Dimanche soir avait lieu la 24e édition du Gala Québec Cinéma et c’est l’actrice Geneviève Schmidt qui animait la prestigieuse soirée. Lors de cettedite soirée, 14 prix Iris ont été remis. Le film qui a remporté pas moins de 10 trophées est celui de Ivan Grbovic avec Les oiseaux ivres. D’ailleurs, vous pouvez le regarder depuis le plus grand confort de votre foyer comme il est actuellement disponible sur la plateforme Crave.
Pour voir la liste des lauréats et des lauréates de la 24e édition du Gala Québec Cinéma, glissez ci-dessous.
MEILLEUR FILM
Iris du Meilleur film Les oiseaux ivres – micro_scope – Luc Déry, Kim McCraw
MEILLEUR PREMIER FILM
Iris du Meilleur premier film Sin La Habana – Kaveh Nabatian
MEILLEURE RÉALISATION
Iris de la Meilleure réalisation Ivan Grbovic – Les oiseaux ivres
MEILLEUR SCÉNARIO
Iris du Meilleur scénario Sara Mishara, Ivan Grbovic – Les oiseaux ivres
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE
Iris de la Meilleure interprétation féminine dans un premier rôle Hélène Florent (Julie) – Les oiseaux ivres
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE
Iris de la Meilleure interprétation masculine dans un premier rôle Vincent-Guillaume Otis (Éric Asselin) – Norbourg
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE |RÔLE DE SOUTIEN
Iris de la Meilleure interprétation féminine dans un rôle de soutien Hélène Florent (Laura Chapdelaine) – Maria Chapdelaine
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN
Iris de la Meilleure interprétation masculine dans un rôle de soutien Claude Legault (Richard) – Les oiseaux ivres
RÉVÉLATION DE L’ANNÉE
Iris de la Révélation de l’année Sara Montpetit (Maria Chapdelaine) – Maria Chapdelaine
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur film documentaire Comme une vague – Marie-Julie Dallaire | Andrée Blais, Marie-Julie Dallaire | Griffinpark Films – Alex Sliman
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION
Iris du Meilleur court métrage | Fiction
Les grandes claques – Annie St-Pierre | Annie St-Pierre | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION
Iris du Meilleur court métrage | Animation La grogne – Alisi Telengut | Alisi Telengut | Dominique Dussault, Alisi Telengut
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur court métrage | Documentaire Perfecting the Art of Longing – Kitra Cahana | Kitra Cahana | Office national du film du Canada – Kat Baulu, Ariel Nasr
Vendredi soi, lors de la remise des Prix Écrans canadiens pour les Arts cinématographiques, présentée par Téléfilm Canada avec le soutien de Cinéplex, plusieurs artistes qui se sont illustré.e.s par l’excellence de leur travail au cours de la dernière année ont été récompensés. La cérémonie, qui était présentée virtuellement, a été animée par l’actrice Laurence Leboeuf, qui était d’ailleurs en lice pour le prix « Best Lead Actress, Drama Series » (meilleur premier rôle féminin : série dramatique) pour la populaire série télé à saveur de drame médical Transplant.
L’arracheuse de temps, Maria Chapdelaine, Les filles ne marchent pas seules la nuit et Les oiseaux ivres sont sortis gagnants de cette prestigieuse soirée.
« Parmi les artisan.e.s du Québec qui étaient en nomination à cette remise de prix, rappelons que le drame fantastique, L’arracheuse de temps, était en lice dans cinq catégories, dont « Meilleure adaptation » (Fred Pellerin) et « Meilleurs costumes » (Josée Castonguay), tandis que le drame d’époque Maria Chapdelaine était nommé quatre fois, notamment pour « Meilleurs maquillages » (Djina Caron) et « Meilleurs costumes » (Francesca Chamberland) », pouvait-on lire par voie de communiqué.
D’ailleurs, les Prix Écrans canadiens 2022 se poursuivent jusqu’à dimanche, et vous pouvez consulter les listes de lauréat.e.s juste ici.
Pour voir la liste des lauréat.e.s du vendredi 8 avril 2022, glissez ci-dessous.
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PRIX ÉCRANS CANADIENS – ARTS CINÉMATOGRAPHIQUES, PRÉSENTÉE PAR TÉLÉFILM CANADA AVEC LE SOUTIEN DE CINÉPLEX
Interprétation masculine dans un rôle de soutien
Joshua Odjick – Wildhood
Interprétation féminine dans un rôle de soutien
Cherish Violet Blood – Scarborough
Meilleure distribution
Shasha Nakhai, Rich Williamson – Scarborough
Meilleur mixage sonore
Lou Solakofski, Graham Rogers, Stephen Marian, Alexis Feodoroff, Tim Chaproniere – Night Raiders
Meilleur montage sonore
Krystin Hunter, Paul Germann, Stefana Fratila – Scarborough
Meilleure chanson originale
TiKA, Casey Manierka-Quaile – Learn to Swim – “And Then We Don’t”
Meilleure musique originale
Jonathan Goldsmith – All My Puny Sorrows
Meilleure direction artistique / conception des décors
Arnaud Brisebois, Jean Babin, Ève Turcotte – L’arracheuse de temps | The Time Thief
Meilleurs costumes
Commanditaire | Sponsor | IATSE
Kendra Terpenning – Night Raiders
Meilleurs maquillages
Traci Loader – Night Raiders
Meilleures coiffures
Martin Lapointe – Maria Chapdelaine
Meilleurs effets visuels
Commanditaire | Sponsor | SPINVFX
Martin Tori, John Mariella, Frank Rueter, Darwin Go – Night Raiders
Prix écran d’or pour un long métrage
PAW Patrol: The Movie – Jennifer Dodge
Meilleur montage
Michelle Szemberg, Orlee Buium – All My Puny Sorrows
Meilleures images
Commanditaire | Sponsor | Company 3
Sara Mishara – Les oiseaux ivres | Drunken Birds
Meilleur court métrage de fiction
Commanditaire | Sponsor | Téléfilm Canada
Les filles ne marchent pas seules la nuit | Girls Shouldn’t Walk Alone at Night – Katerine Martineau, Guillaume Collin
Prix Hommage du conseil d’administration de l’Académie | Academy Board of Directors’ Tribute
John Galway
Meilleure adaptation
Catherine Hernandez – Scarborough
Meilleur scénario original
Danis Goulet – Night Raiders
Prix John Dunning pour le meilleur premier long métrage |
En août dernier, le REM a demandé à la population de voter pour la voix qui accompagnera les usagers dans leurs déplacements quotidiens. Après 35 000 votes, on peut enfin dévoiler que cette fameuse voix B est nul autre que celle que Caroline Dhavernas! Parmi les autres choix de volx, il y avait la comédienne Sarah-Jeanne Labrosse.
Rappelons que la voix du métro de Montréal est celle de Michèle Deslauriers, la mère de Caroline Dhavernas. On a récemment vu la maman de la comédienne dans le long-métrage L’arracheuse de temps. Le résumé que l’on peut retrouver sur le site web officiel du film de Francis Leclerc va comme suit : « Usée par la maladie, la vieille conteuse Bernadette tente de rassurer son petit-fils Fred que la Mort n’existe plus. Son récit fera revivre les personnages extraordinaires du village de Saint-Élie-de-Caxton en 1927 : le barbier Méo qui décoiffe son monde, Toussaint le marchand qui compte ses cennes au désespoir de sa femme Jeannette, la belle Lurette, fille du forgeron Riopel, qui étire son enfance jusqu’à 20 ans, Madame Gélinas qui élève ses 472 enfants, le curé neuf qui n’est pas vieux, La Stroop qui nourrit les rumeurs de sorcière à son sujet et Bernadette qui a l’âge de tous les possibles. Une nuit, un éclair s’en prend au pommier de l’église dont la cloche sonne un coup de mauvais augure. La Mort a-t-elle décidé de s’offrir un buffet d’âmes? Dorénavant, la fin de la vie coïncide avec la naissance des légendes ».
Le thriller raconte l’aventure de six personnes qui ne se connaissent pas, mais qui pourtant, sont toutes invitées à passer quelques jours dans la somptueuse demeure d’un milliardaire. Cependant, le vol d’hélicoptère pour s’y rendre atterrit d’urgence au milieu de nulle part. En attendant les secours, le groupe fera face à des accidents et des disparitions mystérieuses. Le groupe est composé d’un ex-policier, d’un marchand d’art religieux, d’un professeur à la retraite, d’une directrice marketing, d’un criminaliste vedette ainsi que d’une femme d’affaires. On commence déjà à se faire des scénarios sur ce qu’ils ont tous en commun et qui est en tête de tous ces mystères.
Nous la verrons aussi dans Les Cavaliers qui sera diffusée sur la chaîne Unis TV à l’hiver 2022. La série produite par Trio Orange et réalisée par Sarah Pellerin met en vedette Rosalie Pépin, Vincent Graton, Caroline Dhavernas, Émile Schneider et Sarah-Anne Parent. Les tournages ont actuellement lieu à Saint-Jean-Baptiste, en Montérégie.
L’histoire raconte celle de Charlie (Rosalie Pépin) qui, malgré un grave accident, décide de retourner à son camp d’équitation afin d’aller rejoindre son fidèle compagnon, Orion. Quand elle arrivera, Charlie se rendra compte qu’Orion ne peut plus compétitionner. C’est avec l’aide de ses pairs (les autres cavaliers et cavalières) et de son nouvel entraîneur que Charlie devra faire face à ses peurs, en plus d’apprendre à se dépasser tout en essayant respecter ses limites. Charlie gagnera-t-elle la compétition finale?
Une chose est certaine, on va prendre le transport en commun plus souvent! Et vous?
À la première du film L’arracheuse de temps, Geneviève Schmidt s’est confiée au magazine 7 Jours. La comédienne qui incarne le personnage Madame Gélinas a mentionné qu’elle planifie prendre des vacances avec son amoureux, Daniel Corbin. « Je tourne la troisième saison de La Maison-Bleue. Ensuite on va sûrement aller faire un tour en Floride et on va aussi assurément aller dans l’Ouest canadien, à Whistler. Je suis une maniaque de ski, et mon chum est un fou du snowboard, il est même périlleux, il est du genre à se lancer en bas d’un hélicoptère et à atterrir direct sur la pente. Il est casse-gueule et impressionnant », a t-elle dit au magazine 7 Jours.
« On parle de plus en plus de ces gens, dont le taux de suicide est très élevé. Ces employés vivent de gros burn-out et ont besoin d’aide psychologique. Quand c’est toi qui gères les vidéos que les internautes diffusent sur le Web, tu vois de tout, autant du beau que du laid. Ce sera une fiction à l’humour noir, cinglant et malsain », conclut la comédienne.
Avec un horaire aussi chargé, il va donc sans dire que des vacances en amoureux seront bien méritées!
Le résumé que l’on peut retrouver sur le site web officiel du film de Francis Leclerc va comme suit : « Usée par la maladie, la vieille conteuse Bernadette tente de rassurer son petit-fils Fred que la Mort n’existe plus. Son récit fera revivre les personnages extraordinaires du village de Saint-Élie-de-Caxton en 1927 : le barbier Méo qui décoiffe son monde, Toussaint le marchand qui compte ses cennes au désespoir de sa femme Jeannette, la belle Lurette, fille du forgeron Riopel, qui étire son enfance jusqu’à 20 ans, Madame Gélinas qui élève ses 472 enfants, le curé neuf qui n’est pas vieux, La Stroop qui nourrit les rumeurs de sorcière à son sujet et Bernadette qui a l’âge de tous les possibles. Une nuit, un éclair s’en prend au pommier de l’église dont la cloche sonne un coup de mauvais augure. La Mort a-t-elle décidé de s’offrir un buffet d’âmes? Dorénavant, la fin de la vie coïncide avec la naissance des légendes ».
N’oublions pas l‘impressionnante distribution qui fait partie de l’adaptation du conte de Fred Pellerin! Parmi celle-ci, on y retrouvera entre autres Jade Charbonneau dans le rôle de Bernadette, Pier-Luc Funk dans celui du curé neuf, Céline Bonnier campera La Stroop, Émile Proulx-Cloutier se glissera dans la peau du marchand Toussaint Brodeur, Sonia Cordeau sera Jeannette Brodeur (la conjointe de Toussaint), Marc Messier personnifiera le barbier Méo, Michèle Deslauriers interprétera la grand-mère Bernadette, Guillaume Cyr deviendra le forgeron Riopel et la fille de ce dernier, Lurette, sera tenue par Marie-Ève Beauregard.
Mercredi soir avait lieu la première du plus récent film de Francis Leclerc et de Fred Pellerin, qui a été produit par Antonello Cozzolino, L’Arracheuse de temps. Ce long métrage fantastique se déroulant dans l’iconique village du scénariste, St-Élie-de-Caxton prendra l’affiche dans les salles de cinéma partout au Québec dès le vendredi 19 novembre, et croyez-nous, vous ne voulez pas manquer ça.
Nous avons eu la chance d’assister à la première et peu de mots peuvent décrire à quel point le résultat est percutant. Premièrement, l’histoire du film nous a immédiatement rendues nostalgiques comme la nostalgie est l’un des thèmes principaux du conte de Fred Pellerin. Il faut dire que tout comme celle de Babine, la prémisse de L’Arracheuse de temps en est une des plus originales.
Le résumé que l’on peut retrouver sur le site web officiel du film de Francis Leclerc va comme suit : « Usée par la maladie, la vieille conteuse Bernadette tente de rassurer son petit-fils Fred que la Mort n’existe plus. Son récit fera revivre les personnages extraordinaires du village de Saint-Élie-de-Caxton en 1927 : le barbier Méo qui décoiffe son monde, Toussaint le marchand qui compte ses cennes au désespoir de sa femme Jeannette, la belle Lurette, fille du forgeron Riopel, qui étire son enfance jusqu’à 20 ans, Madame Gélinas qui élève ses 472 enfants, le curé neuf qui n’est pas vieux, La Stroop qui nourrit les rumeurs de sorcière à son sujet et Bernadette qui a l’âge de tous les possibles. Une nuit, un éclair s’en prend au pommier de l’église dont la cloche sonne un coup de mauvais augure. La Mort a-t-elle décidé de s’offrir un buffet d’âmes? Dorénavant, la fin de la vie coïncide avec la naissance des légendes ».
Adapté du compte de Fred Pellerin du même nom, L’Arracheuse de temps prend une place au sommet de la liste des meilleurs films québécois des deux dernières décennies et non, nous n’exagérons pas.
Même pas un peu.
Au fait, la distribution du film est tellement riche en talents et en crédibilité qu’elle nous fait croire que cette histoire fait bel et bien partie de notre folklore québécois.
La protagoniste est Bernadette et elle est incarnée par l’excellente actrice Jade Charbonneau. Son interprétation est à couper le souffle et elle pourrait même rendre certaines actrices américaines jalouses tellement elle brille dans ce long métrage. Décidément, Jade Charbonneau est une comédienne que l’on n’a pas fini de voir. Une genre de Karine Vanasse, Sophie Nélisse ou encore, Laurence Leboeuf.
Pier-Luc Funk, dans le rôle de Monsieur le Curé, donne une performance remarquable avec son légendaire problème d’élocution qui a fait rire les spectateurs et spectatrices à plusieurs reprises.
Pour ce qui est du personnage du barbier, Méo, interprété par le brillant Marc Messier, il s’agit d’un coup de coeur comme son rôle est tellement attachant malgré son grave problème d’alcoolisme. Un personnage remarquable dont on s’ennuie déjà.
Que dire de Madame Gélinas, interprétée par l’une de nos comédiennes favorites, Geneviève Schmidt. Son rôle est celui d’une femme vivant dans la misère avec ses 472 enfants. Oui, oui, vous avez bien lu. 472 enfants pour madame Gélinas! D’ailleurs, la comédienne est vraiment venue nous chercher dans son interprétation que l’on pourrait décrire comme étant la perfection.
Pour ce qui est de la cinématographie, du son et de l’ambiance du film, il est indéniable que le tout nous a complètement renversés. La qualité de l’image était digne d’un des plus grands films fantastiques et n’avait absolument rien à envier aux oeuvres similaires.
Le son et la musique ont été créés par Fred Pellerin lui-même ainsi que Éloi Pinchaud et elle a grandement aidé à transporter les spectateurs et les spectatrices dans l’univers fantastique réussi de L’Arracheuse de temps.
Pour ce qui est de l’ambiance du film, elle était sombre, mais pas glauque. Elle était intense, mais pas lourde. Elle était dense, mais pas paniquante du tout. C’était comme si Francis Leclerc, Fred Pellerin et Tim Burton avaient eu un enfant ensemble (on le sait que c’est étrange comme exemple, mais nous pensons que ça décrit réellement l’imagerie du film).
L’histoire est narrée par Fred Pellerin ainsi que le personnage de l’incroyable Michèle Deslauriers. D’ailleurs, c’est la narration qui nous a rendus nostalgiques, comme le personnage du petit Fred représente Fred Pellerin en 1988. Pour ce qui est de Michelle Deslauriers, elle incarne le rôle de sa grand-maman malade, qui lui raconte l’histoire de sa jeunesse, prenant place en 1927.
Bien que la mort fasse grandement partie du film, elle n’est jamais imposante et elle nous porte toujours à réfléchir. Au fait, dans L’Arracheuse de temps, La mort n’existe plus et la morale de l’histoire est bien simple : profiter de la vie avant de savoir que vous allez mourir. Une phrase que l’on entend souvent, mais que bien peu de gens mettent en pratique.
D’ailleurs, c’est Roy Dupuis qui incarne le rôle de La mort et il est presque impossible de le découvrir sans lire son nom au générique tellement le maquillage, les effets spéciaux et le costume sont bien faits.
Le film est à la fois philosophique, divertissant, émouvant, drôle et surtout, impressionnant. Francis Leclerc a mis le paquet dans cette mégaproduction et le résultat est incontestable. Ce long métrage s’inscrit assurément parmi les meilleurs films de l’année!
De plus, nous avons l’impression que les personnages de L’Arracheuse de temps représentent tous et toutes une petite partie de Fred Pellerin, comme quoi la pomme ne tombe jamais bien loin de l’arbre.
Encore une fois, le plateau est exceptionnel. L’animateur Guy A. Lepage recevra ce dimanche soir des invités de marque à Tout le monde en parle. Le public aura l’occasion d’écouter entre autres Lara Fabian et Klô Pelgag.
Lara Fabian évoquera son nouvel ouvrage Je passe à table, paru en début de mois. Hier sur son compte Instagram, la superbe chanteuse partageait d’ailleurs une recette de salade d’oranges et de fenouil à l’origan. « Souvenir gustatif de ces moments qui ont bercé mon enfance et qui restent en moi gravés à jamais. »
Patrick Lagacé, le sergent-détective au SPVMFayçal Djelidi et l’inspecteur aux Enquêtes criminelles au SPVMPascal Côté, seront aussi présents pour parler de la série documentaire La traque.
Enfin, la nouvelle mairesse de Longueuil Catherine Fournier, le nouveau maire de Québec Bruno Marchand et Isabelle Reid dont l’enfant a contracté la COVID-19 à l’école répondront aux questions de l’animateur.
Tout le monde en parle, c’est ce dimanche à 20 h à ICI Télé.
#C’est en 2022 que l’on pourra voir le film adapté de l’histoire du drame financier le plus important du Québec, l’affaire Norbourg. Rappelons que cette fraude avait touché pas moins de 9200 épargnants pour un total de 130 millions de dollars en fonds détournés. Le film est scénarisé par Simon Lavoie, réalisé par Maxime Giroux, et c’est le beau François Arnaud qui donnera la réplique à Vincent-Guillaume Otis.
L’histoire raconte celle de « l’inspecteur et vérificateur Éric Asselin (Vincent-Guillaume Otis) est mandaté pour surveiller les activités de la firme Norbourg. Littéralement fasciné par l’audace de Vincent Lacroix (François Arnaud), l’enquêteur quittera son poste et deviendra son bras droit. Norbourg déjouera alors les enquêtes et vérifications en détournant des centaines de millions de dollars. Mais la fête ne peut durer éternellement, quand l’entreprise sera cernée de toute part ».
En plus des deux grands acteurs en tête d’affiche, le thriller Norbourg met également en vedette Christine Beaulieu, Alexandre Goyette et Guy Thauvette.
Ça promet!
La bande-annonce nous rend certainement impatients quant à la première du film.
L’arracheuse de temps, le prochain film écrit par Fred Pellerin, dirigé par Francis Leclerc et produit par Antonello Cozzolino de Attraction Image, prendra l’affiche partout au Québec le 19 novembre prochain. La pré-bande-annonce avait été révélée la semaine dernière et elle nous fait encore rêver. Voilà qu’hier, le 1er septembre, les affiches officielles des personnages du film sont sorties et nous sommes sans mots.
L’histoire est celle « d’un garçon de 11 ans [qui] s’inquiète pour la vie de sa grand-mère. Usée par la maladie, la vieille conteuse tente de rassurer son petit-fils que la Mort n’existe plus. Son récit fera revivre les personnages extraordinaires du village de 1927 qui, par des tours rocambolesques, élimineront la Mort qui les menace. Dorénavant, la fin de la vie coïncide avec la naissance des légendes ».
La distribution qui complète ce futur classique est constituée de Jade Charbonneau, Pier-Luc Funk, Geneviève Schmidt, Céline Bonnier, Émile Proulx-Cloutier, Sonia Cordeau, Marc Messier, Michèle Deslauriers, Guillaume Cyr, Marie-Ève Beauregard.
Pour voir quelques affiches du film L’Arracheuse de temps, glissez ci-dessous.
C’est le 19 novembre prochain que nous aurons le bonheur (et l’honneur) de nous plonger dans l’imaginaire de Fred Pellerin, puisque son plus récent film prendra l’affiche partout au Québec. L’arracheuse de temps est une adaptation du conte du même nom écrit par monsieur Pellerin lui-même. Le long métrage sera réalisé par le grand Francis Leclerc et produit par Antonello Cozzolino de Attraction Images.
Tournée à l’automne dernier, la fabuleuse histoire raconte les épopées de Saint-Élie-de-Caxton, un petit village au beau milieu de l’année 1988 où « un garçon de 11 ans s’inquiète pour la vie de sa grand-mère. Usée par la maladie, la vieille conteuse tente de rassurer son petit-fils que la Mort n’existe plus. Son récit fera revivre les personnages extraordinaires du village de 1927 qui, par des tours rocambolesques, élimineront la Mort qui les menace. Dorénavant, la fin de la vie coïncide avec la naissance des légendes ».
Un synopsis qui nous fait rêver. Une si belle idée que l’on a hâte de voir le résultat porté à l’écran.
La distribution du film est aussi impressionnante que son histoire et compte Jade Charbonneau, Pier-Luc Funk, Geneviève Schmidt, Céline Bonnier, Émile Proulx-Cloutier, Sonia Cordeau, Marc Messier, Michèle Deslauriers, Guillaume Cyr, Marie-Ève Beauregard.
En attendant le 19 novembre (avec impatience) prochain, voici la pré-bande-annonce de L’Arracheuse de temps qui promet de ne laisser personne indifférent!
Ce n’est pas seulement la magie du temps des fêtes qui guette ce jeudi, mais également celle que l’on retrouve dans la mythique ville de Saint-Élie-de-Caxton. Les Films Séville ont en effet dévoilé une première image de la prochaine adaptation d’un conte de Fred Pellerin, soit L’Arracheuse de temps. Prévue en salle le 19 novembre 2021, cette histoire se déroulant en 1988 promet de survivre à la mort elle-même!
Pour donner le ton à cette production réalisée par Francis Leclerc et mettant en vedette Jade Charbonneau, Pier-Luc Funk, Geneviève Schmidt, Céline Bonnier, Émile Proulx-Cloutier, Marc Messier, Sonia Cordeau, Michèle Deslauriers,Guillaume Cyr et Marie-Ève Beauregard, on nous révèle une Céline Bonnier tout à fait magnifique.
La comédienne incarnera dans le film la Stroop, ou de son vrai nom Steward Troop, la sorcière du village, qui n’en est bien entendu pas une! Selon ce qu’a rapporté Fred Pellerin en entrevue pour La Presse, cette dernière serait en fait « une femme très riche qui est débarquée au village un jour. Elle a vite été sorciérisée parce que les gens n’arrivaient pas à la mettre dans aucune case. On ne savait pas d’où elle venait, elle ne pratiquait aucune religion, elle vivait en retrait, au Lac-aux-Sangsues. En fait, c’était une femme libre, une femme libérée ».
La première image du film semble donc bien marquer l’arrivée de la Stroop à Ste-Élie!
L’Arracheuse de temps suivra un garçon de 11 ans qui ne veut pas voir mourir sa grand-mère, affaiblie par la maladie. Celle-ci tentera de le rassurer en lui relatant les histoires des personnages du village de 1927 qui ont échappé à la Mort dans d’incroyables situations.