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La carotte et ses nombreuses vertus

À lire la série de bienfaits de la carotte mentionnée dans la liste proposée par Top Santé, il y a de quoi donner envie d’en manger tous les jours.

Car si on connaissait certaines vertus de la carotte, plusieurs autres demeurent inconnus, alors que certains semblaient carrément relever du mythe.

On pense entre autres à cette affirmation qui dit, depuis des lunes, que « la carotte est bonne pour les yeux ». Loin d’être un remède de grand-mère ou un proverbe ancestral, il appert plutôt que la carotte et son précieux bêta-carotène permettraient réellement de protéger les cellules de l’œil et de la rétine.

Il semble que manger des carottes trois ou quatre fois par semaine soit une posologie acceptable pour protéger les yeux, mais aussi pour faire baisser les risques de certains cancers, notamment du poumon, parfois de 40 %!

Dans le cas des accidents vasculaires, la consommation régulière de carottes ferait baisser les risques de 60 % en protégeant les parois des vaisseaux sanguins, notamment grâce aux antioxydants que la carotte contient aussi.

Globalement, la carotte permet donc de ralentir la dégénérescence due à l’âge à plusieurs niveaux, et peut grandement contribuer à une vie en pleine santé.

Elle est également bien sûr fortement conseillée pour les enfants.

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Sept portions de fruits et légumes par jour pourraient vous faire gagner une année

Pourquoi manger cinq portions de fruits et légumes quand vous pouvez en manger sept? C’est un peu la logique qui se cache derrière cette nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui propose des conclusions étonnantes.

Plus qu’une simple théorie basée sur la quantité, la constatation présentée par les chercheurs espagnols en tête de l’étude parle plutôt d’impacts vérifiables sur la santé et la longévité chez ceux qui passent de cinq portions de fruits et légumes par jour (déjà recommandées) à sept.

L’équipe de l’Andalusian School of Public Health s’est penchée sur les données de plusieurs milliers de personnes et constate que les gens qui consomment plus de 570 grammes de fruits et légumes quotidiennement, soit sept portions par jour, gagnent en longévité.

Jusqu’à une année de plus même, sans parler de la réduction évidente du risque de cancer, des effets préventifs sur la santé cardiaque et d’une hausse d’énergie notable, croient les chercheurs.

« Il y a maintenant assez de preuves qui démontrent l’effet bénéfique des fruits et légumes en prévention du cancer et des maladies chroniques. Pour cette raison, l’une des meilleures techniques de prévention est de simplement promouvoir sa consommation auprès de la population », lance en conclusion Maria José Sanchez Perez, auteure de l’étude.

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Certains aliments pourraient protéger du cancer du poumon

On le sait, la nutrition joue un rôle de premier plan en santé et en prévention de plusieurs maladies, qu’elles soient graves ou bénignes.

Il est cependant plus rare de voir des aliments associés de façon claire à la réduction de risques d’une maladie bien précise, la plupart des études se contentant de mentionner ce qui est « bon pour la santé ».

Un nouveau lien plus direct vient d’être établi entre certains aliments et le cancer du poumon, alors qu’ils pourraient faire baisser les risques de développer cette maladie, même chez les fumeurs!

C’est ce que rapporte Top Santé en dévoilant des données qui vantent les mérites de certains aliments en prévention du cancer du poumon. On mentionne notamment la quercétine, retrouvée dans les petits fruits, les oignons, les pommes et la laitue, entre autres.

Vient ensuite le soja ainsi que tous les produits faits à base de soja, bien entendu, qui permettraient une réduction des risques de cancer du poumon de 40 %!

Les légumes verts et les choux (chou-fleur, chou de Bruxelles, brocoli, etc.) seraient aussi de féroces défenseurs contre ce type de cancer, tout comme le thé vert et les aliments riches en vitamine B6.

Malgré tout, manger tous ces produits n’empêche pas qu’il est tout aussi bénéfique de cesser de fumer!

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le pouvoir du brocoli démystifié

« Mange ton brocoli », entend-on depuis la tendre enfance, puis à l’âge adulte, depuis l’avènement des nutritionnistes et du culte de la santé.

D’accord, mais pourquoi? Si on sait que le brocoli est bon pour nous, on ne connaît pas toujours les implications qui expliquent le phénomène.

C’est ce à quoi répondent aujourd’hui des chercheurs britanniques de l’Institute of Food Research de Norwich.

Ils concluent, après avoir « forcé » des sujets volontaires à manger du brocoli chaque jour pendant trois mois, que le légume possède de véritables propriétés capables de « recharger les piles » de nos cellules.

Il s’agit d’une vulgarisation qui permet de mieux comprendre les effets du brocoli, seul légume à agir sur les cellules humaines de cette façon.

Ces piles prennent le nom de « mitochondrie », selon le Daily Mail (UK), et s’avèrent un facteur essentiel du bon fonctionnement de l’organisme et de la prévention des maladies graves.

« Manger du brocoli deux ou trois fois par semaine devrait suffire. Je ne crois pas que bien des gens veulent en manger plus que ça », lance avec humour le professeur Richard Mithen, directeur de l’étude.

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Les fruits et légumes pourraient aider au sevrage de la cigarette

Des chercheurs américains constatent que les fruits et légumes ne sont pas simplement bons pour la santé, mais seraient aussi avantageux et utiles lors de l’arrêt du tabagisme, rapporte Top Santé.

C’est une équipe de spécialistes basée à Buffalo, aux États-Unis, qui a tracé ce parallèle en étudiant les impacts des fruits et légumes sur le comportement des individus fumeurs et non-fumeurs.

L’étude se base sur les cas de 1000 fumeurs (25 ans et plus) et révèle que ceux-ci consommeraient en moyenne moins de fruits et légumes que les non-fumeurs.

Au-delà du lien de souci de leur santé plus évident chez les non-fumeurs, qui mangent donc de façon plus équilibrée, on note qu’une augmentation de la consommation des fruits et légumes chez les fumeurs faciliterait l’arrêt du tabagisme.

La satiété accrue, une meilleure humeur et des niveaux de dopamine plus importants sont tous des facteurs découlant de la consommation de fruits et légumes, qui expliqueraient ainsi une plus grande facilité à abandonner la cigarette.

Fumeurs, à vos pommes et carottes!

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Les légumes placés au réfrigérateur perdraient de leur valeur nutritive

Plusieurs spécialistes en alimentation, dont Janet Braam, proposent des observations concernant les fruits et légumes qui pourraient réinventer notre façon de les entreposer et de les consommer, rapporte le Daily Mail (UK).

Pour Braam, professeure de biochimie, notre méthode d’entreposage et de conservation des fruits et légumes est probablement à repenser.

« Les fruits et légumes ne meurent pas au moment où ils sont prêts et cueillis. Peut-être devrions-nous les stocker sous un cycle de lumière et d’obscurité, en plus de réfléchir au moment de les apprêter, afin d’en retirer véritablement tous les bénéfices », lance Janet Braam.

Cette dernière fait bien sûr référence au concept de nuit et de jour auquel sont confrontés les légumes au courant de leur vie, passant subitement dans l’obscurité totale une fois dans le réfrigérateur.

Ce changement radical d’environnement vécu par les légumes, compte tenu du fait qu’ils seraient toujours « vivants », ferait en sorte que le consommateur ne bénéficie pas réellement de tous les avantages possibles, notamment.

Appuyée par plusieurs collègues, Braam et ses homologues croient qu’il serait bénéfique de penser à un nouveau système d’entreposage qui propose une simulation du jour et de la nuit!

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Anémie : Comment contrer un problème grandissant

Il appert que les carences en fer sont un problème commun de nos jours, selon ce que rapporte notamment Top Santé, qui fait état de statistiques en hausse concernant l’anémie en France.

Des chiffres semblables sont avancés au Québec, le manque de fer étant l’un des problèmes nutritionnels les plus observables au sein de la population en ce moment.

Un phénomène d’autant plus préoccupant qu’il toucherait fortement les enfants, les jeunes femmes et les femmes enceintes.

Pourtant, il existe plusieurs façons d’assurer des apports en fer adéquats. Pour commencer, il faut se tourner vers les viandes rouges. Oui, ces mêmes viandes qui n’ont pas bonne presse depuis quelques années. Il faut penser modération, mais sans s’abstenir des plaisirs de la viande, si vous êtes un amateur.

Après tout, les viandes rouges sont importantes pour les apports de forme héminique, contrairement aux légumes verts, qui se chargent plutôt de la forme non héminique.

Un bon rapport viande rouge et légumes verts est donc un excellent début. D’ailleurs, les mélanger dans une même assiette permet un impact optimal sur la santé!

Pour maximiser d’autant plus l’impact du fer ingéré, on suggère en terminant d’être vigilant à la consommation de café, de vin, de thé et de jus, qui peuvent faire baisser les apports en fer, si absorbés en même temps.

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L’apigénine encore vantée par des spécialistes en nutrition

On vous parlait récemment des bienfaits du thé de camomille, explicables par la forte teneur en apigénine qu’il contient.

Voilà que l’ingrédient est de nouveau nommé et vanté par des spécialistes en nutrition qui publient une énième étude sur le régime méditerranéen, rapporte Medical News Today.

Cette fois, les chercheurs américains en tête de cette récente étude croient avoir mis le doigt sur la composante spécifique et commune aux aliments retrouvés dans la diète méditerranéenne, et qui pourrait expliquer pourquoi ce type de régime semble prévenir davantage du cancer et de certaines maladies graves et chroniques.

L’apigénine est donc mentionnée deux fois dans la même semaine par deux études différentes, ce qui semble valider ses bienfaits.

On reconnait à cette composante une propriété capable de rendre les cellules cancéreuses « mortelles », c’est-à-dire moins résistantes et plus faciles à contrer.

Ce genre d’étude est très pertinente dans le contexte actuel, puisque plusieurs aliments et types de régimes sont souvent vantés, mais sans que l’on comprenne véritablement la provenance ou la logique des bienfaits qui s’y rattachent.

L’apigénine semble apporter un début de réponse en ce qui concerne la diète méditerranéenne, notamment.