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Une première maison pour Léa Clermont-Dion

Celle qui parlait ouvertement de son déménagement semble avoir complété sa transition avec la prise de possession de sa première maison.

C’est du moins ce qu’il est permis de constater sur le compte Instagram officiel de la jeune femme, qui pose fièrement devant une résidence et en arborant un t-shirt « Nasty Woman » qui n’a pas manqué de faire réagir quelques abonnés.

« Donc, notre première maison. », écrit Clermont-Dion en légende de cette photo particulièrement réussie.

Léa Clermont-Dion avait lancé au cours des derniers jours un concours « non rémunéré » sur Instagram afin de donner son abonnement à un gym du quartier Rosemont qui lui tient particulièrement à coeur, soit le Studio Locomotion, révélant au passage devoir malheureusement quitter l’endroit à cause de son déménagement imminent.

Une étape qui semble maintenant franchie pour l’animatrice et activiste appréciée du public québécois.

Crédit photo : Instagram, Léa Clermont-Dion

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Léa Clermont-Dion en Italie

Plusieurs stars du Québec s’offrent quelques moments privilégiés loin des tracas de la vie quotidienne lorsque l’été se pointe le nez.

Si certains préfèrent visiter des coins du Québec ou du Canada, d’autres optent pour des options internationales.

C’est le cas de Léa Clermont-Dion, qui s’offre visiblement un voyage dans quelques pays outre-Atlantique, et qui en partage quelques bribes par l’entremise de son compte Instagram.

En Grèce ou en Italie, la pétillante féministe semble savourer chaque instant de ce voyage.

« Un selfie. Aux gorges de la poésie. #lecce », écrit-elle d’ailleurs en légende d’une photo croquée sur le vif en Italie, et publiée il y a quelques heures à peine.

Léa Clermont-Dion continue par ailleurs son effort féministe avec brio. Elle proposait il y a quelques jours une publication puissante sur l’acceptation du corps et sur l’impertinence de reprocher aux féministes de le montrer.

S’il vient de s’entamer, il s’agit déjà d’un été puissant pour Léa Clermont-Dion.

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Léa Clermont-Dion réalisera un documentaire sur la misogynie en ligne

Un autre projet attend Léa Clermont-Dion et cette fois, c’est sous la forme d’un documentaire qu’elle nous transmettra un message qui lui tient bien à coeur.

Dans le documentaire Misogynie 2.0, qu’elle écrira et réalisera, elle s’attardera à la cyberintimidation vécue par les femmes à l’ère des réseaux sociaux. Un sujet qu’elle connaît très bien, puisqu’elle en a fait l’expérience après la sortie du livre Les superbes, qui relatait l’expérience des femmes qui font face à un intense backlash lorsqu’elles atteignent un certain succès.

Au cours de sa documentation, elle rencontrera des gens particulièrement haineux et acharnés sur Internet, et qui sont connus pour leur misogynie en ligne. Le documentaire sera éventuellement diffusé à Radio-Canada.

Pour une troisième année, Léa Clermont-Dion est à la barre de l’émission Mitsou et Léa sur Moi & Cie. Elle était aussi récemment de passage à Tout le monde en parle afin de présenter l’initiative #EtMaintenant, une suite positive au mouvement #MoiAussi. La jeune femme était également revenue sur ses rencontres troublantes avec Lise Payette, qui l’aurait à l’époque convaincue de ne pas porter plainte contre son agresseur présumé, le géant du journalisme québécois Michel Venne.

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Source : Le Journal de Montréal

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Un documentaire pour Léa Clermont-Dion

Un nouveau projet se concrétise pour Léa Clermont-Dion, qui confirme assurer la réalisation d’un nouveau documentaire abordant la cyberintimidation vécue par de nombreuses femmes au quotidien.

Cette nouvelle œuvre pour laquelle la SODEC vient elle aussi de confirmer son implication financière s’intitule Misogynie 2.0, rapporte le Journal de Québec.

Ce serait en marge du lancement de son livre Les superbes que Léa Clermont-Dion aurait eu l’idée de ce nouveau projet, subissant sans grande surprise sa part d’intimidation et de misogynie à cette période de sa vie.

La jeune femme travaille de concert avec Guylaine Maroist à la réalisation de ce nouveau projet.

Misogynie 2.0 serait notamment diffusé sur les ondes d’ICI Radio-Canada Télé, selon cette même source.

Crédit photo : Radio-Canada, Tout le monde en parle

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Léa Clermont-Dion revient sur les conseils troublants de Lise Payette

Le vent de dénonciations qui a soufflé sur le Québec l’automne dernier a fait s’écrouler des géants, et le témoignage de Léa Clermont-Dion au sujet de son ancien patron, le journaliste Michel Venne, est de ceux qui ont changé notre paysage médiatique.

Dans le long texte qui accompagnait sa dénonciation, on se souvient de la mise en garde troublante de Lise Payette, qui se serait entretenue avec Léa à l’époque pour lui demander de ne pas porter plainte, sans quoi elle serait poursuivie.

Ce conseil était d’autant plus choquant puisqu’il avait été énoncé par l’une des figures féministes les plus importantes du Québec. En entrevue à Tout le monde en parle, hier, Léa Clermont-Dion a dû combattre les larmes pour parler de cet événement éprouvant.

« Oui, je lui en veux. C’est certain que Lise Payette c’était une idole pour moi, depuis toujours. Je lui en veux mais je me dis …peut-être que quelqu’un de ma famille aurait dit quelque chose de la sorte. Je lui en veux, mais en même temps je lui ai pardonné parce qu’on n’est pas parfaits, personne. Ce qu’elle a dit, pour moi c’était grave, c’était inadmissible, c’était inconcevable. Je ne m’attendais pas du tout à cela d’elle. Parce que c’est quelqu’un que je respectais énormément mais c’était aussi une personne d’autorité pour moi, c’était mon idole. Et je trouve que c’est beaucoup revenu durant #moiaussi, le rapport avec l’autorité et le pouvoir. »

Jointe par Aurélie Lanctôt, celle qui animera Mitsou et Léa cette année encore sur Moi & Cie tenait également à présenter leur nouvelle initiative. Le mouvement #etmaintenant, symbolisé par le coeur jaune, est une déclaration qui vise en premier lieu à réitérer son soutien aux personnes qui ont brisé le silence, puis à ouvrir des pistes de discussion et de solution afin de faire face positivement aux problèmes de société soulevés par #moiaussi. Vous pouvez lire et signer la déclaration ici, et porter vous aussi le coeur jaune afin de montrer votre support à cette belle cause.

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Léa Clermont-Dion, ambassadrice du Québec à Paris

La cause des femmes, Léa Clermont-Dion la défend corps et âme au quotidien.

Aussi, c’est visiblement avec beaucoup de fierté que la jeune québécoise s’est rendue à Paris pour représenter le Québec lors d’une conférence sur la cyberviolence faites aux femmes.

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« C’est fait. Très fière d’avoir représenté le Québec à la conférence sur les cyberviolences faites aux femmes organisée dans le cadre de la Rentrée solonelle du Barreau de Paris », précise-t-elle en légende d’un cliché qui la montre sur Instagram devant l’institution parisienne.

En outre, il semblerait que l’auteure (en partie) du manifeste Les Superbes ait fait quelques étincelles puisqu’elle a par la suite été conviée au Barreau de Bulgarie.

Dernièrement, la lumière s’est portée sur la jeune animatrice après qu’elle ait publiquement allégué avoir été victime d’agression sexuelle par une personnalité bien connu du monde journalistique québécois.

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Deux femmes ajoutent leurs témoignages à celui de Léa Clermont-Dion

La nouvelle est tombée hier comme un coup de massue. Dans un long texte partagé sur sa page Facebook hier, l’auteure Léa Clermont-Dion a dénoncé l’agression sexuelle qu’elle aurait vécue en 2008, alors âgée de 17 ans. D’emblée, la coanimatrice de Mitsou et Léa a nommé son présumé agresseur, le journaliste et fondateur de l’Institut du Nouveau-Monde, Michel Venne.

Ce matin, on apprenait dans le journal Le Devoir que deux autres femmes avaient vécu une expérience similaire avec le journaliste. La première, tout comme Léa, aurait rapporté son histoire auprès de Stéphane Champreux, alors chargé de projet à l’Institut du Nouveau-Monde. Elle aurait vécu une proximité dérangeante avec le journaliste, alors qu’ils étaient dans un pub à l’étranger pour fêter une réussite professionnelle.

« J’ai descendu les escaliers et, quand j’étais sur le point d’entrer dans les toilettes des femmes, il [Michel Venne] s’est accroché à moi par-derrière. J’ai figé. Il y a eu du tripotage, il a touché mes fesses. Je me rappelle ses mots, il m’a dit : Tu viens aux toilettes avec moi. J’étais figée. Quand c’est notre patron, on ne s’y attend pas »

Stéphane Champreux s’est souvenu avoir été en colère suite aux témoignages de Léa et de cette seconde victime, qui aurait requis l’anonymat.

« Je lui ai dit que ce n’était pas la seule. Je lui ai parlé de Léa, parce qu’elle n’était pas au courant, mais malheureusement, je ne pouvais pas aller dénoncer à sa place, je devais respecter sa décision, et je crois qu’elle était aussi effrayée »

Une troisième victime, Mira Naomi Bérubé, aurait elle aussi eu très peur que Michel Venne n’abuse d’elle en 2012.

« Il a clairement profité du fait que j’étais complètement saoule pour me ramener chez moi en taxi. Il essayait de m’embrasser. Il me disait qu’il me trouvait belle, qu’il m’avait regardée tout l’été. Je ne sais pas comment c’est arrivé, mais j’ai eu la présence d’esprit de demander au chauffeur de me débarquer à quelques rues de chez moi pour qu’il ne sache pas où j’habite. J’ai bien fait, parce qu’il était insistant et essayait de m’embrasser. Il a profité d’un moment où j’étais trop saoule pour lui donner mon consentement. C’était surprenant et inattendu, c’était mon patron »

Hier soir, Michel Venne réagissait aux allégations ainsi qu’à la plainte criminelle qui pèsent contre lui, sur sa page Facebook. Le journaliste a nié les accusations de Léa Clermont-Dion.

Quant à Lise Payette, qui aurait apparemment tenté de dissuader Léa Clermont-Dion de témoigner contre son ami, la femme politique a d’abord admis au Journal de Montréal avoir rencontré l’animatrice en 2015 et l’avoir effectivement dissuadé, « pour son propre bien », cela dit.

Lise Payette s’est toutefois contredite dans un communiqué de presse envoyé plus tard, niant avoir été au courant des allégations que presse Léa Clermont-Dion contre Michel Venne.

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Lise Payette avait déconseillé à Léa Clermont-Dion de porter plainte

Le comble pour une ex-ministre de la Condition féminine ? De ne pas soutenir 
à 100% une femme qui vous confie avoir été sexuellement abusée.

Cette situation, Léa Clermont-Dion doit aujourd’hui y faire face.

Hier (26 octobre), Léa Clermont-Dion a pris ouvertement la parole pour dénoncer un abus sexuel dont elle aurait été victime par l’ex-journaliste Michel Venne il y a quelques années.

La jeune femme s’était alors confiée à Lise Payette qui lui avait conseillé de ne pas entreprendre de démarches longues, fastidieuses et aux répercussions douloureuses.

Contactée par le Journal de Québec, Lise Payette confie : « mon conseil a été de lui faire réfléchir à ce que ça entraînait. On n’était pas du tout dans le mouvement dans lequel on est maintenant. Et j’avais peur pour elle… ».

« Je trouvais qu’elle était trop jeune et, à mon avis, incapable d’affronter ce qui pouvait arriver. Je ne savais pas ce qui pouvait arriver. On ne l’avait jamais vécu avant maintenant », ajoute l’ex-ministre.

Lise Payette clame avoir voulu « protéger » Léa Clermont-Dion et non pas protéger les intérêts de son agresseur présumé, Michel Venne.

C’est dans une longue tribune publiée sur sa page Facebook que Léa Clermont-Dion a elle aussi assumé au grand jour l’agression dont elle a été victime.

Ce témoignage s’ajoute à la liste, qui s’alourdit, des victimes présumées d’abus sexuels ces dernières années mettant en cause plusieurs célébrités québécoises comme Éric Salvail ou encore Gilbert Rozon.

Michel Venne a nié les allégations. 

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Léa Clermont-Dion dénonce et nomme son agresseur présumé

Dans une longue déclaration publiée sur sa page Facebook, Léa Clermont-Dion décrit en détail le processus qui aurait muselé la dénonciation qu’elle a faite en 2014, lors du mouvement Agressions non dénoncées. Dans cette lettre, l’auteure et animatrice nomme d’emblée son agresseur présumé, Michel Venne, journaliste et éditeur québécois de renom, également connu pour être l’une des personnalités du journal Le Devoir.

Léa Clermont-Dion affirme avoir porté plainte hier à la police contre le directeur fondateur de l’Institut du Nouveau-Monde.

« 2008. J’ai 17 ans. Je suis agressée sexuellement par mon patron, un baby-boomer de gauche que tout le monde admire, moi la première. Je viens de terminer mon secondaire cinq. Je suis une jeune fille allumée, fonceuse et idéaliste. Je n’ai peur de rien. J’ai pour idole un être charismatique, intelligent et engagé. C’est mon boss, il s’appelle Michel Venne. C’est un intellectuel, journaliste et fondateur de l’Institut du Nouveau Monde, une organisation politique de participation citoyenne. Je travaille pour l’organisation le temps d’un été. Je me sens vraiment cool et très choyée. Advient un événement spécial où des centaines de jeunes se rassemblent pour «refaire le monde». La surprise, j’ai droit à une «promotion». Je dois accompagner le grand boss pendant quelques jours. Je déchante un peu quand je constate que mon idole est étrange et déplacé. Je déchante tout court quand je me fais agresser. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, je suis sous le choc. Je quitte mon emploi, bouleversée et cynique. Mon idole est mon ennemi. Je le déteste et le méprise.»

En révélant l’année où s’est produite son agression, l’auteure laisse malgré elle deviner la personnalité dont elle parle et les rumeurs se font nombreuses. En 2015, Léa accepte le rendez-vous que lui propose Lise Payette, la première femme ministre de la condition féminine au Québec, son idole.

« Elle me reçoit, gentille et avenante. Deux heures qu’elle prend à m’amadouer, me flatter, me séduire. Elle réussit. Après deux heures de discussion, Payette change de sujet radicalement. Le ton monte. Elle me dit que j’ai fait du tort à un ami. Cet ami, c’est Michel Venne qui brigue la direction du journal Le Devoir. Par ma faute, il n’aura pas le poste me dit-elle. J’ai « brisé cet homme, sa famille ». Elle me demande de me rétracter, car « après tout, je n’ai pas été violée ». Elle me demande de signer une lettre réfutant les faits. Car, à ses dires, je pourrais être poursuivie. Poursuivie de quoi? Avec du recul, de rien du tout. Mais, à ce moment-là, je suis en mode panique je ne vois plus clair. J’ai le vertige. J’obéis. Je signe. Je commets l’erreur. Je réagis comme une proie devant un prédateur, encore. Je fige. Je me soumets. Je m’étais promis de ne plus tomber. »

En 2016, Lise Payette perd son emploi pour avoir défendu un autre ami, le défunt réalisateur Claude Jutras, dont le nom a été sali suite à des témoignages qui ont révélé ses tendances pédophiles. Léa Clermont-Dion s’est récemment entretenue avec la femme politique pour rétracter sa signature, sans réel succès. Le papier aurait été perdu par Michel Venne.

Aucun commentaire n’a encore été émis de la part de Michel Venne. Plusieurs personnes ont toutefois partagé le témoignage de l’animatrice sous ses dernières publications sur Facebook. À suivre.

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Léa Clermont-Dion accuse Michel Venne d’agression sexuelle

Un vent de libération souffle sur les différentes personnes victimes d’agressions sexuelles ces derniers jours.

Et pour cause, un mouvement qui vise à ouvrir son coeur et à dénoncer les abus dont elles ont été victime, prend de l’ampleur.

L’occasion est donc idéale pour Léa Clermont-Dion, qui anime aux côtés de Mistou l’émission Mitsou & Léa, d’enfin oser avouer la vérité.

Dans une longue tribune publiée sur sa page Facebook, Léa Clermont-Dion affirme avoir été agressée sexuellement par Michel Venne, un journaliste que Le Devoir ne connait que trop bien.

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« Hier, j’ai fait une plainte formelle à la police contre Michel Venne pour agressions sexuelles. Vous comprendrez que je ne raconterai aucun détail relatif à ce qui s’est passé pour ne pas nuire au procès », rapporte-t-elle sur les réseaux sociaux.

Ainsi, Léa Clermont-Dion s’ajoute tristement à la longue liste de femmes qui sortent ces dernières semaines du silence mettant en cause de nombreuses personnalités publiques comme Gilbert Rozon ou encore l’animateur Éric Salvail.

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