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Denis Villeneuve, Valérie Plante et Denis Coderre à Tout le monde en parle

C’est une soirée qui s’annonce captivante! Le réalisateur Denis Villeneuve et les candidats à la mairie de Montréal Valérie Plante et Denis Coderre répondront aux questions de Guy A. Lepage ce dimanche soir à Tout le monde en parle.
Denis Villeneuve sera sur le plateau de l’émission pour parler de son film Dune, très bien accueilli par le public, présenté dernièrement en première mondiale à la Mostra de Venise. Le film a également été projeté ce mois-ci lors du Festival du nouveau cinéma. Par ailleurs, les fans seront ravis : il y aura bel et bien une suite!
À quelques jours des élections municipales, la cheffe de Projet Montréal Valérie Plante et le chef d’Ensemble Montréal Denis Coderre seront également présents pour évoquer leurs engagements respectifs.
L’émission accueillera aussi Christian Bégin pour son spectacle Les 8 péchés capitaux, la documentariste Léa Clermont-Dion pour le documentaire T’as juste à porter plainte et Marc Messier pour son spectacle Seul…en scène.
Enfin, les prestations musicales seront offertes par Joe Bocan, Marie Carmen et Marie Denise Pelletier, également en entrevue pour la tournée Pour une histoire d’un soir.
Tout le monde en parle, c’est ce dimanche à 20 h sur les ondes d’ICI Télé.
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T’as juste à porter plainte: Voyez la bande-annonce de la série documentaire avec Léa Clermont-Dion

Le documentaire choc, T’as juste à porter plainte, animé par Léa Clermont-Dion, révèle sa bande-annonce en ce mercredi pluvieux et c’est troublant. Nous avons très hâte de voir l’intégralité de cette série documentaire qui n’est sans doute pas peu percutante.

C’est le 6 octobre prochain, sur le Noovo.ca que nous pourrons voir cette série documentaire produite par Production J, qui répondra à des questions bien pertinentes telles que « est-ce qu’il suffit simplement de porter plainte pour obtenir justice? Qu’est-ce qui attend les victimes d’actes sexuels non désirés qui osent prendre ce chemin? ».

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À la barre de cette série documentaire, Léa Clermont-Dion se penchera sur le parcours des victimes d’agressions sexuelles dans un système de justice douteux. Elle s’interrogera également sur les embuches et tous les défis qui se présentent sur la route de celles qui choisissent la justice pour dénoncer un crime sexuel.

Ne manquez pas T’as juste à porter plainte dès le 6 octobre prochain sur Noovo.ca.

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Un documentaire inspiré de Janette Bertrand signé Léa Clermont-Dion

La documentariste Léa Clermont-Dion réalisera le film documentaire Janette Bertrand et filles et Éric Ruel ainsi que Guylaine Maroist produiront le projet qui démarrera sa production à l’automne prochain. Le film documentaire féministe sera diffusé sur Télé-Québec à l’automne 2022.

La jeune Léa Clermont-Dion a toujours été militante pour la cause des femmes et elle l’illustrera une fois de plus dans le film Janette Bertrand et filles qui promet d’être un film coup de poing « inventif ».

« C’est un privilège de pouvoir fouiller notre passé pour interroger notre présent. Mon but est de comprendre l’avancement des femmes vers l’égalité au Québec. Cette histoire, trop peu racontée, s’incarne par des actrices de changement incontournables. Rebelle féministe du gros bon sens, Janette Bertrand est témoin d’un siècle de transformations. Je promets un film inventif qui brasse la cage », lance Léa Clermont-Dion par voie de communiqué.

Janette Bertrand et filles, fera parti de la lignée des documentaires d’archives de La Ruelle films. La boîte est d’ailleurs responsable pour les documentaires Expo 67 : Mission Impossible, Jukebox : un rêve américain fait au Québec et la série, J’ai la mémoire qui tourne.

Dans Janette Bertrand et filles, on pourra entre autres voir Guylaine Tremblay, Martine Delvaux, Claudia Larochelle, Noémi Mercier, Kim
Lizotte
, Régine Berteau, Chris Bergeron, Pauline Marois, Gabrielle Boulianne Tremblay, Sarahmée, Philippe-Audrey Larrue-Staint-Jacques ainsi que notre reine québécoise, Janette Bertrand!

Ça promet!

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Léa Clermont-Dion réagit au verdict de culpabilité de son agresseur, Michel Venne

C’est une saga qui se termine bien pour Léa Clermont-Dion. En 2017, dans la foulée du mouvement #MeToo, la cinéaste et animatrice dénonçait sur les réseaux sociaux Michel Venne, qui était toujours à l’époque journaliste et éditeur. « 2008. J’ai 17 ans. Je suis agressée sexuellement par mon patron », avait-elle écrit en précisant avoir porté plainte à la police. Le lendemain, deux autres femmes témoignaient dans Le Devoir, dénonçant également le même homme pour agression.

Mercredi, presque quatre ans plus tard, Michel Venne a été reconnu coupable d’agression sexuelle et d’exploitation sexuelle au palais de justice de Québec. La veille du jugement, la plaignante dans ce dossier a demandé au juge Stéphane Poulin de lever l’interdit de publication mis en place pour protéger son identité; les médias peuvent donc désormais l’identifier, et il s’agit de Léa Clermont-Dion, qui a aujourd’hui 30 ans et qui a par ailleurs tenu à réagir à cette victoire sur les réseaux sociaux.

« C’est une journée importante pour moi. Je lève mon interdit de publication concernant un procès pour agression sexuelle, processus judiciaire que j’ai entamé en octobre 2017. Le verdict était ce matin. L’accusé a été reconnu coupable », a-t-elle écrit avant de partager le discours qu’elle a émis aux médias.

Dans ce discours, qu’on peut lire dans la publication ci-dessous, elle revient sur les faits et sa dénonciation, mais aussi sur le processus judiciaire qu’elle a vécu : « je suis ici pour ma fille, mon fils et les futures générations. Je suis ici, libérée, fière de la décision que j’ai prise. Malgré le chemin de croix ardu parsemé de hauts et de bas, je suis soulagée d’être enfin parvenue à cette ligne d’arrivée. Peu importe la nature du jugement, les mots que j’aurais employés sont les mêmes. Je suis libérée d’un fardeau immense et ça me fait du bien. Aucune personne ne devrait avoir à subir la volonté de contrôle, de domination ou d’abus. Aucune personne ne devrait se faire humilier, attaquer, blâmer, agresser. Il est temps que la honte change de camp. »

Léa Clermont-Dion a également une pensée pour « toutes les femmes qui subiront dans leur vie des actes de violence », pour « toutes celles […] qu’on fera taire », pour celles qui « sont encore plus oppressées » et pour celles de générations précédentes « qui ont dû encaisser ».

« Aujourd’hui, je me tiens debout au nom de toutes et tous les survivant.e.s d’agressions sexuelles. Je salue votre courage, je reconnais votre dignité et je suis solidaire. Je vous crois », conclut la doctorante en science politique et féministe.

L’autrice et mère de deux enfants travaille par ailleurs sur la série documentaire T’as juste à porter plainte, prévue du côté de Noovo pour la fin de l’été.

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T’as juste à porter plainte: une série documentaire pour Léa Clermont-Dion

Chaque fois qu’il y a un mouvement de dénonciations sur les réseaux sociaux, d’autres voix s’élèvent pour dire que ce n’est pas la place. « T’as juste à porter plainte », entend-on bien souvent. Mais porter plainte, ça implique généralement de devoir revivre une agression maintes fois en la racontant à répétition, et les crimes de nature sexuelle ayant rarement lieu devant témoin, le verdict de non-culpabilité tombe souvent à l’issue des procédures judiciaires, un portait qui fait que bien des victimes n’osent pas porter plainte.

T’as juste à porter plainte est donc le titre très évocateur d’une nouvelle série documentaire de Léa Clermont-Dion qui sera présentée sur Noovo.ca à la fin de l’été et dans laquelle l’autrice et doctorante en science politique et féministe cherchera à répondre à des questions telles que : qu’est-ce qui attend les victimes qui ont le courage d’entreprendre des démarches judiciaires? Suffit-il de porter plainte pour avoir justice?

La nouveauté qui « se veut à la fois intimiste, critique et optimiste » sera une véritable quête pour Léa Clermont-Dion, qui se questionnera sur les espoirs et les difficultés rencontrés par les victimes qui choisissent cette voie. « Avec ce documentaire, je veux donner la parole aux victimes afin qu’elles témoignent de leur parcours dans le système judiciaire. C’est ma façon de faire avancer les consciences en contribuant à l’amélioration du système de justice et à la façon dont il traite les plaignantes », indique l’animatrice par voie de communiqué.

« Je suis immensément heureuse d’annoncer ce nouveau projet qui me tient à coeur. Choyée de réaliser T’as juste à porter plainte, un documentaire qui porte sur le processus judiciaire vécu par les victimes d’agressions sexuelles », ajoute-t-elle sur Instagram.

Ce sont donc une dizaine de personnes — toutes des femmes, le sexe surreprésenté en matière de crimes de nature sexuelle — qui témoigneront de leur expérience, parfois positive et réparatrice, parfois tout le contraire, mais toujours transformatrice. Les interventions de ces femmes issues d’horizons divers seront ponctuées de celles d’experts, qui offriront différentes perspectives.

« Par ce travail remarquable, Léa fera œuvre utile au moment où tout le monde en arrive à reconnaître combien notre système de justice est mésadapté, à la fois pour les victimes et pour traiter ce genre d’agressions, exprime par voie de communiqué Julie Snyder, qui produit l’émission et qui a elle-même dénoncé Gilbert Rozon sans pouvoir porter plainte à cause des délais de prescription en France, où l’agression aurait eu lieu. Choisir de porter plainte, c’est emprunter un chemin tortueux. Et j’en sais quelque chose. Plus qu’un documentaire, c’est un geste social auquel je suis fière de m’associer, afin de faire évoluer le système de justice et d’assurer une meilleure place pour les victimes ».

T’as juste à porter plainte est coréalisée par Léa Clermont-Dion et son conjoint, Gianluca Della Montagna.

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Les personnalités réagissent à l’entrevue de Maripier Morin à TLMEP

Le retour de Maripier Morin est extrêmement controversé, tant chez le public que chez les artistes, et l’entrevue qu’elle a donnée dimanche soir à Tout le monde en parle l’était tout autant. Avant même sa diffusion en direct, de nombreuses voix s’étaient élevées sur les réseaux sociaux, remettant en question la pertinence de recevoir sur le plateau une personne accusée par plusieurs de propos racistes, de harcèlement sexuel et de voie de fait simple, des comportements que la principale intéressée ne nie pas et qui ont duré de nombreuses années.

Guy A. Lepage a d’ailleurs dû justifier la présence de l’animatrice déchue dès l’ouverture de l’émission, rappelant qu’elle avait accordé une première entrevue en neuf mois à Marissa Groguhé de La Presse, alors que Maripier Morin était visée par de nouvelles allégations, notamment d’avoir pris les seins d’une comédienne en public sans consentement, d’avoir émis des commentaires racistes à répétition ou encore d’avoir camouflé le cellulaire d’une vague connaissance dans ses culottes, collé sur son pubis. Ces allégations s’ajoutent à celles émises l’été dernier par Safia Nolin ainsi que celles publiées par Le Devoir.

En entrevue, Maripier Morin — qui s’est fait habilement questionner par Anaïs Favron, de retour dans le siège de Fou du roi — s’est rapidement donné une image de victime de ce qu’elle appelle « la maladie de l’alcoolisme », refusant de préciser les substances qu’elle consommait. « Je m’en vais nulle part », a-t-elle affirmé avant d’ajouter qu’elle estime avoir le droit de pratiquer son métier. Elle a prétendu ne pas être raciste, indiquant avoir plutôt manqué de respect lorsqu’elle était en consommation. Maripier Morin a également dit ne pas savoir combien de temps elle devrait rester dans l’ombre, mais que travailler faisait partie de son processus de réhabilitation, sans préciser si elle était consciente que son retour pouvait nuire à ce même processus chez ses victimes alléguées.

Sur les réseaux sociaux, les avis sont plutôt mitigés. Des centaines et des centaines d’internautes ont écrit des commentaires défavorables au retour de Maripier Morin, nombreux soulevant que la question d’abus de pouvoir n’a pas été abordée, ou encore que l’excuse de la consommation a le dos très large. D’autres, fidèles admirateurs de celle qui tiendra le rôle-titre du film Arlette!, la défendent corps et âme. D’ailleurs, samedi, sur les ondes du 98,5 FM, Paul Houde animait une discussion sur les nouvelles allégations formulées contre l’animatrice, et lui et ses collaborateurs ont mentionné à plusieurs reprises recevoir des messages d’insultes de la part de gens qui niaient les faits. Comme l’a dit Richard Therrien en ondes, « il n’y a pas plus aveugle que celui qui refuse de voir ». Cependant, ces messages de support brillent par leur absence au sein de la communauté artistique; sur les réseaux sociaux des personnalités publiques, on observe en effet plutôt de grands questionnements éthiques.

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J’aurais aimé entendre un genre « J’ai une relation tordue avec le pouvoir, j’en ai abusé, j’essaie de comprendre…

Posted by Louis T on Sunday, May 2, 2021

Marc-André Grondin

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Nan Desrochers

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Sarahmée

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Pénélope McQuade

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Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques

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Rosalie Bonenfant

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Marie-Lyne Joncas refait polémique pour ses commentaires sur la nudité

Il y a deux ans et des poussières, Marie-Lyne Joncas partageait sur Instagram une photo d’elle accompagnée d’un message qui a été dénoncé par plusieurs pour son slut-shaming

« Ga moé, belle comme le jour, avait écrit l’humoriste dans une publication toujours en ligne malgré la controverse. Pis j’ai pas le cul à l’air. C’est fou pareil de se dire qu’en 2018, c’est normal, de se mettre quasi nue sur Instagram. (Même pour les petites pouliches de 15-16 ans) […] Bravo pour vos photos de fesses les filles… mais là je vais vous le dire, c’est rendu comme le piercing de nombril en 2004… c’est la personne qui en a pas qui est rendue cool. »

Eh bien, l’animatrice du Prochain Stand-up est revenue sur ses propos qui avaient été qualifiés par bien des gens de misogynie internalisée. En effet, elle était l’invitée de Jerr Alain au What’s Up Podcast diffusé sur YouTube mercredi et un extrait de l’épisode de près de deux heures circule depuis sur les réseaux sociaux. C’est Alice Paquet, militante féministe qui avait dénoncé Gerry Sklavounos en 2016, qui a tiré l’extrait et l’a partagé sur son compte Instagram, où il a été vu plus de 60 000 fois en moins de 24 heures.

Loin d’avoir changé d’avis, Marie-Lyne Joncas réitère sa vision de la nudité sur le web, nudité de plus en plus revendiquée par les mouvements féministes puisqu’il s’agit selon plusieurs d’une réappropriation par les femmes de leur corps et de leur sexualité (suffit de voir le succès retentissant de WAP!), sans oublier que c’est souvent une façon de militer contre les standards imposés par le patriarcat et les règles pleines de doubles standards des réseaux sociaux.

« À un moment donné, c’est beau là montrer ton cul sur Instagram, c’est comme on a fait le tour, exprime Marie-Lyne Joncas. Quand j’ai posté ça, j’étais sur mon Instagram et c’était juste des photos de filles à moitié à poil sur leur lit, à moitié à poil sur leur divan, une photo dans leur miroir en bobettes… Tu fais comme : « Ok… » Moi, ce que je dis là, c’est pas que c’est pas correct de faire ça, c’est que t’es pas juste ça. Fait que moi, les comptes Instagram de filles que c’est rien que ça, je fais : « Mais toi, tu travailles, t’as des amis, peut-être que tu cuisines bien, peut-être que ci… » »

La suite de ses propos lui a valu des commentaires indiquant qu’il s’agissait de victim blaming : « Peux-tu nous montrer tout ce que t’es au lieu de juste nous montrer le fait que t’es une très belle fille pis que, visiblement, probablement que les gars t’écrivent pour te dire : « Je te fourrerais ». Pis tu fais : « Voyons donc, ça m’insulte! » Elles courent pas après les messages comme ça, mais que c’est normal que si tu présentes ça, ça peut attirer quelques macaques. »

« C’est plate, parce que ça paraît femme-objet, pis c’est des modèles pour les jeunes, c’est beaucoup des influenceuses. Les jeunes, c’est ça qu’ils voient, ils ont 14 ans et ils commencent à faire des photos en brassière sur leur lit avec leurs chums de filles. […] C’est un message que tu transmets aux jeunes. C’est juste ça que je voulais dire, pis là le monde sont comme : « C’est notre corps, on peut faire ce qu’on veut! » », ajoute-t-elle en prenant un ton différent comme pour parodier les critiques qui lui ont été adressées.

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« Elle s’est pognée toute seule », a également lancé Marie-Lyne Joncas en parlant de Léa Clermont-Dion, qui lui avait répondu en 2018 que « c’est juste dommage de blâmer (encore) les filles d’assumer ce qu’elles sont et de tenter de policer leur corps en les dénigrant. » L’animatrice féministe a d’ailleurs commenté « navrant » sous la publication d’Alice Paquet.

Elle n’est pas la seule personnalité publique à avoir réagi. « Je ne compte plus le nombre de fois qu’elle a tenu des propos problématiques, a en effet écrit Jessie Nadeau. Elle a une grosse job de déconstruction devant elle, mais elle ne semble aucunement ouverte à une introspection, ni à considérer les critiques à son égard sur la misogynie intériorisée et le racisme ordinaire. En deux ans, qu’a-t-elle appris? Elle a encore le même discours saupoudré de slut-shaming. Pis là, elle en rajoute avec son victim blaming. Cool. Je l’ai unfollow depuis longtemps. Un unfollow de plus ça ne change pas grand-chose quand la personne a encore sa grosse tribune, et ses opportunités grandissantes qui lui permettent de continuer à s’exprimer comme ça. Faire partie du boys club est trop l’fun et confortable I guess. Je suis dégoûtée. »

« Ayoye que c’est problématique », a quant à elle commenté Alexe Gaudreault.

Marie-Lyne Joncas n’en est pas à sa première controverse du genre. Durant les Fêtes, un montage vidéo a circulé sur les réseaux sociaux, montrant plusieurs microagressions à teneur raciste que l’humoriste a faites dans le cadre de son travail.

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Léa Clermont-Dion revient sur son diagnostic de COVID-19

La semaine dernière, Léa Clermont-Dion annonçait simultanément une superbe nouvelle et une autre plus inquiétante. Son deuxième enfant, une mignonne petite fille est née, mais elle et « sa superbe » comme elle surnomme son poupon âgé d’à peine une heure, doivent être déplacés en zone d’isolement puisque l’autrice et animatrice est porteuse de la COVID-19.

48 heures d’angoisse plus tard, Léa Clermont-Dion et sa fille peuvent quitter l’hôpital faute de symptôme apparent, mais elles devront tout de même être en quarantaine une fois à la maison.

« Malgré mon hypervigileance, je suis devenue une statistique. Je pense à ce qui s’en vient, aux intervenants de la santé, aux malades qui subiront le pire. Et je nous envoie une bonne dose d’empathie, de solidarité et de prudence. Cette maladie est une géante », avait à ce moment écrit Léa Clermont-Dion.

C’est donc avec ce sentiment de chance et d’immense empathie que la maman de deux enfants est revenue sur cet événement pour le moins éprouvant, en remerciant d’abord chaudement tous les internautes qui lui ont envoyé des messages de soutien.

« Sachez que notre histoire se termine bien. Nous arrivons au terme de cette quarantaine pour le moins angoissante. Nous n’avons pas développé de symptôme malgré mon test positif à la COVID-19. Toute la famille est en santé. Difficile d’expliquer le pourquoi du comment. On en sait si peu sur la maladie. Nous sommes soulagés. De se retrouver. De se coller », peut-on lire dans sa plus récente publication Instagram.

Avec raison, jamais Léa Clermont-Dion n’oubliera cette expérience qu’elle « ne souhaite à personne ». Malgré tout, c’est avec optimisme qu’elle poursuit son chemin en se concentrant sur l’amour qu’elle porte à sa fille. « Ma petite superbe est merveilleuse et me remplit d’amour. »

« Cette dernière semaine m’aura donné une leçon de résilience », a-t-elle ensuite ajouté.

Tout comme pour sa dernière publication, Léa Clermont-Dion a terminé sa pensée en dédiant son admiration aux travailleurs du milieu de la santé.

« Les hôpitaux ont un air de champ de bataille déjà. J’ai une grande admiration pour celles et ceux qui prennent soin de nous. L’air est triste et lugubre: faisons un effort collectif pour renverser la cadence. Protégeons-nous. Pensons aux autres. »

On ne pourrait être plus en accord avec elle.

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Léa Clermont-Dion accouche et découvre être porteuse de la COVID-19

Ça y est, Léa Clermont-Dion a mis au monde son deuxième enfant, une petite fille cette fois. Mais l’heureux événement a vite pris une tournure aussi angoissante qu’inattendue, puisqu’elle s’est fait annoncer qu’elle était porteuse de la COVID-19 quelques minutes à peine après avoir accouché.

C’est sur Instagram que l’autrice et animatrice en a fait l’annonce, montrant du même coup une première photo de son nouveau-né. Moins d’une heure après l’arrivée de sa fille, qui fut par ailleurs « magique », Léa Clermont-Dion a dû se reloger dans la zone rouge de l’hôpital. « En isolement dans cette zone lugubre tant appréhendée. Un corridor obscur. Je me retrouve seule avec bébé. J’étouffe. La peur, celle d’avoir contaminé mes proches, celle de mettre en danger ma superbe. Cette peur intarissable au ventre. Je ne la connaissais pas », écrit-elle.

Son récit devient alors de plus en plus bouleversant : « Dans cette chambre lugubre, sans cesse, un bruit assourdissant pendant 48 heures. Cette machine à conversion à air, au son insupportable, un vacarme en continu. Je ne savais pas qu’un bruit pouvait faire mal. Une impression de baigner dans un poison. Les infirmières qui entrent et qui sortent. Celle aussi qui me parle de mon amoureux loin de moi. Elle a le trémolo dans la voix. Elle retient ses larmes. »

Heureusement, elle est depuis rentrée chez elle et ne semble pas avoir développé de symptômes incommodants. « Mais voilà. 48 heures ont passé. Au final, je me considère choyée dans ma malchance. Toujours pas de symptôme de cette vipère. Je retourne chez moi retrouver les miens, en isolement dans une partie de la maison », assure-t-elle.

Elle conclut en insistant sur le travail que nous aurons à faire collectivement pour s’en sortir : « Malgré mon hypervigileance, je suis devenue une statistique. Je pense à ce qui s’en vient, aux intervenants de la santé, aux malades qui subiront le pire. Et je nous envoie une bonne dose d’empathie, de solidarité et de prudence. Cette maladie est une géante. »

Toutes nos félicitations à Léa Clermont-Dion! Rappelons-nous de nous laver les mains, de porter notre masque et, surtout, d’éviter les rassemblements.

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Ma fille est arrivée un soir de septembre en coup de vent. Dans un instant ultime de liberté. Comme un souffle qui fait tanguer. Ce fut magique, malgré la crispation ultime de la douleur. Elle est née et c’est une superbe. Cela n’aura pas pris une heure pour que notre lune de miel s’arrête brusquement. On entre dans ma chambre pour me dire que je suis porteuse de la Covid-19. Je quitte immédiatement les lieux. En un instant, ma joie béate se transforme. En anxiété stridente mode survie. En isolement dans cette zone lugubre tant appréhendée. Un corridor obscur. Je me retrouve seule avec bébé. J’étouffe. La peur, celle d’avoir contaminé mes proches, celle de mettre en danger ma superbe. Cette peur intarissable au ventre. Je ne la connaissais pas. Dans cette chambre lugubre, sans cesse, un bruit assourdissant pendant 48 heures. Cette machine à conversion à air, au son insupportable, un vacarme en continu. Je ne savais pas qu’un bruit pouvait faire mal. Une impression de baigner dans un poison. Les infirmières qui entrent et qui sortent. Celle aussi qui me parle de mon amoureux loin de moi. Elle a le trémolo dans la voix. Elle retient ses larmes. Mais voilà. 48 heures ont passé. Au final, je me considère choyée dans ma malchance. Toujours pas de symptôme de cette vipère. Je retourne chez moi retrouver les miens, en isolement dans une partie de la maison . Je peux difficilement contenir mon anxiété devant la souffrance de celles et ceux qui ont enduré la mort, seuls. De celles et ceux, qui ont bravé la maladie, seuls. Mais nous sommes seuls ensemble. Malgré mon hypervigileance, je suis devenue une statistique. Je pense à ce qui s’en vient, aux intervenants de la santé, aux malades qui subiront le pire. Et je nous envoie une bonne dose d’empathie, de solidarité et de prudence. Cette maladie est une géante. Ma fille, tu es la force tranquille au coeur de la tempête. Déjà, je t’aime à l’infini. Merci à mon amoureux, @sarahluneb et @jacyntheladoula pour votre appui inestimable dans cette épreuve que je n’oublierai pas.

Une publication partagée par Léa Clermont-Dion (@leaclermontdion) le 28 Sept. 2020 à 3 :57 PDT

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Léa Clermont-Dion : «Les derniers mois ont été imprévisibles»

Débordée
tant sur le plan professionnel qu’émotif récemment, l’auteure,
animatrice et activiste Léa Clermont-Dion a choisi de s’écouter
et de s’accorder du temps pour mettre ses priorités aux bonnes
places.

«Follow
up #Ellesparlent
(…)
Les
derniers mois ont été imprévisibles. Une grossesse surprise, un
déménagement, une pandémie…Je ne me serais pas attendue à
cela en 2020. Il a fallu que je fasse des choix pour y arriver. J’ai
gardé gnocchi tout en travaillant et continuant mes projets
d’écriture. C’était particulièrement essoufflant. Je suis
fière d’avoir réussi à surmonter cette période, même si
j’en ai arraché. C’est pourquoi j’ai dû, non pas sans une
certaine tristesse, mettre en pause Elles parlent, projet
entièrement indépendant. Je vous écris donc ce petit mot
aujourd’hui. Plusieurs me demandent des nouvelles du podcast. Eh
bien, oui, je m’y remettrai et je tenterai de continuer les
enregistrements d’ici mon accouchement. J’y vais à mon rythme
et selon ce que me permet mon énergie de jeune maman sur le bord
d’accoucher. Ça me déchire le coeur un peu, car l’auditoire
était important. J’espère ne pas vous perdre et que vous serez
là au rendez-vous.Bref,
j’ai hâte de m’y replonger. Mais une chose à la fois.
Lentement, mais sûrement(…) »,
écrit Léa Clermont-Dion sur Instagram.

Une
belle nouvelle pour les fans d’Elles parlent, un nouveau produit
qui a certainement sa place dans le marché actuel.

D’ici au
retour, il est possible de découvrir Elles parlent via Apple Podcasts ou juste ici.

Crédit
photo : Instagram, Léa Clermont-Dion