Catégories
Potins

Charlize Theron a touché le fond

Quand on regarde la belle actrice sud-africaine Charlize Theron, on ne croit pas que celle-ci traîne un lourd secret et des années difficiles avec elle, mais c’est pourtant le cas.

ELLE Canada rapporte les propos de la vedette d’A Million Ways To Die in the West, qui admet avoir touché le fond du baril au début de la trentaine.

Ces problèmes émotifs découleraient directement du drame que Charlize Theron a vécu lorsqu’elle était âgée de 15 ans, alors que sa mère a dû abattre son père de sang-froid en légitime défense.

Theron avoue ne jamais avoir cru que ces souvenirs et ce drame nécessiteraient de la psychothérapie, jusqu’à ce qu’elle sombre au tournant de la trentaine.

« Je ne savais pas que j’avais besoin de thérapie. Tu fonces et tu travailles, et il y a quelque chose de cathartique quand tu es acteur, non? Au début trentaine, j’étais au fond du baril. J’ai appelé une amie qui m’a donné le numéro de sa thérapeute, et j’ai commencé à voir cette femme incroyable qui n’est toujours qu’à un seul coup de téléphone. »

Charlize Theron adoptait son fils, Jackson, en mars 2012, et semble maintenant aller beaucoup mieux. Elle fréquente par ailleurs l’acteur Sean Penn, qui semble lui aussi transformé au contact de l’actrice.

Catégories
Uncategorized

Quand le comportement des parents fait des enfants délinquants

Une nouvelle étude de l’Université du New Hampshire, publiée dans le Journal of Adolescence, a déterminé les perceptions des enfants quant à trois styles d’éducation parentale.

L’analyse révèle que les parents autoritaires, contrôleurs et peu réceptifs, qui éduquent les enfants dans l’optique « c’est comme ça ou ce n’est rien du tout », sont plus susceptibles d’élever des enfants irrespectueux. Les jeunes seront portés à se tourner vers la délinquance pour défier un parent trop sûr de lui et peu légitime.

Toutefois, les parents qui sont autoritaires et qui jouent un rôle de médiateurs, ne disant pas toujours oui ni toujours non, qui écoutent plutôt leurs enfants, communiquent et gagnent leur respect et leur confiance ont de meilleures chances d’avoir de « bons » gamins. Il semblerait que ces enfants ressentent une obligation de faire ce que leurs parents leur disent de faire.

Il s’agit du juste milieu entre l’autorité à « sens unique » et le système de récompenses et de punitions surutilisé par les parents qui font souvent du chantage pour acheter la paix ou arriver à leurs fins, ou encore qui donnent le feu vert à n’importe quoi. Dans cette situation, l’enfant tentera souvent de pousser continuellement, afin de savoir si le parent aura une limite

Selon les chercheurs, les résultats montrent que la promotion et la création de la légitimité des parents est une technique pour les adultes d’exercer un contrôle sur leurs enfants. En outre, les parents sont plus susceptibles d’être considérés comme des autorités légitimes s’ils utilisent des pratiques parentales autoritaires plutôt que les pratiques autoritaires extrêmes ou permissives, qui tendent à saper l’autorité parentale.