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Donner le sein pour éviter la dépression

L’étude à laquelle se réfère bbc.com a été menée auprès de 14 000 nouvelles mamans. Le risque de dépression post-partum pourrait être atténué jusqu’à 50 % chez les femmes qui allaitent.

Cependant, l’envers de la médaille est moins reluisant. Celles qui planifieraient de donner le sein à leur enfant et qui n’y arrivent pas, pour différentes raisons, doubleraient alors le risque de dépression.

La recherche a été publiée dans la revue Maternal and Child Health et avait comme objectif de justifier le soutien à apporter aux femmes qui ne peuvent pas allaiter.

Si on ne parle que de statistiques, il est recommandé de nourrir l’enfant au lait maternel pendant les 6 premiers mois de sa vie. Néanmoins, comme l’indiquent les spécialistes de l’Université de Cambridge, on a tendance à oublier les conséquences émotionnelles chez la mère.

« Les femmes qui voulaient allaiter, mais n’ont pas pu sont celles qui avaient le plus haut risque de dépression de tous les groupes », rapporte Dre Maria Lacovou.

Elle affirme qu’il faut « s’assurer de garder un œil sur ces femmes » et mettre à leur disposition un service de soutien approprié.

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Une loi pour obliger les femmes à allaiter 2 ans

C’est le Figaro qui rapporte les détails du journal de l’Orient, The National. La recommandation de l’Organisation mondiale de la santé s’est transformée en législation douteuse sous prétexte de faire valoir les droits de l’enfant.

L’OMS juge que les bébés devraient profiter du lait maternel pendant les 6 premiers mois de leur vie. Les membres du Conseil national fédéral des Émirats Arabes Unis ont statué, le 21 janvier dernier, qu’il devenait obligatoire d’allaiter pendant 2 ans.

Les arguments divergent au sein des législateurs. L’un affirme que c’est un principe qui figure au Coran, l’autre qu’il s’agit d’une loi pour faciliter l’allaitement en milieu de travail. On tente également de citer la force du lien mère-enfant comme justificatif de la nouvelle loi.

Si le Sultan Al-Sammahi a confirmé que les contrevenantes à la loi pourraient être punies, les sanctions ne sont pas claires.

Mariam Al-Roumi, ministre des Affaires sociales, voit déjà d’ici les femmes être poursuivies en justice par leur époux si elles cessent d’allaiter avant la période prescrite. « Cette loi pourrait devenir un fardeau. »

L’allaitement demeure un choix dans la culture populaire d’aujourd’hui, mais selon Ahmed Al Shamsi, il s’agit d’un devoir, et non d’une option.

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Le lait maternel vendu en ligne cause des maladies chez les enfants

Des chercheurs du Nationwide Children’s Hospital ont mené une étude mettant en évidence les dangers de maladies reliées à l’achat de lait maternel en ligne. Cette recherche se basait sur la vente de particuliers et non de banques de lait, où celui-ci est pasteurisé avant d’être vendu.

Les résultats se sont basés sur l’analyse de 101 échantillons de lait maternel. Les facteurs évalués étaient notamment le temps de transport, la méthode de livraison et la qualité de l’échantillon. En tout, plus de 75 % des échantillons de lait contenaient des bactéries causant des maladies chez le nourrisson.

« Nous avons été surpris par la quantité d’échantillons qui présentaient un taux si élevé de bactéries. Il y avait même des traces de contamination fécale dans certains d’entre eux, ainsi que la salmonelle », a dévoilé Sarah A. Keim, investigatrice principale au Center for Biobehavioral Health.

Entre autres choses, 19 % des paquets livrés ne contenaient aucune glace sèche pour assurer la conservation du lait maternel, selon Science World Report. De plus, les chercheurs ont découvert que les transactions par internet étaient douteuses. Aucun contact téléphonique, aucune question de la part des vendeuses.

En résumé, les spécialistes recommandent fortement de transiger avec les banques de lait maternel, et non directement avec un particulier.

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Les probiotiques pourraient-ils aider à résoudre les coliques?

La Dre Valerie Sung est la responsable de la recherche menée au Murdoch Children’s Research Institute et au Royal Children’s Hospital de Melbourne. Selon elle, « les probiotiques sont prometteurs » pour résoudre les coliques. Ce sont les bonnes bactéries qu’ils contiennent qui retiennent l’attention.

En réalité, d’autres recherches seront nécessaires, puisque les résultats ont été très partagés. Cependant, comme la situation se produit chez 1 bébé sur 5 âgé de moins de 3 mois, et qu’aucun traitement n’existe à ce jour, les chercheurs espèrent que ces bactéries pourront enrayer le problème. D’autant plus que les coliques sont apparemment associées aux migraines en vieillissant, rapporte Medical News Today.

Les probiotiques sont reconnus pour rééquilibrer la flore intestinale chez l’adulte. C’est à partir de ce principe que l’on a basé les recherches, puisqu’on croit que les bébés pourraient profiter des mêmes bienfaits.

La problématique actuelle provient de l’écart des résultats entre le lait maternel et le lait préparé. Chez les mères qui allaitaient, et donc consommaient les probiotiques pour le transmettre au lait maternel, les résultats étaient encourageants. Par contre, les bactéries ajoutées au lait préparé n’offraient pas ou peu de résultats.

Dre Sung et son équipe doivent donc se concentrer sur une méthode pour faire agir les bactéries par le biais des formules de lait préparé.

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Formule pour nourrisson : prudence!

Un seul pays sur 5 respecte les recommandations du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Juste à temps pour la Semaine mondiale de l’allaitement maternel, l’OMS publie un rapport rappelant l’importance du lait maternel au cours des 6 premiers mois de vie d’un bébé.

En fait, il est recommandé de les en nourrir exclusivement pendant cette période. Nourrir son enfant au sein lui permet de jouir d’une prévention de surpoids, d’obésité et de diabète, d’un développement cognitif maximisé et d’anticorps.

Sur Santé Log, on fait le point sur la situation en expliquant bien les recommandations et les chiffres y étant liés. Surtout, on rappelle l’importance de l’allaitement et on lève le voile sur les risques des substituts de lait maternel.

Entre autres, ces préparations ne contiennent pas les anticorps nécessaires aux nourrissons pour se développer adéquatement et peuvent entraîner la malnutrition par leur trop forte dilution.

Vous pouvez prendre connaissance du rapport entier en cliquant ici (anglais seulement).

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Encore plus de bénéfices pour l’allaitement

Afin de déterminer si le développement du TDAH (Trouble déficitaire de l’attention/Hyperactivité) était associé à l’absence ou à un faible taux d’allaitement maternel, le Dr Aviva Mimouni-Bloch, de la Faculté Sackler de l’Université de Tel-Aviv et chef du Centre neurologique de l’enfant à l’hôpital de Loewenstein, a réalisé une étude rétrospective sur les habitudes d’allaitement de trois groupes d’enfants.

Un était formé d’enfants atteints de TDAH, un autre avec les frères et sœurs de ceux-ci, et un groupe sans TDAH et sans aucun lien à la maladie.

Publiés dans le journal médical Breastfeeding Medecine, les résultats ont clairement montré un lien entre l’allaitement et les risques de développer le TDAH.

En fait, les nourrissons de 3 mois n’ayant pas été allaités voyaient leurs risques de le développer être 3 fois plus élevés que ceux ayant été allaités.

Des enfants n’ayant pas été allaités, certains avaient des frères et sœurs qui, eux, l’avaient été. Les résultats ont aussi démontré que malgré leur génétique familiale, ils étaient beaucoup moins atteints de TDAH, ce qui en dit long sur l’impact du lait maternel.

Bien que les chercheurs ne sachent pas encore pourquoi l’allaitement a un impact sur le développement du TDAH, il se pourrait que ce soit le lait maternel lui-même ou encore le rapprochement entre la mère et le bébé pendant l’allaitement qui joue un rôle. De plus amples recherches sont prévues sur le sujet.

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L’insuline et l’allaitement

Un article paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

rticle paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les savons antibactériens mauvais pour votre bébé

Avertissement pour les fanatiques du savon antibactérien. Le Triclocarban est un agent antifongique et antibactérien utilisé dans certains savons, solutions désinfectantes et produits d’entretien et pourrait nuire au bon développement de votre bébé. Absorbé par la peau, il serait transporté dans le lait maternel.

Sur le site MedicalXpress, les résultats d’une recherche sur le sujet sont expliqués. C’est à l’Université du Tennessee à Knoxville qu’une étudiante en santé publique et nutrition a procédé à la recherche.

Avec l’aide de Jiangang Chen, un aide-professeur de l’Université, Rebekah Kennedy a découvert les effets potentiellement nocifs de cet élément chimique sur les bébés nourris au sein.

Les tests effectués sur des mamans rats exposées et qui allaitaient ont démontré que les bébés ne survivaient pas plus de 6 jours après leur naissance. Il est cependant spécifié que les bébés ne souffraient d’aucun effet secondaire si les mamans étaient exposées pendant qu’elles étaient enceintes. C’est vraiment l’allaitement qui semble être le problème.

Sans dire qu’il faut en arrêter l’utilisation, Kennedy précise : « Les savons antibactériens auront toujours un usage pratique, comme dans les endroits médicaux où la prolifération bactérienne est à haut risque. Cependant, pour le commun des mortels, ce type de savon n’est pas plus efficace que le savon régulier ».

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La consommation pendant l’allaitement

Bien que ça puisse sembler logique pour plusieurs, ça ne peut faire de mal de rappeler aux femmes souhaitant allaiter leur bébé que ces substances ont toutes un effet sur le lait maternel.

Sur le site Famili.fr, un article explique les répercussions néfastes de la consommation post-accouchement. À peu près comme quand il était dans votre ventre, presque tout ce que vous consommez a un impact sur ce que vous refilez à bébé lors de la tétée.

Vous savez que l’alcool se rend directement dans votre sang. Il en est de même pour votre lait. En effet, le taux d’alcoolémie est identique dans les deux liquides. Cela veut dire que si vous buvez 2 verres et allaitez ensuite votre petit, vous l’intoxiquez.

Si l’occasion se présente de prendre un verre, il serait préférable de le prendre tout de suite après la tétée et d’attendre environs 5 heures avant la prochaine. Même chose pour la marijuana. Une autre solution serait de tirer votre lait avant de consommer.

Pour ce qui est de la cigarette, l’impact est moins dramatique, mais n’empêche, sa consommation nuirait à l’éjection du lait et lui donnerait même un goût et une odeur désagréable. Pas très plaisant pour bébé!

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L’impact de l’allaitement sur le cerveau

Une récente recherche conduite par les spécialistes de l’Université Brown démontre de nouvelles preuves concernant les bienfaits de l’allaitement sur le développement du cerveau des bébés.

À la suite de l’observation par résonnance magnétique, les améliorations ont été particulièrement notées dans les zones responsables du langage, des émotions et des aptitudes cognitives.

Alors que ces résultats étaient déjà connus chez les adolescents et les adultes, les chercheurs ne savaient toujours pas vers quel âge les effets bénéfiques se produisaient.

Grâce à cette étude, il est désormais clair que les bienfaits se produisent très tôt dans le développement de l’humain, soit avant l’âge de 2 ans. De plus, il est maintenant prouvé que plus longtemps un enfant est allaité, plus son cerveau se développe rapidement, et que les résultats s’améliorent nettement lorsque l’enfant est exclusivement nourri de lait maternel.

En effet, si le régime de bébé contient également de la formule maternisée, son développement s’en retrouve affecté.

Le Dr Deoni et son équipe ont ensuite confirmé leurs données d’imagerie avec une série de tests cognitifs de base sur un groupe d’enfants plus âgés ayant été allaités. Ces essais ont révélé une performance accrue du langage, de la réception visuelle et dans les performances de motricité.