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Michael J. Fox poursuit un laboratoire de recherche

L’acteur de 53 ans Michael J. Fox accuse le laboratoire de recherche médicale Coriell Institute du New Jersey d’avoir détruit 25 000 échantillons de recherche.

Ceux-ci étaient essentiels à un projet de recherche financé par la fondation de Fox pour la maladie de Parkinson, dont il a reçu le diagnostic en 1991.

Selon CTV News, la poursuite stipule la négligence et la rupture de contrat. On y lit que la compagnie n’a pas conservé les échantillons de façon appropriée. Un employé ayant laissé la porte d’un congélateur ouverte a rendu les échantillons inutilisables.

Le montant réclamé au laboratoire s’élève à 3,5 $ millions en matériel de recherche. Le projet de recherche dont il est question était en place depuis 5 ans.

Précédemment, Michael J. Fox, qui a 4 enfants avec son épouse Tracy Pollan, a déclaré que sa maladie avait « enrichi » sa vie. Elle lui a permis de prendre du recul pour apprécier ce qui est important.

« Si je n’avais pas eu le Parkinson, ma vie serait demeurée la même qu’avant : tournages, voyages et loin de ma famille. »

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Pamela Anderson refuse le ALS Ice Bucket Challenge en défense des animaux

Pamela Anderson a été mise au défi pour le ALS Ice Bucket Challenge dans la folie des derniers jours, mais a décidé de refuser catégoriquement de participer à l’événement.

Non pas que la plantureuse blonde craint l’eau froide, rapporte Independant (UK), mais plutôt pour sensibiliser les gens à une autre cause, celle des animaux de laboratoire.

Selon Pamela Anderson, des souris et des singes sont traités de façon « inhumaine » dans les laboratoires de recherche qui travaillent à faire avancer un traitement contre la malade de Lou Gherig. Un fait que l’actrice ne peut tout simplement pas éviter ou ignorer.

« Désolée, je ne peux me convaincre de faire votre Ice Bucket Challenge. J’aime toujours un bon défi, c’est toujours bon de se sensibiliser de manière plaisante et créative. Je ne veux rien enlever à ça, mais ça m’a fait réfléchir. En creusant un peu, j’ai constaté que nos messages ne sont peut-être pas cohérents. Alors plutôt, je mets au défi l’association ALS de cesser ses tests sur les animaux. De récentes expériences ont vu des souris se faire percer des trous dans le crâne, se faire infliger des maladies terribles, et de courir jusqu’à l’épuisement. Des singes ont été injectés avec des produits chimiques et ont été tués, puis disséqués », peut-on lire sur la page Facebook de Pamela Anderson.

Un message qui a rallié plus de 50 000 personnes jusqu’à maintenant.

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L’Abitibi passe à la vitesse supérieure dans ses laboratoires

La région de l’Abitibi-Témiscamingue sert une leçon d’efficacité à ses homologues et au système de santé québécois en mettant de l’avant un plan d’action visant à améliorer l’efficacité de ses laboratoires d’analyse, rapporte Radio-Canada.

Ce plan d’action porte le nom de projet Optilab, qui indique bien les buts de celui-ci. On cherche ainsi du côté des spécialistes de l’Abitibi-Témiscamingue à maximiser la performance des laboratoires médicaux, mais aussi à réduire les frais d’exploitation.

« On espère réduire le nombre d’analyses à faire, on espère réduire le nombre d’appareils disparates par une certaine révision et mise à niveau du parc d’équipement et une meilleure efficience au niveau de la gestion des laboratoires. Vous avez cinq CSSS, si chacun fait ses protocoles, donc, vous avez cinq personnes qui écrivent des protocoles. Alors, il y a une certaine économie d’échelle à aller chercher là », résume bien la directrice générale du CSSS Les Eskers de l’Abitime, Mme Hélène Desjardins.

Quelques inquiétudes se sont fait entendre, notamment du côté du Dr Gaetan Barrette, mais Mme Desjardins et son collègue Yves Jalbert, médecin et directeur de la biovigilance et de la biologie médicale au ministère de la Santé et des Services sociaux, se font toutefois rassurants.

Les directeurs de chaque CSSS de l’Abitibi-Témiscamingue travaillent conjointement à l’élaboration du projet Optilab depuis 2012.

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Winnipeg inaugure son nouveau centre de recherche en infectiologie

La ville de Winnipeg devient un véritable chef de file en matière de recherches en microbiologie et en infectiologie, rapporte Radio-Canada, avec l’ouverture d’un deuxième centre scientifique dans la capitale manitobaine.

Le nouveau centre inauguré à Winnipeg par l’Agence de la santé publique du Canada permettra d’effectuer des tests lors de situations jugées urgentes ou dangereuses, en plus de permettre des travaux avancés dans la recherche d’un traitement contre le sida, notamment.

Créé à la fine pointe des technologies actuelles et baptisé en hommage au Dr John Charles Wilt, le nouveau centre de recherche permet au Canada de concrétiser sa position dans le domaine des sciences et des recherches en infectiologie.

Les travaux s’étaient entamés au printemps 2011 et auront finalement duré près de trois ans.

Plusieurs spécialistes se réjouissent de la mise en place de ce deuxième important centre à Winnipeg, qui viendra appuyer le Laboratoire national en microbiologie, et qui pourrait permettre d’attirer d’éminents scientifiques et spécialistes au pays.

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Transplantation cardiaque : Des coeurs créés en laboratoire d’ici dix ans?

Le Daily Mail (UK) rapporte les propos d’un spécialiste, le Dr Stuart Williams, qui croit qu’il sera possible de créer de véritables cœurs humains capables d’être transplantés chez des patients en attente de greffe, et ce, d’ici les dix prochaines années.

Le Dr Williams, de l’Université de Louisville, affirme que ses collègues et lui sont déjà bien avancés dans le processus, étant parvenus jusqu’ici à créer une artère coronarienne et des vaisseaux sanguins.

« L’Amérique a mis un homme sur le Lune en moins d’une décennie. J’ai dit une décennie pour nous donner une marge de manœuvre », persiste et signe Williams, visiblement convaincu.

Fonctionnant avec une technologie digne des films de science-fiction basée sur une empreinte du cœur en trois dimensions, Stuart Williams et son équipe pourraient bien révolutionner le monde de la cardiologie.

Inutile de dire que s’ils gagnent leur pari, c’est un nombre incalculable de vies qui pourront désormais être sauvées…

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

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Un régime spécial pour ralentir la maladie d’Alzheimer

Santé Log rapporte une étude américaine qui fait état d’une découverte intéressante concernant la maladie d’Alzheimer.

En effet, des chercheurs de la USC Davis School of Gerontology(Université de Californie du Sud) auraient réussi à ralentir la progression de l’Alzheimer chez des souris, grâce à un régime alimentaire dit « hypoprotéiné ».

On commence par nourrir le sujet de façon normale, avant de le placer sous une diète stricte composée d’aliments forts en protéines et d’acides aminés spécifiques. On poursuit ainsi ces deux cycles alimentaires durant quatre mois.

Au final, les rongeurs observés lors de l’étude ont démontré des améliorations notables de leurs réactions cognitives, notamment lors du fameux test du labyrinthe. De plus, la protéine tau, caractéristique de l’Alzheimer, voyait son taux diminuer.

Il demeure bien sûr plusieurs essais cliniques à effectuer avant de parler de véritable découverte, car on ignore si le modèle peut se transposer chez l’humain.

Cependant, cette avancée permet de rester optimiste, surtout lorsqu’on combine celle-ci avec les autres percées récentes en matière d’Alzheimer.

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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Les rats et l’effet placebo

Une nouvelle étude arrive à la conclusion que les rats peuvent également ressentir le fameux effet placebo que l’on croyait réservé au complexe cerveau humain.

Des chercheurs de l’Université de Floride affirment qu’ils sont parvenus à prouver que les rats sont également réceptifs à l’effet placebo, annonce www.nlm.nih.gov.

L’effet placebo se décrit comme étant une « réaction positive à un faux traitement », ce qu’aurait vécu un groupe de rongeurs. Le cas échéant, ceci pourrait mener à de nouvelles stratégies efficaces en matière de traitement de plusieurs maladies graves.

« C’est ça, la grosse découverte… que les animaux qui s’attendaient à être soulagés de leur douleur l’ont été en ne recevant qu’une substance inerte, dans ce cas-ci de l’eau saline. Ça aide à valider notre modèle qui prône que ce que nous faisons aux rats peut se transposer chez l’humain », déclarait John Neubert, professeur et spécialiste de la douleur du département de dentisterie de l’Université de Floride.

L’étude, d’une durée de deux ans, comparait les réactions obtenues chez les rats en leur administrant soit des antidouleurs (comme de la morphine), soit de l’eau saline.

Au final, les rats qui avaient reçu de la morphine et à qui on administrait ensuite de l’eau saline ressentaient tout de même le soulagement attendu.

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Peu d’essais cliniques pour les médicaments pédiatriques

L’asthme, la migraine, la schizophrénie, la dépression, la maladie diarrhéique, les infections respiratoires inférieures, le paludisme, le trouble bipolaire et le sida touchent 60 % des enfants.

Seuls 12 % des essais cliniques qui ont été effectués entre 2006 et 2011 sur les médicaments pour traiter ces infections « courantes » concernaient l’effet qu’ils pouvaient avoir sur les petits.

Pour la Dre Florence Bourgeois, professeure adjointe à la Harvard Medical School, les essais cliniques pour des médicaments chez les enfants sont importants, car les jeunes ont souvent une réaction différente de celle des adultes.

Dans la revue de l’American Academy of Pediatrics, l’auteure de l’étude dénonce « le montant de la recherche qui est consacré aux essais cliniques pour cette tranche de la population ».

En effet, 58,6 % des essais cliniques réalisés entre 2006 et 2011 sur les médicaments pour enfants étaient subventionnés par des organisations à but non lucratif, alors que 64,7 % des essais des médicaments pour adultes ont reçu les fonds de l’industrie, affirme la spécialiste, dont les données doivent être encore considérées comme provisoires.

Selon Bourgeois, le manque de financement de l’industrie est l’une des raisons majeures de la carence de tests cliniques pour médicaments pédiatriques. La situation serait encore plus dramatique dans les pays à faible revenu et en voie de développement, là où les recherches sont trop souvent négligées, faute d’argent.