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Boire du lait cru augmente le risque de maladies

Plusieurs personnes boivent du lait cru, croyant qu’il est plus frais parce qu’il n’a pas été pasteurisé et conserverait ainsi tous ses bons nutriments.
 
Cependant, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) dévoile que le procédé de pasteurisation ne supprime aucunement les éléments essentiels ni ne réduit la valeur nutritive du lait.

En fait, les experts ne recommandent pas du tout de consommer du lait cru, surtout pas pour les enfants, car leur système immunitaire est plus faible.

 
Le lait cru est plus susceptible de contenir de nombreuses bactéries comme la Listeria, la Salmonella et la E.coli. Il peut également favoriser la croissance de bactéries pathogènes qui causent des maladies et désagréments comme une intoxication, de la diarrhée, des douleurs abdominales, des vomissements, de la fièvre, des maux de tête et d’autres complications qui pourraient même s’avérer mortelles.
 
La consommation de lait cru ne devrait jamais être choisie, car les personnes s’exposent à un risque accru de maladies.
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Le lait sans gras ne fait pas maigrir les enfants

Une étude australienne parue dans l’American Journal of Clinical Nutrition nous apprend que boire du lait contenant moins de gras ne serait pas si bénéfique.

Après que l’on ait suivi 145 enfants âgés de 4 à 13 ans pendant 6 mois, on a remarqué que ni le poids ni l’indice de masse corporelle n’avaient été influencés si des produits laitiers réduits en gras saturés avaient été préférés à d’autres.
 
En fait, les enfants avaient plutôt tendance à compenser par une plus grande consommation de calories provenant d’autres sources alimentaires.
 
Le groupe de participants ayant eu à préférer des produits laitiers allégés aura tout de même moins ingéré de gras au cours de l’étude. Ainsi, ce groupe n’aura trouvé que 13,3 % de ses calories totales en provenance des gras saturés, contre 16,6 % pour le groupe témoin.

Toutefois, même si les taux de cholestérol du groupe à l’étude avaient aussi baissé, le tour de taille, l’indice de masse corporelle et le poids des enfants n’ont pas accusé de différence.

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Le lait réduirait les risques cardiaques

Une nouvelle étude menée à l’Université Havard révèle que boire trois verres de lait quotidiennement réduit les risques de problèmes cardiaques de 18 %.
 
Ceci contredit le mythe voulant que le lait entraîne une prise de poids et conduise à l’apparition de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et même à la mort parfois.
 
Après avoir analysé 17 études d’Europe, d’Amérique et du Japon, les chercheurs n’ont trouvé aucun lien entre la consommation de lait ordinaire ou faible en gras et un risque accru de problèmes cardiovasculaires.
 
Selon l’American Journal of Clinical Nutrition, une autre étude mentionne qu’une consommation élevée de calcium du lait serait plutôt associée à une perte de poids.
 
300 personnes avec un surplus de poids ont participé à cette recherche. Celles qui ont bu le lait riche en calcium ont perdu jusqu’à 38 % de leur poids sur deux ans.
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Des biscuits contre l’allergie au lait?

On a appris cette semaine que si plusieurs enfants étaient allergiques au lait à un jeune âge, un grand nombre d’entre eux n’avait plus cette allergie quelques années plus tard. 

Or, il semble que si l’enfant n’a pas d’autres allergies alimentaires, il se libérera plus rapidement de son intolérance s’il mange des biscuits fréquemment. Ce qu’il faut comprendre par là est qu’il ait des pâtisseries à base de son lait dans son alimentation régulière.
 
En 3 ans, les enfants qui avaient suivi cette méthode ont été 27,8 fois plus enclins à se défaire de leur allergie. En fait, comme on peut le lire sur Medpage Today, 60 % de ces enfants pouvaient boire un verre de lait après ces 3 années, contre 9 % de ceux qui n’avaient pas suivi le régime alimentaire incluant les biscuits.

Cette recherche a été menée par une équipe de l’École de médecine Mount Sinai à New York. Au départ, elle portait sur un groupe de 100 enfants.

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Allergie au lait : de nouvelles données

L’allergie au lait de vache est un phénomène courant chez les tout-petits. Il s’agit de l’allergie alimentaire la plus courante du continent américain.

Selon un rapport présenté dernièrement à l’Académie américaine des allergies, de l’asthme et de l’immunologie, 36,9 % des enfants ne vivront plus avec leur allergie avant la fin de leur petite enfance.
 
Cette partie des participants n’avait plus de symptômes vers trois ans et demi. En moyenne, dans le cadre de cette étude, l’allergie s’était résolue à un âge moyen de 24 mois.
 
Ce pourcentage a été établi après que l’on ait suivi 244 enfants pendant 30 mois. De plus, comme nous pouvons le lire sur Medpage Today, cette disparition n’aurait rien à voir avec la baisse de l’intensité des symptômes.

On prévoit donc un très grand impact de cette nouvelle découverte quant au traitement des allergies chez les enfants. En effet, il serait facile de déceler très tôt lesquels pourraient faire de l’immunothérapie, alors que d’autres n’en auraient pas besoin.

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Le lait préviendrait le cancer du côlon

L’American Journal of Epidemiology rapporte que l’habitude des écoles de servir un berlingot de lait aux enfants tous les jours était une décision judicieuse pour la santé.
 
En effet, des chercheurs ont découvert que cette consommation quotidienne de lait durant l’enfance protégeait du cancer du côlon à l’âge adulte.
 
Les risques de cancer sont réduits d’au moins 20 % si les enfants ont eu leur lait quotidiennement durant 4 à 6 ans et ils sont diminués de 40 % si cette consommation s’est échelonnée sur plus de six ans.
 
Ces conclusions font suite à une étude effectuée sur 562 personnes de 30 à 69 ans avec un cancer du côlon. Leurs habitudes ont été comparées à celles d’un nombre similaire de personnes en bonne santé. On a comparé leur état de santé, leur mode de vie et leur consommation de lait à l’école.
 
Celles qui avaient bu plus de lait quotidiennement avaient moins de risques de développer le cancer du côlon.
 
On croit que le lait permet d’accumuler un niveau élevé de calcium dans l’organisme, ce qui protègerait les intestins plus tard et freinerait la croissance de cellules cancéreuses avant même qu’elles n’apparaissent.
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Le lait de chèvre est plus facile à digérer

Même si le lait maternel demeure le premier choix des pédiatres, le lait de chèvre pourrait être une option intéressante pour les bébés.
 
« Je conseille souvent aux parents de donner du lait de chèvre à leur bébé, surtout ceux avec des problèmes digestifs ou une intolérance au lait de vache. Le lait de chèvre est plus facile à digérer », explique le Dr William Sears au site internet Parenting.com.
 
Des parents qui ont adopté ce lait mentionnent que les réactions allergiques de leur enfant ont disparu ou ont été considérablement diminuées avec le lait de chèvre.
 
Pour cause, ce lait contient moins de protéines allergènes, sa graisse est plus facile à digérer et il contient également moins de lactose.
 
On note aussi que le lait de chèvre comporte un peu plus de vitamines B6 et A, de potassium, de niacine, de sélénium et d’antioxydants que le lait de vache.
 
Toutefois, l’Académie américaine de pédiatrie ne recommande pas aux parents de donner du lait de chèvre aux bébés de moins d’un an, car pour eux, le lait maternel demeure le seul choix sensé.
 
Si vous souhaitez donner du lait de chèvre à votre enfant, vous pouvez consulter un professionnel de la santé infantile afin de vous assurer que c’est un bon choix pour lui.
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Allaiter un bébé adopté?

L’adoption d’un enfant n’empêcherait pas l’allaitement, même si sa mère n’a pas été enceinte. 

On peut en effet lire dans Mayo Clinic que la stimulation des glandes responsables de la lactation pourrait entraîner la production de lait maternel.

Rappelons au passage que le lait est produit par la combinaison d’hormones, soit l’estrogène, la progestérone et la prolactine.

Or, la stimulation du mamelon enclencherait cette combinaison, permettant ainsi à une mère adoptive d’allaiter son enfant.

Cette stimulation doit s’échelonner sur une période de deux mois au moins, le sein devant être stimulé au tire-lait toutes les trois heures.

Une thérapie aux hormones existe aussi, mais comme elle est arrêtée au moment où l’allaitement commence, la stimulation est recommandée par les médecins.

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Le lait que boit bébé influerait sur son poids

Des chercheurs américains viennent d’indiquer un nouveau facteur dans la santé et le développement de l’enfant.

Il semble, peut-on lire dans Pediatrics, que les bébés qui sont nourris au lait de vache prendraient du poids plus rapidement que ceux qui sont allaités.

Pour tirer ces conclusions, la psychobiologiste Julie Mennalla et son équipe du Monell Chemical Senses Center à Philadelphie ont suivi 59 bébés durant 7 mois. Au début de l’étude, les enfants étaient âgés de deux semaines.

Un groupe a été nourri avec une formule protéinée de lait maternisé et l’autre a bu du lait de vache. Le lait maternisé de l’étude représentait le lait maternel (le standard de l’étude), car il y est très ressemblant.

Les 35 poupons qui ont été nourris au lait de vache ont pris du poids plus rapidement que les 24 à qui l’on a donné une formule protéinée de lait maternisé.

Les deux types de lait avaient pourtant le même nombre de calories. C’est le taux de protéines qui différait de l’un à l’autre, le lait de vache en contenant moins.

Selon madame Mennella, il reste maintenant à statuer sur la raison pour laquelle les bébés à qui l’on donne du lait de vache se retrouvent suralimentés.

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Le lait pour diminuer les risques de diabète de type 2

Le lait et les produits laitiers courants comme le fromage, le yaourt et le beurre contiennent de l’acide trans palmitoléique qui serait bénéfique contre le diabète de type 2.
 
Les Annals of Internal Medicine rapportent que des chercheurs de l’École de Santé publique de Harvard ont découvert que l’acide trans palmitoléique offrait une protection très efficace, meilleure que tout ce que l’on connaît, contre le diabète de type 2.
 
3 736 personnes ont participé à cette étude qui s’est déroulée sur 20 ans. Celles avec le plus d’acide trans palmitoléique dans le sang avaient moins de risques de développer la maladie. Le risque était même réduit de 60 % pour les personnes ayant les plus hauts taux d’acide.
 
Cette découverte devrait mener à des essais cliniques afin d’élaborer une stratégie thérapeutique pour les patients. Ce type d’acide n’est pas produit naturellement par le corps, il doit donc être intégré dans l’alimentation quotidienne.