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Cinéma

Le Livre de la Jungle retrouve le grand écran

Les célèbres aventures de Mowgli, parues pour la première fois en 1894 sous la plume de Rudyard Kipling, inspirent plus d’une maison de production.

Le Livre de la Jungle a déjà fait l’objet de nombreuses adaptations, la plus connue restant celle des studios Disney, sortie en 1967. Il semblerait toutefois que le recueil de nouvelles n’ait pas encore épuisé l’imagination des studios américains.

Après Alice in Wonderland (2010), l’adaptation de La Belle au Bois de Dormant, Maleficient (sortie en 2014) et Cinderella de Keneth Branagh, , attendu pour 2015, Disney poursuit son chemin dans la reconquête des classiques.

Justin Marks, scénariste de Street Fighter: The Legend Of Chun-Li (2007), a été engagé par Disney pour écrire le scénario d’un Jungle Book fait de chair et d’os. Il avait déjà été sollicité par les créateurs de Mickey pour réécrire le scénario de 20,000 Leagues Under the Sea: Captain Nemo.

En parallèle, Warner Bros. dégaine son propre auteur. Steve Kloves, à qui l’on doit les adaptations de Harry Potter, endosserait la double tâche de scénariste et de réalisateur sur ce projet.

La maison DQ Entertainment Ireland Limited prévoit également d’inaugurer son propre département de longs-métrages avec une adaptation en 3D des aventures du jeune Indien prévue pour 2014.

En avant-goût, une comédie musicale basée sur les contes de Rudyard Kipling a ouvert ses portes au public depuis le 1er juillet à Chicago.

En somme, cette année promet d’être riche en louves couveuses, petits hommes sauvages, tigres sanguinaires, ours contents de peu et autres panthères bienveillantes.

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Mode et accessoires

Le serpent du Livre de la jungle effigie d’une bague

Le célèbre serpent créé par Rudyard Kipling pour Le livre de la jungle, Kaa, se retrouve enroulé autour d’une bague chez Boucheron.

Les animaux semblent fort populaires chez les créateurs. Alors que Chaumet est lié à l’abeille et Cartier à la panthère, voilà que Boucheron fait revivre son histoire avec le serpent.

La griffe est liée au reptile depuis que Frédéric Boucheron a offert à sa femme un collier inspiré du serpent.

Depuis, il a été célébré en 1968 avec une gamme symbolique, et en septembre dernier lors de la XXVIe Biennale des Antiquaires avec la pièce Serpent Opalescent.

Cette fois, la bague rend hommage à Kaa, qui revit en or blanc garni de diamants avec des yeux émeraude.

Un bijou raffiné et élégant, comme le veut la tradition chez Boucheron.