ça possible », légendent les Soeurs Boulay sur une photo de leur spectacle sur Instagram.

En fières ambassadrices, Mélanie et Stéphanie Boulay ont eu la chance de faire partie d’un petit microcosme de jeunes auteurs québécois conviés pour cette Foire Internationale. Cette année, le Canada était à l’honneur pour faire la part belle à la diversité culturelle du pays. 

Mais la magie cubaine va bientôt devoir s’arrêter pour les deux jeunes Québécoises. Dès le 17 février prochain, elles sont attendues dans une salle de Québec pour un nouveau concert qui sera, cette fois-ci, plutôt enneigé.

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com
Crédits photo : INSTAGRAM

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Dossier moyen (600 mots)

Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Dossier moyen (600 mots)

Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Paris Hilton visite Cuba

L’héritière Paris Hilton profite du réchauffement des relations américano-cubaines pour visiter La Havane.

La riche blonde a publié sur Instagram quelques images d’elle prises dans la capitale cubaine.

Paris Hilton semble réellement apprécier sa visite. Comme la plupart des visiteurs qui se rendent pour la première fois à La Havane, la beauté des immeubles a frappé la starlette : « Il y a tant de belles architectures ici à Cuba. » Avant d’ajouter : « J’adore le vieux La Havane, tellement beau et unique. »

L’ouverture des relations entre Cuba et les États-Unis permet maintenant aux Américains de voir ce pays des Caraïbes pour une première fois en plusieurs décennies. Outre Paris Hilton, Naomi Campbell séjournerait aussi sur l’île en ce moment.

L’arrière grand-père de Paris, Conrad Hilton, le fondateur de l’empire hôtelier Hilton avait ouvert un hôtel à Cuba à la fin des années 50. Il avait été nationalisé par le président Castro en 1960, comme toutes les propriétés américaines.

Photo : Instagram

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Cuba : Le cigare, le rhum et viva la vida

 Les premières bouffées
La légende raconte que les conquérants espagnols au XVe siècle, sur la route du Nouveau Monde et débarquant dans la Caraïbe, trouvèrent les Indiens Tainos fumant des rouleaux de feuilles de tabac pour en avaler la fumée. Vite séduits, ils améliorèrent la formule. Le cigare était né.
 
Inimitables Habanos
Les cigares cubains ont leur appellation contrôlée, ce sont des Habanos et non des Havanes comme on les nommait naguère. Ils sont obligatoirement roulés à Cuba avec du tabac récolté dans l’une des cinq zones de production. Les meilleurs cigares sont fabriqués avec les productions de Vuelta Abajo et de Partido.
 
Roulés à la main.
Il faut visiter à Cuba une fabrique de cigares. La maison Partagas à La Havane ouvre entrepôts et ateliers aux touristes. Les balles de tabac odorantes se transforment au fil des manutentions en feuilles triées, pesées, mesurées pour terminer en cylindre à la cape soyeuse et à la tripe plus ou moins puissante. Les cigarières, indifférentes aux visiteurs, écoutent leur feuilleton radiophonique, tout en roulant, avec une dextérité incroyable, ce qui sera un Lusitanias ou un Petit Corona.
 
Marques et arnaques
Il existe plus de quarante marques de cigares. En vedette, le Cohiba préféré, dit-on, de Fidel Castro qui ne fume plus ! Quelques autres grandes marques : Bolivar, El Rey del Mondo, Montecristo, Punch, Partagas, Quai d’Orsay, Romeo et Juliette et Upman. Le « puro » est un petit cigarillo noir et intense que fument les Cubains. Attention aux arnaques, ne pas acheter, dans la rue, des cigares qui sont proposés comme des bonnes affaires. Achetez les dans les magasins spécialisés.
 
Le rhum fabriqué depuis 500 ans
Le rhum brut est fabriqué depuis le XVIe siècle dans les plantations de canne à sucre de la Caraïbe. Il a suivi l’essor des distilleries et est devenu l’une des industries les plus rentables de Cuba. Sous-produit de la canne, la mélasse fermentée et chauffée révèle un alcool pouvant atteindre 70°. Vieilli dans des fûts en bois, il prend sa couleur ambrée.
 
Havana Club l’incontournable
Le rhum le plus prisé est le Havana Club. Une grande partie de sa production part à l’exportation. Blanc ou doré, on le trouve comme composante indispensable des cocktails cubains. Des rhums d’inégales qualités et moins chers se trouvent un peu partout. Boisson favorite des Cubains, le « ron » est de toutes les fêtes.
 
Les cocktails made in Cuba
Mis à la mode par les Américains qui venaient en villégiature à Cuba dans la première moitié du XXe siècle et durant la période de la prohibition (1919-1933), les cocktails à base de rhum ont fait florès. Le plus célèbre est le daiquiri, mélange de citron vert de rhum et de sucre à boire au bar Floridita. Mary Pickford, actrice du cinéma muet et cliente de l’hôtel Sévilla, laissa son nom à un mélange de jus d’ananas, de rhum et de marasquin. Le mojito, toujours en vogue, mixte menthe fraîche, citrons verts, rhum, sucre et eau gazeuse.
 
Le Cuba libre
Connu et bu dans le monde entier, il ne doit pourtant rien à Fidel Castro, mais à la première révolution cubaine de 1902, c’est le Cuba Libre : un cocktail à base de Coca, rhum ambré et citron.

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Nouvelles quotidiennes

Une brasserie, premier pas de la conversion au tourisme du port de La Havane

L’ouverture sur la baie de La Havane d’une vaste brasserie autrichienne dans un ancien entrepôt de bois et tabac a marqué fin mars le premier pas d’un ambitieux programme d’urbanisme visant à convertir au tourisme l’historique port de la capitale cubaine.

Pouvant accueillir jusqu’à 450 personnes, la vaste halle métallique, simplement rebaptisée « ancien entrepôt du bois et du tabac », est devenue le premier établissement public situé directement au bord des eaux de la vaste baie de La Havane, essentiellement consacrée au commerce depuis cinq siècles.

Un demi-million de dollars ont été investis dans l’entreprise, qui importe d’Autriche tous les malts et autres produits nécessaires à la brasserie.

Autour de l’entrepôt, des brigades d’ouvriers convertissent les abords en promenade pavée, bouleversant l’apparence des quais où durant des siècles ont abordé les navires chargés des richesses du Nouveau Monde à destination de l’Espagne et du reste de la planète.

Couvrant plus de 5 km2 et abritant encore de nombreuses activités industrielles, dont une raffinerie, la baie de La Havane est appelée à de nouveaux horizons.

Trop étroite et pas assez profonde pour les nouveaux navires de commerce, la baie de La Havane se tourne vers le tourisme, grâce à l’ouverture à Mariel, 50 km plus à l’ouest, d’un nouveau « mégaport » destiné aux navires-gros porteurs et comptant une zone d’entreprises de 465 km2.

Avec le transfert des activités commerciales et industrielles à Mariel, le port de La Havane se voit en marina, ouverte au tourisme, deuxième activité économique de l’île derrière l’exportation de services professionnels.

Le chemin sera long. Rien n’est encore prévu pour la fermeture de la raffinerie dont les fumées obscurcissent le ciel du fond de la baie, et le nettoyage des eaux est un travail long et laborieux.

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Guide touristique

Cuba – La Havane

À la place d’Armes, prenez quelques minutes pour bouquiner auprès des dizaines de kiosques en plein air. Tout près, rendez-vous au Castillo de la Real Fuerza, la plus vieille forteresse de Cuba qui accueille maintenant un musée. À quelques pas de là, voyez la Catedral de San Cristóbal. C’est un bel endroit pour faire une pause repas tout en admirant l’architecture coloniale espagnole. Empruntez ensuite la magnifique rue Obispo ou les rues transversales. Au gré de votre inspiration, faites un arrêt dans les nombreux cafés, boutiques ou musées.

Plus à l’Ouest, vous retrouverez le Capitolo, cet édifice grandiose abrite l’Académie des Sciences de La Havane. À l’intérieur, on peut y admirer une énorme statue de bronze, La República, il s’agit de la troisième plus grosse statue intérieure au monde. Plusieurs grands hôtels sont situés tout autour.

Juste derrière le Capitolo, ne manquez pas de visiter la Real Fábrica de Tabacos Partagás. 700 ouvriers produisent 5 000 cigares par jour dans cette fabrique de tabac. Votre randonnée sera complète en visitant à quelques mètres de là le quartier chinois de La Havane. De petites terrasses vous attendent pour déguster un repas asiatique typique.

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Nouvelles quotidiennes

Des vagues de 6 mètres inondent le nord de Cuba

Cuba a été atteint hier par des vagues atteignant 6 mètres de hauteur avant de frapper la rive nord de l’île et d’inonder La Havane. L’eau a forcé l’évacuation de milliers de résidants et de centaines de touristes qui avaient élu domicile temporairement dans la capitale cubaine.

Ces vagues gigantesques ont été provoquées par des rafales de plus de 70 km/h. Elles ont littéralement poussé la mer à l’intérieur de la capitale, jusqu’à plus de 300 mètres des rives à certains endroits. Cette arrivée massive d’eau soudaine a obligé les gens à marcher dans l’eau et parfois, le niveau atteignait leur hanche.

Heureusement, selon l’Institut de météorologie de Cuba, cette situation arrive de moins en moins depuis que des remparts ont été érigés. Cette construction diminue ainsi le risque récurrent qu’a déjà connu ce secteur de la ville. Déjà aujourd’hui (4 mars), la situation devrait être revenue à la normale, laissant ainsi à la population du quartier tout le loisir de nettoyer les rues.

La télévision locale qui a relayé l’information n’a déploré jusqu’ici aucune perte humaine.