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Des légumes capables de modifier le métabolisme des oestrogènes

Les œstrogènes sont aussi présents chez l’homme; il ne faut pas les attribuer uniquement aux femmes. Leur bonne production est donc à considérer chez les deux sexes.

Les choux, choux-fleurs et brocolis, que l’on qualifie de crucifères, contiennent des phytonutriments s’attaquant directement aux cancers hormono-dépendants, rapporte nutranews.org, particulièrement le cancer du sein.

On rapporte que la consommation de ces phytonutriments augmente la 2-déhydroxylation des œstrogènes et conséquemment, cela contribue à une meilleure production d’œstrogènes non carcinogènes comme le 2-hydroxyestrone.

Ces derniers sont en fait des antioxydants tellement puissants qu’ils peuvent détruire des cellules cancéreuses. Lorsque l’on est en carence de ces phytonutriments, au contraire, ce sont les mauvais œstrogènes (comme le « mauvais cholestérol ») qui se propagent et contribuent à la formation de cancers.

Même si l’on consomme des légumes crucifères, d’autres facteurs peuvent diminuer le 2-hydroxyestrone, comme une alimentation riche en gras ou une carence d’oméga-3.

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Sortez les enfants de la maison à l’aide du jardinage

Parenting Squad vous aide à rendre ces moments intéressants et amusants, tant pour vous que vos enfants.

– Pensez légumes, mais aussi fruits sauvages, herbes fraîches, fleurs annuelles, vivaces et plantes de toutes sortes.

– Amenez vos enfants à la pépinière pour qu’ils voient l’ampleur de tout ce qui existe et afin qu’ils choisissent ce qu’ils préfèrent.

– Laissez-les aménager une jardinière ou un bout de vos plates-bandes à leur goût.

– Choisissez des plantes qui attirent les oiseaux et les papillons.

– Ajoutez beaucoup de couleur pour que vos enfants voient un arc-en-ciel de teintes lorsque les plants fleuriront.

– Achetez-leur chacun une plante dont ils prendront soin dans leur chambre.

– Encouragez-les à se salir et arrosez-vous avec le boyau d’arrosage pour ajouter une touche de plaisir.

Si vous réussissez à piquer la curiosité de vos enfants, l’an prochain, commencez vos plants à l’intérieur. Ils seront heureux de s’en occuper jusqu’à la transplantation à l’extérieur.

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10 minutes par jour pour convaincre les enfants de manger plus de fruits et légumes

Selon une récente étude, rapporte Female First, le cumul de ces minutes représente l’équivalent de 3 jours annuellement. Qui plus est, le sondage a permis de récolter les méthodes parfois créatives utilisées par les parents pour faciliter les bonnes habitudes alimentaires.

La méthode la plus populaire, avec 35 % des parents, consiste à cacher les fruits ou légumes avec le reste de la nourriture.

Celle qui est le moins utilisée est la punition (pas de dessert, aller tôt au lit), à 15 %, si les fruits ou légumes n’ont pas été terminés.

Les autres solutions mentionnées :

– 29 % offrent des récompenses si l’enfant les mange tous;

– 23 % racontent les bienfaits des fruits et légumes;

– 22 % créent des formes ou des images avec les fruits et légumes;

– 21 % les transforment en jus, soupes ou sucettes glacées;

– 16 % interdisent à l’enfant de quitter la table tant qu’il n’a pas terminé ses fruits ou légumes.

Malgré tous ces efforts, moins de la moitié des parents sont satisfaits de la quantité consommée par leurs enfants.

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Jardiner avec un jeune enfant : tout un défi!

Pour faire un jardin avec vos enfants, vous devez surtout être du type patient et tolérant.

Vos enfants n’ont pas votre patience – Peu importe leur âge, ils n’aimeront pas se mettre à la tâche pendant deux heures. Ils préféreront jouer dans la terre et ajouter de l’eau pour faire un château de boue, ou ils piétineront ce que vous venez de faire « pour le plaisir », ce qui est normal.

Mieux vaut faire 2 jardins – Ainsi, vous pourrez encourager votre enfant à vous imiter. Vous aurez un grand jardin, et ils auront une petite réplique. De cette façon, vous pourrez leur laisser les graines restantes, plutôt que de les laisser les éparpiller partout, surtout lorsqu’elles doivent être semées individuellement et à une distance spécifique.

Les règles à suivre – Vos enfants sont heureux de vous apporter toutes les tomates du jardin qu’ils ont cueillies eux-mêmes? Or, elles sont encore toutes vertes. Si vous n’expliquez pas la façon dont fonctionne la pousse des légumes, vous risquez une maigre récolte. Allez visiter le jardin chaque jour en leur donnant de l’information et en les invitant à arroser les plants avec vous.

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Comment intégrer les légumes dans l’alimentation de l’enfant avant 2 ans

Le projet que rapporte Top Santé s’intitule HabEat. Il a été réalisé en partenariat avec de nombreux instituts et scientifiques. Il en ressort que les habitudes alimentaires de l’enfant se forgent pour la plupart dans les 2 premières années de vie.

Ainsi, introduire des légumes après cette période risque d’être plus laborieux pour les parents. Si l’enfant résiste ou refuse un nouveau légume, il suffit de le lui présenter à plusieurs reprises. Il finira par s’y habituer. Autrement, on peut le faire choisir entre deux légumes, une méthode qui s’avère apparemment efficace.

D’autre part, vous aurez plus de chances si, dès le départ, lorsque l’enfant mange de la purée, vous l’habituez au goût des différents légumes. Si les pots pour bébé sont limités, n’hésitez pas à faire vos propres purées.

Ce sont 18 000 mères et leurs enfants qui ont participé à cette étude d’envergure, échelonnée sur 4 ans. Le projet HabEat sera transposé en guide alimentaire pour les parents ainsi que les différents intervenants auprès des enfants.

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Les parents n’encouragent pas suffisamment leurs enfants à manger des légumes

L’étude avait pour objectif de vérifier la variété des aliments proposés aux enfants. Les résultats se sont avérés plutôt surprenants. L’enfant moyen n’aurait que 5 variations de repas à l’heure du souper.

Female First rapporte les 5 repas les plus répandus :

1- Spaghetti bolognais – 43 %
2- Saucisses et frites – 40 %
3- Rosbif ou autre viande rôtie – 37 %
4- Saucisses et purée de pommes de terre – 35 %
5- Doigts de poissons frits et croustilles – 35 %

Trois parents sur cinq ont avoué que l’alimentation de leurs enfants était très limitée. Cependant, seulement 23 % d’entre eux ont affirmé qu’ils avaient tenté d’élargir les préférences alimentaires de leurs jeunes.

Les enfants seraient surtout difficiles et pour la plupart, refuseraient simplement de manger des légumes.

L’un des chercheurs s’est dit très surpris que si peu de parents tentent de modifier les habitudes alimentaires des enfants. « Il n’y a pas de solution magique pour les enfants difficiles, mais introduire un nouvel aliment à la fois, en petite portion, peut alléger la difficulté. »

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Les prix élevés des fruits et légumes associés au surpoids des jeunes enfants

Ce sont des chercheurs de l’American University qui ont soulevé ce lien. L’étude a été publiée dans la revue Pediatrics.

« Il y a une légère association, quoique significative, entre le prix des fruits et légumes et un indice de masse corporel (IMC) plus élevé chez les enfants », rapporte Taryn Morrissey, principale responsable de l’étude.

Dès que le prix de ces aliments frais grimpe, les familles à faible et moyen revenu ont tendance à les substituer pour des aliments de moindre coût, sans tenir compte de l’impact sur la santé et de la teneur calorique de ces derniers.

Les données récoltées sont basées sur l’Early Childhood Longitudinal Study-Birth Cohort, incluant les enfants jusqu’à l’âge de 5 ans. On y a associé l’historique de prix des aliments du Council for Community and Economic Research (C2ER), un index sur le coût de la vie.

Le revenu moyen des foyers étudiés était de 70 650 $ pour une famille de 4 personnes en 2013. Ces ménages sont considérés comme étant à 300 % sous le seuil de pauvreté aux États-Unis.

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Un défi boîte à lunch santé qui influence les habitudes alimentaires des enfants

Selon ce que rapporte Medical News Today, les enfants prennent rapidement du poids pendant le congé scolaire d’été. Le choix d’aliments des parents est le grand responsable.

Un groupe de chercheurs de l’Université de la Caroline du Sud a décidé d’utiliser les programmes de camps de jour d’été pour remédier à la situation.

Ils ont établi le Healthy Lunchbox Challenge (HLC), une théorie innovatrice basée sur la récompense lorsque les enfants apportent les bons aliments dans leur boîte à lunch. Le programme a été déployé à grande échelle et a donné d’excellents résultats.

Le HLC est peu coûteux, et donc très facilement adaptable à n’importe quel camp de jour. Il contient 2 volets : l’enseignement des bonnes pratiques aux parents et éducateurs, puis le programme incitatif pour les enfants.

Michael W. Beets et ses collègues, responsables de l’étude, ont obtenu des résultats très probants. Sur les 2000 enfants observés, la moitié participait au HLC. Ceux-ci ont apporté en proportion 12 % plus de fruits frais et 11 % plus de légumes. Ils ont aussi noté une forte participation des employés des camps de jour et une grosse diminution des collations inappropriées (31 %).

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La malbouffe n’est pas la cause majeure de l’obésité infantile

Medicalnewstoday.com rapporte les résultats d’une nouvelle étude qui affirme que le problème sous-jacent à la malbouffe provient du foyer des enfants qui souffrent d’obésité. Est-ce réellement une surprise?

Les chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord, à la Chapel Hill’s Gillings School of Global Public Health, sont d’avis que la malbouffe ne représente qu’une parcelle du vrai problème. En fait, l’augmentation rapide du taux d’obésité chez les jeunes est la résultante de mauvaises habitudes alimentaires qui prennent source à la maison.

Les choix alimentaires des enfants sont le reflet de ce qu’ils mangent à la maison, ni plus ni moins. Ceux-ci ne sont pas habitués à manger des fruits et des légumes. On favorise plutôt la consommation d’aliments à haute teneur en sucres et en gras, de produits transformés et de repas congelés. Par la suite, les environnements scolaires encouragent le même schéma.

« Voilà ce qui rend réellement les enfants obèses », ont affirmé Barry Popkin et W.R. Kenan Jr., les spécialistes responsables de la recherche. « Consommer de la malbouffe est un comportement résultant de mauvaises habitudes alimentaires. »

Les données ont été récoltées entre 2007 et 2010 auprès de 4466 enfants de 2 à 18 ans, par l’entremise d’une étude intitulée National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES).

Les résultats sont publiés dans The American Journal of Clinical Nutrition.

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Les enfants qui ont des cartes débit mangent plus

Au contraire, il semblerait que les enfants ou adolescents qui paient comptant font des choix plus « santé ». Plus de fruits et légumes, mais également moins de desserts.

L’économiste comportemental Brian Wansink, de la Cornell University, affirme : « Les enfants sont beaucoup, beaucoup plus sujets à prendre des desserts et bien moins susceptibles de prendre des fruits et légumes avec leur carte de débit ».

La recherche a été menée auprès de 2300 étudiants provenant de 287 écoles, de la première année du primaire jusqu’à la dernière année du secondaire, rapporte Science World Report.

Les résultats démontrent que les jeunes qui paient comptant sont 3 fois plus portés à se procurer des légumes. Ils consomment aussi 10 % de moins de calories.

La raison invoquée par Wansink? La carte débit est trop abstraite pour les enfants et, par conséquent, ils se préoccupent moins de leurs actions lorsqu’ils l’utilisent.

La solution proposée par l’économiste est simple, mais peut s’avérer très efficace. Les écoles, selon lui, devraient vendre les desserts et collations sucrées à la caisse d’argent comptant uniquement.