C’est en compagnie de Jean-Philippe Dion et des autres invités que le chanteur country a été profondément touché à la suite de l’écoute d’une voix lui rappelant de vieux souvenirs.
Matt, ayant grandi dans un milieu familial où la musique avait une grande importance, a été ému en entendant son grand-père chanter dans un magnétophone, ce qui a rapidement fait monter les larmes chez lui.
«Pourquoi c’est dur comme ça, pour toi, de réentendre ça?», demande l’animateur.
«Je ne sais pas, c’était lui, un peu, qui m’a mis une guitare dans les mains», répond Matt avec difficulté, visiblement très ému.
Un homme qui a été marquant dans sa vie et une des raisons pour lesquelles il fait ce métier aujourd’hui!
Un moment fort émouvant en compagnie de Matt Lang.
Roxane Bruneau a orchestré cette belle surprise en remplaçant Charles Lafortune auprès de la famille du participant, lui permettant ainsi de vivre une audition à l’aveugle.
C’est aux notes de la voix d’Andrew que Charles Lafortune a décidé de tourner son fauteuil, provoquant la joie de Roxane. Puisque Mario et Corneille étaient également retournés, Charles a eu l’opportunité de bloquer Mario.
Finalement, Andrew a choisi de rejoindre Lafortune, comblant ainsi une nouvelle place dans l’équipe Bruneau.
Plus tard dans l’émission, l’animateur nous dévoilait le parcours d’une jeune femme, Samantha Charbonneau-Vaudeville, confrontée à un trouble de langage et à un trouble du spectre de l’autisme léger, qui a courageusement décidé de participer aux auditions.
Bénéficiant du coaching de son professeur de chant bien connu, Kevin Bazinet.
Malheureusement, aucune chaise ne s’est retournée, mais ce moment a été poignant et émouvant tant pour le public que pour Charles, qui a eu les larmes aux yeux.
Une histoire qui, on peut le comprendre, le touche directement en raison du TSA de son fils et de sa fondation, Autiste et majeur.
«Je pense que la neurodiversité c’est quelque chose de très important. Moi, là, je vais casser… mais, c’est d’avoir des gens comme elle… à La Voix, avec tout le monde, comme tout le monde, dans la même compétition, ça, c’est formidable», témoigne Lafortune avec beaucoup d’émotions.
Un beau message d’espoir que plusieurs ont ressenti à travers le Québec…
Et une soirée certainement inoubliable pour Charles!
«J’avais parlé à Mario pas longtemps après le décès de Michel. Puis, tu sais, il m’avait dit: Si jamais tu avais envie de faire une entrevue, je ne serais pas prêt. Parce que je lui en avais parlé. Si jamais tu veux en parler. Parce qu’on ne le connaissait pas. Michel avait gardé toujours cet aspect-là de sa vie intime, personnelle et tout ça. Je comprenais aussi que Mario avait un besoin de dire tout haut la peine qu’il ressentait. Parce qu’être dans l’ombre, quand arrivent ces moments-là, tu as envie de le partager avec les gens, tu as envie de partager l’amour que tu as eu. Un peu plus tard, il m’a appelé et il m’a dit: Maintenant je serais prêt (…) Je ne veux pas parler pour lui, mais j’ai l’impression que ça lui a fait du bien», dévoile en premier lieu Barrette.
Par la suite, l’animatrice et star du podcast Ouvre ton jeu soulignait l’importance de ne pas avoir peur de parler de son amour au grand jour.
«C’était de grands amoureux, ces hommes-là. Je trouvais que c’était important de peut-être le dire à d’autres personnes, qui n’osent pas vivre leur amour au grand jour. Ça m’émeut, parce qu’on en a connu de ces gens-là, des fois, qui vivent ça un peu. Pour ne pas déplaire ou pour des raisons… Mais tu sais, l’amour c’est plus fort que tout. Je pense que c’est ça que j’ai retenu de lui», termine Marie-Claude visiblement émue, les yeux dans l’eau.
Vous êtes du genre à avoir besoin d’une boite de mouchoirs quand vous regardez un film et vos amis ou votre partenaire se moquent (gentiment) de vous? Saviez-vous que la science a de bonne nouvelles pour vous?
En effet, les larmes et sanglots que vous laisser échapper devant l’écran sont un signe positif, selon une étude!
La recherche en question a démontré que les gens qui ont tendance à pleurer en regardant des films sont émotionnellement plus fortes que les personnes qui ne pleurent pas.
Oubliez les gens qui vous jugent! En ces moments-là, vous recevez seulement une vague d’ocytocine, un neuropeptide qui est responsable de l’empathie.
La recherche a été menée par l’un des étudiants de Paul J. Zak, un scientifique et orateur qui écrit pour Psychology Today. On y a constaté les scènes émouvantes dans les films provoquent un pic d’ocytocine dans le sang.
Les participants affectés par l’ocytocine ont été plus généreux en donnant de l’argent à des oeuvres de bienfaisance, sans savoir à qui ils donnaient et sans pouvoir être remerciés. Cela démontrer que ces gens sont plus emphatiques , gentils et désintéressés. De très belles qualités!
Pendant un film, par exemple, nous suspendons volontairement l’incrédulité pour mieux nous immerger dans l’histoire. Ceux qui pleurent sont mieux en mesure de se mettre à la place de quelqu’un d’autre pour vivre des perspectives autres que la leur.
On pense que, puisqu’affronter sa propre douleur est déjà très difficile, savoir s’imaginer vivre les situations douloureuses qu’une tierce personne traverse et ressentir ses émotions est un signe d’empathie et de force. Les gens qui ressentent ça serait donc très résiliantes. Car, même si les gens qui pleurent devant les films ou les livres paraissent trop sensibles, elles ont tendance à rebondir et à guérir plus vite de leurs souffrances
Faire face à sa propre douleur est déjà assez pénible, mais imaginer vivre et ressentir la douleur de quelqu’un d’autre démontre une force incroyable, qui forme des gens super résilients.
N’ayez donc plus peur de laisser aller vos émotions la prochaine fois que vous verrez des scènes émouvantes!
Ces enfants sont incapables de verser des larmes. Matthew Might, de l’Université de l’Utah, affirme que son garçon Bertrand a été le patient 0. Might a rencontré un autre enfant qui présentait la même anomalie. Il a réalisé que tous deux étaient léthargiques et présentaient un regard vide, incapable de fixer un point.
Les chercheurs de l’Université Duke ont collaboré avec Might afin de découvrir quelle mutation génétique pouvait être à l’origine de ce problème. Comme ils avaient deux enfants qui possédaient exactement les mêmes symptômes, ils ont découvert le gène responsable commun. Il s’agit du NGLY1 qui, dans les deux cas, était défectueux.
Ce gène particulier, dans le patient 0, n’avait pas fait autant de dommages que pour le patient 1. Dans ce cas précis, même le foie avait été endommagé. Le NGLY1 contribue entre autres au bris de mauvaises protéines pour les rendre réutilisables par le corps.
Depuis cette mise en lumière, on a diagnostiqué 8 jeunes patients avec une mutation génétique du NGLY1.
Pour en apprendre plus, l’article de CNN News donne plus de détails.
Le site She Knows rapporte une analogie intéressante de la part d’une spécialiste, Nancy S. Buck Ph.D. « Est-ce qu’il serait logique pour un parent de cacher son rire devant ses enfants? »
La réponse, évidemment, est non. Ainsi, les pleurs, bien qu’ils puissent être déroutants pour les enfants, ne devraient pas être cachés. Bien entendu, pleurer peut être causé par la joie comme par la peur, la frustration et la tristesse. Il s’agit d’expliquer la situation.
Selon une autre spécialiste, les enfants qui vous voient pleurer auront toujours l’impression qu’ils sont, quelque part, responsables de vos larmes. Il est donc essentiel de leur expliquer. « Dites-leur qu’il n’y a rien qu’ils puissent faire ou dire… qu’ils n’ont qu’à attendre un moment, puis lorsque vous aurez mouché votre nez, tout ira mieux. »
En résumé, les essentiels lorsque vous pleurez devant vos enfants sont :
– Expliquez le pourquoi des larmes, dans un langage qu’ils comprennent.
– Rassurez-les. Ce n’est pas de leur faute, et il est normal de pleurer.
– Évitez de vous faire réconforter par vos enfants. Libérez-les de cette responsabilité.
– Évitez les détails qui ne les concernent pas, surtout s’il s’agit d’une crise au sein du couple.
Comme l’explique Elaine Weitzman, spécialiste du langage, sur Todays Parent : « La crise de larmes ou les cris sont un moyen de communication pour le bébé », surtout lorsqu’il ne connait pas les mots pour s’exprimer.
Les cris de joie
Si ceux-ci dérangent les autres, prenez votre enfant dans vos bras en frottant son dos. Cela le calmera. Ensuite, expliquez à votre enfant qu’à l’intérieur, on doit parler tout bas. Faites-en la démonstration. Au parc, dites : « Ici, tu peux t’exprimer plus fort! » Puis en revenant à la maison, chuchotez : « Ici, on garde le ton plus bas ».
Les cris qui demandent l’attention
Ils sont moins faciles à calmer, mais si vous êtes au téléphone, par exemple, faites un signe de la main, tapotez sa tête ou assoyez-le sur vos genoux, sans lui donner toute votre attention. Il doit comprendre qu’il ne peut pas toujours être le centre d’intérêt.
Les cris de colère
La meilleure façon consiste à attirer son attention sur autre chose pour le sortir de son état. Inutile de crier vous aussi, cela ne fera que changer les cris en larmes ou à envenimer la situation. Par exemple, sortez un jouet, un porte-clés ou un produit emballé de votre panier à l’épicerie.
C’est la chercheuse Lauren Wakschlag, de la Northwestern University Feinberg School of Medicine, qui a procédé au sondage mené auprès de 1500 parents.
Les résultats démontrent que 84 % des enfants d’âge préscolaire ont piqué des crises dans le dernier mois. Cependant, seulement 8,6 % de ces enfants présentaient des crises quotidiennes.
Selon myhealthnewsdaily.com, cette étude fait partie d’une recherche plus étendue sur la distinction entre les crises « normales » et celles représentant un risque de problème de comportement ultérieur.
Ainsi, les parents sont invités à observer les crises de larmes de leurs enfants, leur intensité, leur durée et la vitesse à laquelle l’enfant retrouve son état normal. Il est également important de noter si elles font suite à une réaction de frustration ou de colère, ou sont simplement spontanées et injustifiées.
Wakschlag précise l’objectif de la recherche, publiée dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry. « Il y a un réel danger que les enfants d’âge préscolaire soient mal diagnostiqués, alors que leur comportement est normal, et donc qu’ils soient traités inutilement avec de la médication. C’est ce que nous souhaitons éviter ».
Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Tokyo ont découvert que la consommation de café augmentait la capacité de l’œil à produire des larmes.
Selon le Journal Ophthalmology, la sécheresse oculaire affecte des millions de personnes. Ce problème est plutôt ennuyeux et cause des sensations de brûlure, d’égratignure, un larmoiement excessif ou encore une production de mucus filant.
Dans les cas les plus graves, cela peut entrainer des lésions oculaires et des problèmes de vision permanents.
78 personnes ont participé à cette recherche, et on a noté une augmentation significative des larmes après la consommation de café.
Si les résultats se confirment avec d’autres études, cela permettrait de créer des traitements pour soulager les patients.
Le syndrome de la sécheresse oculaire est causé par un dysfonctionnement de la vitesse de production lacrymale ou du niveau d’évaporation de la surface oculaire.
Les seuls moyens de traiter cet inconfort sont notamment des larmes artificielles ou des bains oculaires, mais il est toujours important de consulter un ophtalmologiste pour savoir ce qui est le plus approprié pour vous.
Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de Tokyo ont découvert que la consommation de café augmentait la capacité de l’œil à produire des larmes.
Selon le Journal Ophthalmology, la sécheresse oculaire affecte des millions de personnes. Ce problème est plutôt ennuyeux et cause des sensations de brûlure, d’égratignure, un larmoiement excessif ou encore une production de mucus filant.
Dans les cas les plus graves, cela peut entrainer des lésions oculaires et des problèmes de vision permanents.
78 personnes ont participé à cette recherche, et on a noté une augmentation significative des larmes après la consommation de café.
Si les résultats se confirment avec d’autres études, cela permettrait de créer des traitements pour soulager les patients.
Le syndrome de la sécheresse oculaire est causé par un dysfonctionnement de la vitesse de production lacrymale ou du niveau d’évaporation de la surface oculaire.
Les seuls moyens de traiter cet inconfort sont notamment des larmes artificielles ou des bains oculaires, mais il est toujours important de consulter un ophtalmologiste pour savoir ce qui est le plus approprié pour vous.