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Lars Eller aurait quitté l’équipe nationale danoise durant la nuit

Les championnats mondiaux se poursuivront aujourd’hui avec quatre rencontres impliquant autant d’équipe du groupe A que du groupe B.

(Crédit: IIHF)

Aucun de ces duels ne m’apparaît intéressant à première vue…

Le Canada reprendra l’action demain… Face à la France.

Rien pour écrire à sa mère, vous en conviendrez…

Mais une autre nouvelle fait beaucoup jaser ce matin en Slovaquie. Et au Danemark…

Lars Eller aurait quitté l’équipe nationale danoise durant la nuit. C’est le journaliste danois Jimmy Boejgaard qui a sorti la nouvelle il y a quelques heures à peine.

Pourquoi Eller a-t-il quitté son équipe quelques heures après une victoire de 9 à 0 face à la Grande-Bretagne? Selon Boejgaard, un accord secret était déjà en place afin de permettre à Eller de ne disputer que les trois premières rondes du tournoi…

Trois rencontres préliminaires! C’est du jamais vu dans l’histoire de l’équipe nationale danoise selon Boejgaard.

Eller ne participera donc pas ni aux quatre dernières rencontres préliminaires… Ni aux quarts de finale.

Il aura affronté la France (victoire de 5 à 4), l’Allemagne (défaite de 2 à 1) et la Grande-Bretagne (victoire de 9 à 0).

Et il aura quitté avant de se frotter à la Finlande, aux États-Unis, au Canada et à la Slovaquie.

Difficile de ne pas se dire qu’Eller a accepté de venir prêter main forte à sa nation pour les matchs plus faciles (qu’elle pouvait gagner), mais qu’il n’a pas voulu vivre des matchs à sens unique face aux meilleures équipes de son pool

Peut-être voulait-il tout simplement aider sa nation à éviter la relégation?

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On pleure Lars Eller à cause d’Andrew Shaw

En zieutant la finale de la Coupe Stanley, on est tous subjugués (dixit Isabelle Boulay) par le rendement qu’offre Lars Eller, malgré sa bourde lors du premier duel (rater un filet ouvert). Le Danois a récolté un total de 16 points en 21 matchs lors de ce tournoi printanier. Lors du deuxième affront, il a marqué en plus d’obtenir deux mentions d’aide.

Pendant ce temps, le coco fragile d’Andrew Shaw se repose, tout en faisant jaser. C’est dommage pour la petite peste du Canadien, mais on jase de lui, même s’il ne danse pas en ce moment, à cause de Lars Eller. Pourquoi? Parce que les Caps de Washington ont payé, le 24 juin 2016, deux choix de premier tour afin d’acquérir le centre de 29 ans. Avec le choix de 2017, Marc Bergevin et son groupe ont sélectionné Joni Ikonen, alors que l’espoir de 2018 sera sélectionné cette année.

Marc Bergevin s’est ensuite tourné vers Chicago, son ancien « domicile », dans le but de rapatrier Andrew Shaw. Il a aussi payé deux choix de deuxième tour, mais deux choix de 2016, où Stan Bowman a sélectionné Chad Krys et Alex DeBrincat. DeBrincat a marqué un total de 28 buts et récolté 52 points en 82 matchs dès son entrée dans le show.

Ce n’est pas Lars Eller directement qui nous titille, mais plutôt l’acquisition de Shaw, un joueur de 25 ans avec un corps de 40 ans (dans le sens qu’il est magané). Surtout qu’avec les choix obtenus en retour, Alex DeBrincat a tourné le fer dans la plaît chaque fois où l’on voyait un fait saillant l’impliquant. En ce moment, ce sont les faits saillants où l’on retrouve Lars Eller qui nous chatouille.

Donc, au final, ce n’est pas Lars Eller lui-même qui nous enrage, mais toute la mathématique des échanges effectués par Marc Bergevin ce 24 juin 2016.

En rafale

– Puisqu’il est question de Lars Eller, voici un autre article intéressant à son sujet.

– Les Caps sont plus négligés qu’eux, pourtant… Tout pour faire une belle histoire.

– Ces joueurs-là décrocheront-ils un contrat?

– Et sans les arrêts spectaculaires de Marc-André Fleury pendant les séries, les Golden Knights en seraient où?

– Sans doute de faux sourires…

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Eller pointe un peu le CH et Marchand amorce un « combat » contre lui

À la suite de son départ de Montréal, Lars Eller a retrouvé le bonheur chez les Capitals de Washington. Avant d’arriver dans la capitale américaine, le Danois n’avait pas de rôle défini chez le Tricolore. Il le promenait d’un bord et de l’autre, comme c’est encore le cas aujourd’hui avec certains joueurs chez le bleu-blanc-rouge. Son rôle, chez les Caps, c’est celui de troisième centre. Sa chaise au niveau de la LNH, c’est ça. Le Canadien, lui, ne semblait pas trop savoir qu’elle était sa réelle valeur… Chez les Caps, on l’a décelé tout de suite. Le Canadien le faisait même jouer à l’aile, ce qu’il n’appréciait pas vraiment. À Washington, il n’y a aucune ambiguïté.

Cette année, il a enregistré un total de 38 points, dont 18 buts, en 81 rencontres. Pendant la danse du printemps, il a actuellement sept points au compteur. Eller est un rouage important pour cette équipe puisque son trio s’impose offensivement, tout en respectant son travail défensif. Cette besogne et cette mission font de lui un homme serein qui se présente dans un état d’esprit positif à l’aréna. Juste la qualité de ses propos indique comment il se sent :

J’ai connu ma meilleure saison régulière. C’était clairement celle où je me sentais le mieux. Il y a plusieurs facteurs, pas un seul. J’ai du temps de jeu en supériorité numérique sur la deuxième vague, je me suis retrouvé souvent sur la glace à six contre cinq quand nous retirions notre gardien et j’ai joué à trois contre trois en prolongation. La stabilité m’aide également. Je connais mon rôle comme troisième centre. Il y a aussi une culture gagnante au sein de ce vestiaire. J’ai la chance d’apprendre en regardant de bons centres comme Backstrom et Kuznetsov. Je me suis amélioré depuis mon arrivée à Washington l’an dernier.

Soyons francs, comment aurait-il pu apprendre à Montréal tout ce qu’il a appris du côté de Washington? Cette équipe a l’attitude et elle a le luxe de compter sur Nicklas Backstrom et Evgeny Kuznetsov, ce qui est loin d’être le cas chez le CH. Puis, à Washington, il se retrouve au sein d’un bon environnement. Ce qui n’était peut-être pas le cas du côté de Montréal.

Eller a aussi dit qu’il a coupé complètement le cordon et qu’il jase seulement avec les joueurs qu’il avait envie de garder le contact. Lui, il est bien loin de Montréal!

Puisqu’il est question du Canadien… Brad Marchand ne s’est pas gêné pour répliquer à celui-ci (via Twitter). Voilà de l’attitude de la part du Canadien.

Qui aurait dû se retenir sur celle-là? Le Canadien ou Marchand?

En rafale

– Brett Lernout a beau avoir joué dans le show en 2017-18, mais tout sera à recommencer en septembre prochain.

– 110% d’accord.

– On le sait, on patiente!

– Mais il devrait être à son poste ce soir, lors de ce sixième duel.

– Il ira fort probablement rejoindre Mikhail Grigorenko, un autre flop de premier tour…