Contrairement à certaines rumeurs qui avaient circulé au cours des dernières années, Julia Roberts n’a pas eu recours à la chirurgie esthétique majeure pour transformer ou conserver certaines parties de son corps.
Déjà pourvue de traits distincts et avantageux, la vedette de Pretty Woman et d’Erin Brockovich entend garder le cap, mais estime tout de même prendre un « risque » professionnel en laissant le destin décider pour elle, rapporte BANG Media International.
« Par les standards d’Hollywood, j’imagine que j’ai déjà pris un gros risque en n’ayant pas de lifting du visage. Mais j’ai dit à Lancôme que je voulais être une mannequin vieillissante, alors ils doivent me garder encore cinq ans, jusqu’à ce que je dépasse la cinquantaine », lance celle qui a été choisie pour être le visage de la populaire marque.
Roberts révèle qu’elle se sent mieux que jamais et qu’elle prend de toute façon les choses beaucoup moins au sérieux qu’avant. Elle donne du crédit également à son style de vie et ses choix pour ce bonheur ressenti, même à 46 ans.
Lorsqu’on associe la notion de « risque » à une femme aussi gracieuse que Julia Roberts à la mi-quarantaine, on sait que l’industrie du cinéma et de la mode sont maintenant dans une phase dangereuse et malsaine de leur histoire.