Si une femme ne mange pas ses portions de fruits et légumes quatre fois ou plus par semaine, il semble que son enfant ne le fera pas non plus.
De plus, il serait porté à ne pas atteindre ce seuil dans son alimentation si sa mère le considère comme un enfant aux goûts difficiles.
C’est le constat d’une récente étude de l’Université du Michigan, parue dans Public Health Nursing, qui a porté sur 400 mères de famille ayant des enfants âgés de 1 à 3 ans.
On a aussi remarqué quelques différences selon la nationalité, car il semble qu’il soit culturel de considérer les goûts d’un enfant comme difficiles à combler ou non.
D’autres études récentes avaient pourtant révélé que les parents n’avaient qu’une faible influence sur l’alimentation de leurs enfants.
Toutefois, il semble que la mère joue tout de même un rôle assez important, même après la grossesse. Le point central serait sa perception de la nourriture et celle qu’elle a des habitudes de son enfant.