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Le lait maternel des Amérindiennes plus riche

Les anthropologues du US Santa Barbara ont découvert que le lait maternel des jeunes mamans amérindiennes avec moins de moyens financiers contient un plus haut niveau d’acides gras oméga-3. C’est du moins ce qu’on peut lire dans le Maternal and Child Nutrition.

En fait, l’étude a été menée sur des femmes Tsimanes qui viennent de la Bolivie amazonienne et qui se nourrissent de cultures vivrières de base, de gibier et de poissons d’eau douce.

Grâce à ce régime, le lait maternel de ces femmes contient une grande quantité de DHA, un type d’acide qui est crucial pour le bon développement des capacités visuelles et cognitives de l’enfant.

« Malgré leurs conditions de vie économiquement difficiles, les mères Tsimanes produisent du lait maternel qui est plus balancé et potentiellement plus bénéfique que celui des mères américaines à cause de sa composition riche en acides gras », explique la chercheuse principale derrière cette étude, Melanie Martin.

Rappelons que les mères américaines seraient moins portées à encourager l’allaitement, selon l’organisme Save the Children. Les États-Unis se classaient récemment au dernier rang de la Breastfeeding Policy Scorecard.

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Une vitamine bienfaitrice cachée dans le lait

Des chercheurs suisses ont mis en évidence les bienfaits d’une vitamine que l’on retrouve notamment dans le lait, la nicotinamide riboside (NR).
 
Celle-ci a la capacité de prévenir l’obésité et le diabète et améliorerait les performances musculaires, indique le Cell Metabolism.
 
Les tests menés sur des souris ont permis de constater que celles ayant reçu la NR avaient pris beaucoup moins de poids que leurs congénères, en plus de ne pas développer le diabète.
 
Ces souris étaient également plus en forme et leurs fonctions métaboliques, comme la combustion des graisses et l’oxydation des cellules, avaient été améliorées après quelques semaines.
 
Avec cette vitamine, on ne note aucun effet secondaire non plus. « Il semble vraiment que les cellules utilisent ce dont elles ont besoin au moment où elles en ont besoin, et que le reste est mis en attente sans se transformer en un quelconque dérivé dangereux pour la santé », explique le chercheur Carles Canto.
 
Maintenant, les scientifiques doivent trouver la quantité à consommer pour pouvoir bénéficier de ces bienfaits.
 
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Le lait de soja aussi bon que le lait en poudre

« Alors que nous estimons qu’il y a des avantages significatifs à allaiter, les parents qui ne peuvent pas ou ne veulent pas allaiter ne doivent pas se sentir coupables et craindre des problèmes de développement pour leur enfant », a affirmé Thomas Badger, directeur de l’Arkansas Children’s Nutrition Center, au Huffington Post.

En effet, le lait en poudre, et désormais le lait de soja, serait presque aussi bon pour la santé et le développement de bébé que le lait donné au sein, si l’on se fie à l’étude de M. Badger publiée dans la revue Pediatrics.

Pour arriver à ces conclusions, 400 bébés ont été suivis à intervalle de trois mois jusqu’à ce qu’ils aient un an. Ils ont été divisés en trois groupes. Certains étaient nourris au sein, d’autres au biberon avec du lait commercial, et d’autres avec du lait végétal.

Prenant en considération l’âge de la mère, le QI et le statut social et économique des parents, il s’est avéré qu’il y avait une minime différence entre l’allaitement au sein et celui au biberon, mais aucune différence n’a été remarquée entre les deux laits donnés au biberon.

Les bébés allaités ont donc connu un meilleur développement que les autres, notamment concernant leur habilité à combiner leurs fonctions cognitives et leurs capacités physiques, mais « les différences sont minimes », conclut M. Badger.

Cette récente recherche vient à l’encontre d’études antérieures qui avançaient que la consommation de lait de soja par les bébés pouvait causer des problèmes de développements sexuels et comportementaux.

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Le lait maternel meilleur pour le bébé

Une étude de l’Université de l’Illinois montre que les oligosaccharides du lait humain, ou HMO, produiraient des acides gras qui nourriraient une population de microbes bénéfiques dans la gorge du poupon. De plus, la composition de ces bactéries s’ajusterait à la croissance de l’enfant et à l’évolution de ses besoins.

Les HMO sont présents en plus grandes quantités que les protéines dans le lait maternel. Ils sont absents, cependant, dans les formules pour bébés achetées en magasins.

« Les acides gras peuvent être utilisés comme source de bactéries bénéfiques et ils interviennent dans le développement gastro-intestinal et dans le pH de la gorge, ce qui réduit le nombre d’agents pathogènes responsables de plusieurs maladies », explique la professeure en nutrition de l’université, Sharon Donovan.

À court terme, les bactéries bénéfiques protègent l’enfant contre les infections par les bactéries nocives. À plus long terme, elles renforcent le système immunitaire du bébé et l’entraînent à se défendre contre des problèmes et maladies chroniques comme l’asthme ou les allergies alimentaires.

Rappelons que le lait maternel diminuerait aussi les niveaux de l’hormone de croissance IGF-1 et l’insuline dans le sang. Ceci ferait en sorte de ralentir le taux de croissance et le gain de poids, même après que l’enfant ait commencé à manger des aliments solides.

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Les mères intolérantes au gluten font-elles des enfants schizophrènes?

C’est l’étrange constat qu’ont fait des scientifiques de l’Institut Karolinska en Suède et du Centre de l’enfance de l’Université Johns Hopkins à Baltimore. Les résultats sont parus dans The American Journal of Psychiatry.

Les enfants nés d’une mère ayant des niveaux anormalement élevés d’anticorps à la protéine de gluten de blé avaient près de deux fois plus de risque de développer la schizophrénie plus tard dans la vie, par rapport aux enfants qui avaient des niveaux normaux d’anticorps de gluten.

Pour en arriver à cette conclusion, des échantillons de sang néonatal d’enfants nés entre 1975 et 1985 ont été analysés pour voir les niveaux d’anticorps IgG dans les produits laitiers et céréaliers qui leur avait été transmis.

Parmi les 764 dossiers de naissance, 211 personnes avaient développé des psychoses et troubles délirants tels que la schizophrénie.

Les scientifiques tiennent à préciser que même s’il y a un lien fort, l’intolérance au gluten chez la mère n’est pas assurément source de maladie mentale chez l’enfant.

Selon les experts, l’exposition à certains éléments avant et pendant la grossesse et après la naissance peut préprogrammer la santé physique et psychique de l’adulte. Le mode de vie et les gènes ne seraient donc pas les seuls facteurs qui peuvent influencer la santé mentale d’une personne à l’âge adulte, selon eux.

Par le passé, il a été prouvé que les schizophrènes étaient plus susceptibles de souffrir de la maladie coeliaque, une maladie auto-immune rare caractérisée par une sensibilité au gluten.

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Mise en garde contre les sauces de marque S&B

L’Agence canadienne d’inspection des aliments ainsi que l’importateur Tokustin Enterprises signalent la présence non déclarée de fruits de mer et de lait dans la sauce japonaise Cari de boeuf de la mer Méditerranée de marque S&B, vendue dans des emballages de 200 g.
 
Bien que l’on ne signale aucun cas en ce moment, les personnes allergiques aux fruits de mer et au lait pourraient avoir de graves réactions, même mortelles, avec la consommation de ce produit.
 
La sauce a été distribuée au Québec, en Ontario, en Alberta, au Manitoba, en Saskatchewan et en Colombie-Britannique, mais pourrait aussi se retrouver à l’échelle nationale.
 
Le produit est retiré du marché par l’importateur sous la supervision de l’Agence canadienne d’inspection des aliments.
 
Pour toutes informations supplémentaires, vous pouvez contacter l’ACIA au 1-800-442-2342/ATS1-800-465-7735 (du lundi au vendredi de 8 h à 20 h, heure de l’Est).
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La ferme et les vaches diminuent le risque d’allergie et d’asthme chez l’enfant

Bien que le lien entre la vie sur une ferme, le contact avec plus de bactéries et le risque moins élevé de développer des problèmes d’allergies et d’asthme ne soit pas totalement clair, une étude de l’Université de Munich a réussi à démontrer que ce mode de vie rural pouvait avoir ses bénéfices.
 
« Le système immunitaire des enfants semble se développer plus normalement dans ce genre d’environnement », a déclaré le Dr James Gern de l’École de médecine de l’Université du Wisconsin à Madison, qui ne participait pas à cette recherche.
 
Pour approfondir les connaissances des spécialistes sur l’effet de la vie sur une ferme, 80 000 parents d’enfants ayant grandi en campagne en Allemagne, en Suisse et en Autriche ont répondu à un sondage.
 
Parmi ceux-ci, plus de 9600 des enfants avaient été élevés sur une ferme, 18 000 avaient visité les fermes d’autres personnes et 52 000 n’avaient jamais séjourné sur une ferme.
 
Il est ressorti que 11 % des enfants vivant sur la ferme avaient développé des problèmes d’asthme, contre 16 % chez ceux qui y avaient déjà séjourné et 18 % chez ceux qui n’avaient jamais fréquenté ce genre de lieu.
 
En ce qui a trait au rhume des foins et aux allergies, les résultats ont donné 5 % contre 11 et 15 % dans les catégories respectives.
 
De plus, les enfants qui étaient élevés sur des fermes laitières, en contact avec des vaches et qui buvaient le lait pur, couraient 21 à 26 % moins de risques d’être atteints de ce genre de maladies, comparativement aux autres enfants sur d’autres types de fermes ou en ville.
 
Les conclusions publiées dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology démontrent également que l’eczéma est moins fréquent chez les apprentis fermiers.
 
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Les facteurs de croissance du lait ne causent pas le cancer

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) en France, les facteurs de croissance que l’on peut retrouver dans le lait n’ont qu’un très faible impact sur le développement du cancer.
 
Les facteurs de croissance sont des molécules que les humains et certains animaux produisent naturellement. Ils jouent un rôle essentiel dans la croissance des cellules.
 
Dernièrement, plusieurs affirmaient que cela favorisait le développement du cancer chez les consommateurs de produits laitiers.
 
Cependant, les experts se veulent rassurants. Le lait et les produits laitiers subissent de nombreuses transformations, ce qui réduit considérablement les facteurs de croissance.
 
De plus, on mentionne que seule une infime partie arrive à atteindre la circulation sanguine, mais cela ne favorise pas pour autant l’apparition de la maladie.
 
Rassurez-vous, le lait et les produits laitiers demeurent des choix santé.
 
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Les facteurs de croissance du lait ne causent pas le cancer

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) en France, les facteurs de croissance que l’on peut retrouver dans le lait n’ont qu’un très faible impact sur le développement du cancer.
 
Les facteurs de croissance sont des molécules que les humains et certains animaux produisent naturellement. Ils jouent un rôle essentiel dans la croissance des cellules.
 
Dernièrement, plusieurs affirmaient que cela favorisait le développement du cancer chez les consommateurs de produits laitiers.
 
Cependant, les experts se veulent rassurants. Le lait et les produits laitiers subissent de nombreuses transformations, ce qui réduit considérablement les facteurs de croissance.
 
De plus, on mentionne que seule une infime partie arrive à atteindre la circulation sanguine, mais cela ne favorise pas pour autant l’apparition de la maladie.
 
Rassurez-vous, le lait et les produits laitiers demeurent des choix santé.
 
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Les femmes stressées ou dépressives suralimentent leurs bébés

Alors qu’il y a quelques jours, une étude du Social Science Research Institute révélait que les mères dépressives avaient tendance à réveiller inutilement leur nourrisson durant la nuit, alors qu’il n’avait besoin de rien, une nouvelle enquête vient ajouter un autre élément qui touche ce type de femmes.

En effet, les mères dépressives seraient 15 fois plus susceptibles d’ajouter des céréales dans le biberon de leur petit.

Quant aux femmes à faible revenu, monoparentales et stressées (24 %), elles auraient tendance également à utiliser cette méthode qui peut conduire à l’obésité infantile, déclare une étude présentée le 28 avril au Congrès annuel des Pediatric Academic Societies à Boston.

Pour arriver à cette conclusion, 254 mères ont répondu à des questionnaires concernant leur mode de vie, leur santé psychique, physique et financière.

Les chercheurs ont tenté de trouver le lien qui pouvait être établi entre ces derniers facteurs, les éléments socio-économiques de la femme (âge, emploi, race, scolarité, etc.) et le fait que certaines d’entre elles nourrissent davantage leur bambin.

Mentionnons que l’ajout de céréales dans le biberon de lait n’est pas recommandé par diverses organisations, dont l’American Academy of Pediatrics, car ceci peut provoquer l’excès de poids chez un enfant.