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Un lait maternisé bon pour le cerveau

Des chercheurs de l’University of Kansas ont démontré que le lait maternisé enrichi d’acides polyinsaturés est particulièrement bénéfique pour le développement du cerveau et du cœur du bébé.

Ils ont étudié les effets de certains acides polyinsaturés (le DHA et l’ARA) auprès de 122 bébés nés à terme et nourris avec l’une des formules à l’étude de la naissance à 12 mois, lit-on dans Pediatric Research.

Mentionnons au passage que ces deux acides sont présents dans le lait maternel et dans certaines formules.

Il s’est avéré que si un taux minimal de ces nutriments est atteint, on remarque une différence au niveau du développement neurocognitif en début de vie.

Le DHA, par exemple, est reconnu pour jouer un rôle dans le développement cérébral et des yeux; un bébé en ingérera par allaitement jusqu’à deux ans ou en prenant une formule de lait maternisé enrichie.

C’est la première fois qu’une analyse clinique est faite quant à la mesure de ces acides polyinsaturés dans le lait maternisé.

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Le tire-lait pour aider les prématurés

Bien que son usage soit parfois pénible, le tire-lait comporte de nombreux avantages et peut même bonifier l’allaitement. C’est ce que soutient une étude parue dans le Journal of Perinatology et ayant porté sur son impact auprès des bébés prématurés.

Après avoir suivi des mères ayant accouché prématurément, on a remarqué que celles qui avaient employé un tire-lait durant les deux premières semaines de vie de leur bébé avaient vu leur production de lait maternel augmenter substantiellement.

On parle ici d’une augmentation de 75 % de la quantité produite de lait maternel, ce qui constitue une différence majeure. La raison en est que le tire-lait reproduit la succion faite par le poupon né à terme.

Cette succion répétée durant les premiers jours de vie du bébé a un effet sur la prolactine, laquelle est l’hormone justement responsable de la production du lait maternel. Ainsi, la maman sera en mesure de produire la quantité de lait nécessaire, même si son bébé prématuré n’est pas encore prêt pour créer cet effet d’entraînement.

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Tirer son lait à la main

Selon l’avis d’experts, comme nous l’apprenons dans Archives of Disease in Childhood, il faudrait employer une méthode naturelle plutôt qu’un tire-lait durant les premiers jours après l’accouchement.

Ainsi, il serait préférable de faire une pression avec la main plutôt que d’employer le tire-lait classique, en particulier pour un nouveau-né qui présente un réflexe de succion plus faible.

De plus, d’une méthode à l’autre, aucune différence n’existerait quant à la quantité de lait tiré, au degré de douleur ou à la confiance en l’allaitement de la maman.

Ce sont là les conclusions de chercheurs ayant suivi 68 mères et leur bébé. Les enfants avaient des difficultés à boire et demeuraient sans réflexe de succion ou en présentait un faible durant les 12 à 36 premières heures après la naissance.

Par la suite, un suivi a été fait sur l’allaitement lorsque les bébés ont eu une semaine, un mois, puis deux mois.

Après 2 mois, le taux d’allaitement était plus élevé chez les mamans qui avaient pressé leur lait à la main (97 %) que chez celles qui avaient utilisé un tire-lait (73 %).

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Du lait maternel… de vache

Des scientifiques de l’Argentine ont annoncé qu’ils avaient réussi le clonage de la première vache ayant deux gènes humains, nous apprend Le Parisien.

Cette découverte pourrait avoir des répercussions majeures quant à l’alimentation des bébés. C’est que les gènes en question contiennent les protéines que l’on retrouve habituellement dans le lait maternel, soit le lysozyme et la lactoferrine.
 
Si cette dernière protéine se retrouve dans le lait de plusieurs mammifères, le lysozyme l’est en très faible quantité dans le lait de vache habituel. Il y en a pourtant une grande quantité dans le lait maternel humain durant la première semaine de lactation.
 
Le lait produit par Rosita, la jeune vache clonée, permettrait aux bébés d’être protégés contre des maladies et d’absorber plus de fer. Reste à savoir si tout changera quant à l’allaitement.

Pour l’instant, on doit prouver que les protéines mentionnées se retrouvent bien dans le lait de Rosita. C’est ce que nous saurons dans un peu moins d’un an, à la suite d’une simulation de grossesse de la jeune vache clonée.

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Autre appui pour l’allaitement

Selon Pediatrics, on réduirait les risques de mort subite de 73 % en nourrissant un poupon uniquement de lait maternel. Cette annonce vient s’ajouter à la longue liste de bénéfices reconnus de l’allaitement, tant pour la mère que le bébé.

Tous les types d’allaitement entraient d’autre part en corrélation avec une chute de 45 % des risques d’une mort subite. Il semble, selon des experts, que l’allaitement devrait donc faire partie de ses facteurs préventifs au même titre que l’absence d’exposition à la fumée de cigarette.
 
En faisant une moyenne par rapport à l’allaitement unique et sa durée, on arrivait à 60 % moins de risques d’un tel événement. On suggère encore une fois de choisir l’allaitement comme alimentation unique de son enfant durant ses six premiers mois de vie. Il devrait ensuite être poursuivi jusqu’à un an.

Finalement, on s’est demandé quel lien pouvait unir l’allaitement, le partage du lit parental et la prévention de la mort subite du nourrisson. Si le premier peut être encouragé par le second, il semble que l’allaitement à lui seul peut prévenir une mort prématurée du poupon.

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L’allaitement contribue au développement d’un lien affectif plus étroit avec l’enfant

Selon Science Daily, une nouvelle étude publiée dans The Journal of Child Psychology and Psychiatry prétend que les mères qui nourrissent leur nouveau-né exclusivement au lait maternel développent un lien émotionnel plus fort avec leur enfant. 

Les données recueillies concernent les premiers mois de vie du nourrisson. L’allaitement activerait des zones spécifiques du cerveau de la mère, développant un comportement empathique accru lorsque l’enfant pleure. Il s’agit de la première étude sur le sujet qui examine non pas le comportement humain, mais plutôt les informations factuelles associées aux mécanismes biologiques du cerveau.
 
Le Dr Pilyoung Kim, qui dirige les recherches, insiste sur l’importance de cette découverte. En fait, lors de l’allaitement, les régions du putamen, du globus pallidus, du gyrus frontal supérieur et du complexe amygdalien, qui sont naturellement activées à la suite de l’accouchement, conservent leur activité jusqu’à 3 ou 4 mois après la naissance de l’enfant. Ces zones cérébrales sont liées directement au comportement empathique maternel et renforcent naturellement le lien entre le nourrisson et sa mère.

« Les proches de la nouvelle mère devraient l’encourager à donner le sein lors de cette période, en insistant sur la qualité du lien affectif développé avec le nourrisson. Ainsi, peut-être que celles qui sont incapables d’allaiter demanderaient une aide supplémentaire pour poursuivre », ajoute le Dr Kim.

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Banques de lait maternel : l’avis des experts

La popularité grandissante des banques de lait maternel apporte son lot d’inquiétudes et de recommandations.

Ainsi, comme nous l’apprenons sur Canada.com, les experts suivent les mises en garde précédemment annoncées aux États-Unis par la Food and Drug Administration, entre autres.
 
S’ils reconnaissent les effets bénéfiques de l’allaitement, ils avisent toutefois les mères qui voudraient se tourner vers les banques de lait maternel de ne choisir que celles qui sont accréditées.
 
On entend par là que toutes les donneuses ont été évaluées et que tous les tests nécessaires ont été faits. Ainsi, une femme voulant offrir son lait doit être non-fumeuse, ne pas être porteuse de l’herpès, du V.I.H. ou de la syphilis, par exemple.

Finalement, le lait maternel offert ou vendu doit avoir été testé en laboratoire, puis pasteurisé et congelé.

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Le lait maternel pour prédire les risques de cancer du sein

Des chercheurs américains croient que le lait maternel pourrait être utilisé pour déceler la présence de cellules cancéreuses.
 
Cela permettrait, dans quelques années, de faire un test de dépistage pour toutes les femmes qui accouchent à l’hôpital. Ce test serait beaucoup moins invasif et pourrait être offert aux femmes plus jeunes.
 
En effet, même si le cancer du sein frappe majoritairement les femmes de plus de 50 ans, un cas sur cinq se retrouve dans le groupe d’âge inférieur. Il n’existe aucun moyen pour détecter la maladie, car la mammographie est majoritairement prescrite pour les plus de 50 ans.
 
Avec le lait maternel, le test serait donc très facile.
 
Selon le Daily Mail, des chercheurs de l’Université du Massachusetts ont prélevé des échantillons de lait chez 250 femmes qui avaient eu une biopsie auparavant. On a donc constaté que chez celles dont la biopsie avait décelé la présence d’une tumeur cancéreuse, les cellules de leur lait portaient des traces génétiques de la maladie.
 
Cette découverte sera plus expérimentée au cours des prochains mois pour confirmer les résultats.
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Peu d’effets quant au lait maternel protéiné

L’allaitement est considéré comme la meilleure alimentation pour les bébés prématurés. Malgré cela, on apprend que l’ajout d’un fortifiant protéiné au lait maternel n’a pas d’effet sur la croissance de ces enfants durant leur première année de vie.

Une étude danoise parue dans Pediatrics a mené à ce constat. Les 320 bébés qui participaient à cette recherche étaient nés entre la 24e et la 32e semaine de grossesse. À leur venue au monde, ils pesaient moins de cinq livres.
 
Parmi eux, 207 ont été allaités à leur sortie de l’hôpital et leur mère devait ajouter un supplément protéiné à leur lait. D’autres bébés ont été allaités normalement, tandis que certains ont été nourris à la bouteille avec une formule spécialement conçue pour les poupons nés avant terme.
 
Ainsi, il n’a été relevé aucune différence quant à la taille et au poids des bébés allaités, quel que soit le groupe dont ils faisaient partie, une fois leurs 12 mois atteints.

D’autre part, ceux qui avaient été nourris avec une formule spéciale présentaient une légèrement augmentation de poids et de grandeur, mais de très faible façon. De plus, la taille et le poids étaient dans la moyenne pour la catégorie d’âge.

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Une crème glacée à base de lait maternel

L’idée peut paraître saugrenue, mais elle fait grimper le chiffre d’affaires du bar laitier The Icecreamists dans le quartier Covent Garden à Londres, rapportent de nombreux médias.

L’établissement offre une crème glacée à base de lait maternel pasteurisé, entièrement naturel et biologique, avec un zeste de citron et de vanille.

Baptisée le Baby Gaga,cette glace a été si populaire que les stocks ont été épuisés en l’espace de quelques jours seulement. Selon le fondateur de Icecreamists, Matt O’Connor, qui ne comprend pas le dégoût de certaines personnes, si le lait maternel est bon pour les bébés, il est bon pour tout le monde.

Quinze femmes ont répondu à l’appel de l’entreprise et ont accepté de vendre leur lait.

Rappelons que par le passé, le chef Daniel Angerer avait aussi utilisé le lait de sa femme pour fabriquer un fromage maison pour son restaurant Klee Brasserie à New York.