Quarante-cinq enfants ont participé à une étude de l’Université Stanford, en Californie, portant sur la dyslexie. Parmi eux, 25 étaient dyslexiques.
On peut lire le détail de cette recherche dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.
Grâce à l’imagerie par résonnance magnétique (IRM) et celle de diffusion, il a été possible aux chercheurs de l’étude de prédire les améliorations de lecture chez les enfants dyslexiques.
On pourrait donc agir très tôt pour résoudre la dyslexie, voyant d’avance comme ce trouble se développera.
La dyslexie touche de 5 à 17 % des enfants. Certains réussissent à se débrouiller en trouvant leurs propres techniques, mais plusieurs d’entre eux rencontrent des problèmes d’apprentissage collatéraux.