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Un vaccin anti-méningite pour les nourrissons : pas tout de suite

L’Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux (FDA) veut plus d’informations et de preuves sur le produit Menvéo de Novartis avant d’approuver le vaccin pour les bébés de ce groupe d’âge.

Dans une lettre, l’agence demande « des réponses à des questions supplémentaires avant de procéder à un examen plus approfondi et de potentiellement commercialiser le vaccin chez les petits », relate un communiqué de Novartis, qui avait déjà demandé l’approbation de la FDA en avril dernier.

Menvéo, vaccin anti-méningite de la division vaccins du laboratoire Novartis, réunit plusieurs atouts : c’est un vaccin tétravalent, conjugué, apportant une bonne immunité croisée et déclaré conforme aux règles halal. Il couvre les groupes à méningocoques A, C, Y et W-135.

Notons qu’il est déjà approuvé pour les personnes âgées de 2 à 55 ans.

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Nouvel espoir pour la maladie d’Alzheimer

Pour la toute première fois, des scientifiques sont parvenus à créer en laboratoire des cellules endommagées par la maladie d’Alzheimer.
 
Cette première pourra maintenant aider les chercheurs à mieux comprendre comment la maladie affecte le système nerveux et ainsi trouver des traitements plus efficaces.
 
Jusqu’à présent, les recherches ne pouvaient se faire qu’avec des cellules non neurales ou sur un modèle animal.
 
Une équipe de l’Université de la Californie a donc trouvé le moyen de développer un mode de culture de cellules humaines.
 
L’Alzheimer est caractérisée par une perte de neurones et de synapses, ce qui entraîne une perte progressive de la mémoire et des difficultés avec la langue et les émotions.
 
Il n’existe aucun remède pour soigner cette maladie. Le seul traitement offert aux patients est la prise de médicaments qui peuvent ralentir la progression de la maladie.
 
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Création de spermatozoïdes viables en laboratoire

Des chercheurs israéliens et allemands sont parvenus à créer des spermatozoïdes de souris en laboratoire, qui ont pu féconder un ovule pour finalement donner des petits souriceaux en pleine santé.
 
Selon la revue Nature, on espère pouvoir obtenir les mêmes résultats chez l’homme, bien que les premiers résultats se soient soldés par des échecs.
 
Si le tout est possible avec d’autres mammifères, les scientifiques ont bon espoir de parvenir à créer des spermatozoïdes d’humains en laboratoire, ce qui aiderait ainsi les couples voulant fonder une famille.
 
Les chercheurs n’auraient qu’à prélever des tissus des cellules germinales dans les testicules et stimuler la production de spermatozoïdes.
 
Les hommes ayant une infertilité devront toutefois patienter encore des années avant de pouvoir avoir recours à cette technique.
 
Rappelons que l’année dernière, un gène à l’origine de l’infertilité masculine avait été identifié.
 
Les hommes doivent aussi considérer que mis à part la génétique, le tabac, l’alcool, l’obésité et l’alimentation peuvent influencer leur fertilité.
 
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Percée importante dans le domaine des cellules tumorales

Des chercheurs américains sont parvenus à maintenir en vie des cellules tumorales des poumons, du sein, de la prostate et du côlon pendant deux ans, une première dans le monde médical.
 
L’American Journal of Pathology indique que cette nouvelle percée permettrait aux médecins de continuer à faire leurs tests sur des cellules de patients particuliers et de mieux personnaliser les traitements.
 
Jusqu’à présent, après le diagnostic, on effectuait le suivi à l’aide de morceaux de tissus prélevés chez les malades puis réfrigérés, en plus de tenter de ne pas les altérer.
 
« Ce serait vraiment le nec plus ultra de la médecine personnalisée. Nous sommes vraiment enthousiastes quant aux possibilités de tests qui s’offrent ainsi à nous », explique le professeur Richard Schlegel.
 
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Bientôt des viandes fabriquées en laboratoire

Des chercheurs américains et européens tentent maintenant de créer les premières viandes in vitro en laboratoire,rapporte Relay.
 
Selon l’organisation New Harvest, d’ici quelques années, on aura la technologie nécessaire pour parvenir à créer des saucisses, du boeuf haché et des croquettes de poulet synthétiques. Pour les autres viandes, il faudra attendre encore longtemps.
 
Tout cela parce qu’on estime que d’ici 2025, la demande en viande grimpera de 40 % dans le monde. On souhaite donc trouver un moyen d’en produire en laboratoire. Cela réduirait également les gaz à effets de serre, dont 20 % proviennent de la production de viande.
 
On croit que ce seront les établissements de restauration rapide qui emboiteront le pas les premiers lorsque la viande synthétique sera approuvée.
 
Un avantage de cette viande in vitro est qu’elle pourra être constituée au gré des besoins, comme en réduisant le gras ou en augmentant les nutriments.
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Nouvelle technique de greffe de gencives

Des chercheurs de l’Université Laval viennent de faire une première mondiale. Selon la revue Biomaterials, ils sont parvenus à recréer en laboratoire des tissus de gencives.
 
La greffe de gencives est courante et permet de réparer les gencives endommagées par une pathologie comme un déchaussement. Cela peut être provoqué par une mauvaise technique de brossage ou une infection qui peut décoller la gencive. Ceci expose une trop grande partie de la dent, même l’os dans certains cas, et finit par faire tomber la dent. 
 
De plus, une reconstruction de la gencive est souvent nécessaire dans les cas de cancer de la bouche où l’on a extrait une tumeur.
 
Malgré le fait que ce soit une intervention courante, le problème réside dans la disponibilité et la qualité des tissus pour la greffe. En ce moment, pour de petites surfaces, on prélève un morceau du tissu du palais. Pour les grandes surfaces, c’est sur l’avant-bras que le prélèvement est fait. 
 
Avec la nouvelle technique québécoise, la culture en laboratoire permet d’avoir des tissus similaires à ceux endommagés en seulement quelques semaines.
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Une souris à toute épreuve

Une recherche du journal Cancer Research dévoile l’existence d’une souris de laboratoire sur laquelle toutes les formes de cancer ne semblent pas avoir d’emprise.

Comment? Grâce au gène Par-4 implanté chez les souris et qui joue un rôle, notamment dans le traitement du cancer de la prostate.

Il en résulte que non seulement le rongeur est plus résistant au cancer, mais sa durée de vie est plus longue que prévu.

Selon le docteur Vivek Rangnekar, de l’Université du Kentucky, cette conclusion est une lueur d’espoir pour le traitement contre le cancer, mais des études plus poussées doivent être effectuées sur des humains afin d’analyser sur eux les effets du gène.