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Mathias Brunet témoin de l’intimidation de son fils

Sur son profil Facebook, le chroniqueur sportif Mathias Brunet a rapporté avoir passé un dimanche bien particulier en compagnie de son fils, Charles-Émile.

Son fils, âgé de 13 ans, « agissait comme arbitre lors du Festival de la pré-académie », comme le rapporte Brunet.

Tout aurait dû bien se passer, mais c’était sans compter sur un coach « gueulard » qui s’est acharné son fils.

« Un homme dans la quarantaine, au moins 6 pieds plus de 200 livres, furieux, en train de vociférer à quelques pieds de sa victime, un petit bonhomme de 13 ans, 4 pieds 9 et 70 livres, une scène pathétique. J’ai explosé. Je me suis levé et j’ai sommé d’un ton ferme et sec, j’en conviens, cet homme de cesser de haranguer l’arbitre, en lui rappelant que c’était un garçon de 13 ans. Sa réaction? Furieux, il a réclamé sur le champ la présence des responsables du tournoi pour m’expulser du terrain!!! », a rapporté avec précision le journaliste Mathias Brunet, qui, cette fois-ci, avait troqué son amour pour le hockey pour le ballon rond.

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Doc Mailloux : La Presse contre-attaque

Selon le journaliste Mathieu Lamothe du Nouvelliste, La Presse aurait décidé de mettre en demeure à son tour le Doc Mailloux, après qu’une entente à l’amiable soit survenue dans une première affaire les opposant.

Rappelons que l’on rapportait hier (29 novembre) que Pierre « Doc » Mailloux avait accepté une offre de règlement qu’il jugeait « satisfaisante » après qu’il ait décidé de poursuivre La Presse et sa chroniqueuse Rima Elkouri pour des écrits qui, selon lui, portaient atteinte à sa réputation.

Or, selon La Presse, le Doc Mailloux a commis une erreur en partageant ses états d’âme sur des ondes radiophoniques, puisque l’entente à l’amiable aurait été assortie d’une clause de confidentialité.

Selon le quotidien et Rima Elkouri, Pierre Mailloux aurait tenu ainsi des propos qui « laissent croire indûment que ces dernières vous ont dédommagé substantiellement pour le préjudice découlant de l’affirmation non fondée sur des faits solides et vérifiables voulant que vous soyez raciste et que nos clientes n’auraient pas été en mesure d’établir ce fait », selon ce que l’on pourrait lire dans la mise en demeure soumise par les avocats de La Presse et de Mme Elkouri, des informations toujours obtenues et rapportées par Le Nouvelliste et Mathieu Lamothe.

La mise en demeure ordonnerait au Doc Mailloux de non seulement se rétracter publiquement et de rembourser la somme obtenue par le règlement hors cour, mais aussi de payer 100 000$ en dommages-intérêts et réparation.

Une contre-attaque en bonne et due forme de La Presse.

Le Docteur Mailloux n’aurait cependant pas semblé intimidé, et aurait déclaré au Nouvelliste attendre la suite « avec impatience », et que si « un cuisinier tolère mal la chaleur, il a avantage à sortir de la cuisine ou à ne pas se tenir proche des fourneaux ».

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Mike Ward compare La Presse au Journal de Montréal

Mike Ward assume le fait d’être controversé. Il se trouve actuellement à Édimbourg, en Écosse, afin de donner une série de spectacles au sujet de la liberté d’expression, et parle abondamment des nombreuses péripéties qu’il a vécues depuis quelques années.

Le journal La Presse a du coup décidé de suivre le cheminement de Ward au cours de son périple européen, et de présenter un article sur le sujet à ses lecteurs.

Sur Facebook, l’article a été partagé avec la mention «Mon but est d’étirer cela jusqu’à ce que le garçon finisse par mourir.» — Mike Ward revient sur ses déboires judiciaires, ce qui n’a pas plu à Ward.

«Je regarde le titre de l’article et la quote qu’ils utilisent sur Facebook, plus ça va plus la ligne est mince entre La Presse et le Journal de Montréal», a écrit Ward sur sa propre page lundi matin (15 août).

Le titre officiel de l’article est Controverse payante pour Mike Ward en Écosse.

«Ils prennent une ligne du show et le mettent en titre pour faire comme si j’avais dit ça en entrevue», s’est-il défendu auprès d’un internaute qui disait que la déclaration incendiaire n’était pas nécessaire.

Il y a un mois, Ward s’en prenait aussi au Journal de Montréal dans sa guerre contre Le Journal de Mourréal. Le média d’information propriété de Québecor avait présenté une requête devant la cour pour faire fermer son alter ego satirique.

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Photo : Facebook

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Julie Snyder se confie à La Presse

Stéphanie Vallet pose les bonnes questions à Julie Snyder dans une entrevue publiée par La Presse en marge des récents événements qui ont marqué la vie de l’animatrice.

On apprend notamment dans cet entretien que Snyder a finalement appris l’identité du tristement célèbre « John Doe », soit la personne qui la faisait suivre récemment, le même jour où elle recevait Caitlyn Jenner sur le plateau du Banquier.

Julie Snyder parle alors de ses « deux tournages les moins préparés » de sa carrière, et d’une « incapacité intellectuelle » à livrer la même qualité qu’à l’habitude. L’animatrice estime cependant que l’entrevue exclusive que lui a accordée Caitlyn Jenner en marge du Banquier aurait profité largement de cet état d’esprit, elle qui n’avait plus de barrière en raison de ses chocs émotifs.

L’ex de Pierre Karl Péladeau ne peut confirmer s’il y a aura une 13e saison du Banquier, mais révèle le souhaiter. On sent cependant dans l’entretien qu’elle offre à La Presse qu’il existe un inconfort entre elle et certains décideurs de TVA.

« Je veux être traitée au même titre que Charles Lafortune ou Gino Chouinard. Je demande le même respect que n’importe quel animateur », lance-t-elle.

Stéphanie Vallet demande ensuite à Julie Snyder qui est donc « John Doe », et n’obtiendra pas de réponse.

Pour lire l’entrevue complète, visitez La Presse+.

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Randy Quaid : Une deuxième arrestation à Montréal

Selon La Presse, Randy Quaid a été arrêté hier, le 7 octobre, à Montréal. Il s’agit de la deuxième fois cette année.

Robert Gervais, un porte-parole de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié, a confirmé que l’acteur américain obtiendrait une audience devant un membre du conseil ce jeudi, mais n’a pas pu fournir plus de détails entourant les raisons de cette nouvelle arrestation.

L’acteur avait été arrêté à Montréal en mai dernier après avoir fait l’objet d’un mandat d’arrestation mondial, lorsqu’il a cessé de communiquer avec les services frontaliers.

Il y a plusieurs années que l’acteur cherche à devenir résident permanent du Canada, mais le pays a refusé sa demande à la fin de 2012. Après son arrestation en mai dernier, il avait déclaré qu’il avait cessé de se rapporter aux services frontaliers parce qu’il craignait d’être séparé de sa femme.

Randy Quaid est un acteur américain de 65 ans connu entre autres pour ses rôles dans National Lampoon’s Vacation et Independence Day.