Catégories
Uncategorized

Comment faire aimer les légumes à ses enfants?

« Il arrive que l’on doit montrer ou faire goûter jusqu’à une quinzaine de fois un légume à un enfant pour qu’il l’adopte dans son alimentation », confie Geneviève Dulude de l’Université de Montréal, dont la thèse porte sur les attitudes et les comportements de la mère québécoise, l’alimentation et le poids de l’enfant préscolaire.

En effet, le combat entre l’adulte, l’enfant et l’assiette a pour origine la néophobie ou peur des nouveaux aliments. Les enfants refusent de goûter un aliment, car ils ne le connaissent pas.

Pour remédier à cette situation, la diététiste conseille aux parents de varier les achats et les recettes. Transformer le traditionnel brocoli cru et au goût peu plaisant en brocoli sauté dans un poulet teriyaki et en brocoli broyé dans le pâté au poulet peut être un exemple.

Si votre enfant résiste au brocoli un premier soir, ne lui présentez pas jour après jour le bouquet vert dans son assiette afin de le convaincre. Attendez une semaine, apprêtez-le d’une autre façon et, entre-temps, faites-lui découvrir la carotte, le navet, le chou-fleur, etc.

« Le parent qui démontre de l’enthousiasme quant au plaisir de manger certains aliments augmentera leur acceptation auprès de l’enfant », affirme la diététiste àl’Agence Science Presse.

L’autorité, l’obstination, la négligence ou le chantage émotif à la saveur de récompense du genre « Tu n’auras pas de dessert si tu ne manges pas tout » ne fait que rendre la situation pire, selon l’experte.

Des questionnaires remplis par 122 mères québécoises d’enfants âgés de 3 à 5 ans ont permis de voir que près d’un tiers d’entre elles qualifient l’heure du repas de pénible.

Catégories
Uncategorized

Être végétarien améliorerait l’humeur

Selon une étude publiée en février dans le Nutrition Journal, un groupe de gens omnivores ayant éliminé la viande, la volaille et le poisson de leur diète durant deux semaines ont vu leur humeur s’améliorer.

En fait, en comparaison à la diète des végétariens, celle des omnivores est riche en acide arachidonique, un oméga-6. Dans le passé, les recherches ont montré que la grande consommation de ce type d’acide, que l’on trouve principalement dans la viande rouge, la volaille et quelques poissons, causait des changements dans le cerveau qui pouvaient affecter négativement l’humeur.

De plus, la présence d’acide arachidonique dans le sang, en contact avec l’acide eicosapentaénoïque (oméga-3), était liée aux symptômes cliniques de la dépression.

Selon l’auteure de la recherche, Bonnie Beezhold, les régimes végétariens sont naturellement moins riches en acides gras oméga.

Alors que l’on ne cesse de vanter les bénéfices des oméga-3 pour notre cerveau, les oméga-6, eux, pourraient causer plus de tort que de bien, selon les experts.

Ces changements engendrés par les oméga-6 pourraient être en partie contrés par la consommation de noix de Grenoble et de graines de lin.

Catégories
Uncategorized

Les légumes verts pour survivre au cancer du sein

C’est ce qu’une étude chinoise de grande envergure a permis de découvrir.

En fait, il y aurait un lien entre la plus grande consommation de légumes crucifères comme le chou et le brocoli et la réduction du taux de mortalité dû au cancer du sein.
 
Plus la consommation augmentait, plus les chances de mourir du cancer du sein diminuaient, dans une proportion allant de 22 à 62 %. Quant à la diminution des risques de décès d’autres causes, elles diminuaient de 27 à 62 % selon les cas.
 
Également, le risque de récidive du cancer s’amoindrirait de 21 à 35 %.
 
Cependant, les chercheurs asiatiques ayant effectué la recherche ont tenu à souligner que la consommation de légumes verts était différente entre l’Asie et l’Occident.
 
« Les légumes couramment consommés en Chine sont le navet et le chou chinois alors que le brocoli et le chou de Bruxelles le sont davantage aux États-Unis et dans les autres pays de l’Ouest », explique le principal auteur de la recherche, le docteur Sara Nechuta, de l’Université Vanderbilt.
 
Ainsi, peut-être que les résultats diffèrent selon les légumes crucifères consommés.
 
Catégories
Uncategorized

Certains aliments ne devraient pas être conservés au réfrigérateur

Si le réfrigérateur permet de conserver la fraîcheur des aliments plus longtemps dans la majorité des cas, ce ne sont pas tous les fruits et légumes qui devraient s’y retrouver.
 
Si votre réfrigérateur se doit d’être toujours propre afin de ne pas devenir un nid à bactéries, certains aliments ne devraient pas y entrer.
 
MedicMagic dresse une liste de 5 aliments qui ne devraient pas être conservés à cet endroit.
 
Par exemple, si vous cultivez les tomates, vous savez qu’elles aiment la chaleur et détestent le froid. Ainsi, elles devraient plutôt être conservées dans un endroit sec à l’abri des rayons directs du soleil.
 
Même chose pour le basilic, qui se flétrit prématurément au réfrigérateur. En fait, pour garder toute son humidité et sa fraîcheur, un bouquet de basilic devrait être conservé comme des fleurs, soit dans un récipient auquel on ajoute de l’eau que l’on change tous les jours.
 
Les pommes de terre devraient idéalement être gardées à une température de 10 degrés. Elles peuvent être conservées dans un tiroir de cuisine, dans un sac de papier qui permet une meilleure respiration que le sac de plastique.
 
Les oignons ne devraient jamais être dans un endroit humide comme le réfrigérateur, car cela endommage la fine couche protectrice à sa surface. Ils devraient être gardés près d’aliments qui émettent des vapeurs d’eau et de gaz, comme les pommes de terre.
 
Finalement, les avocats peuvent être conservés au réfrigérateur seulement s’ils sont déjà bien mûrs. Sinon, attendez qu’ils le deviennent avant de les placer à cet endroit.
 
Catégories
Uncategorized

Le maïs soufflé meilleur que les fruits et légumes?

Lors que la 24e Conférence de l’Amercain Chemical Society, les scientifiques ont fait une déclaration des plus surprenante : le maïs soufflé contient plus d’antioxydants que les fruits et légumes.
 
En fait, le maïs éclaté est riche en polyphénols. Et comme il ne contient en moyenne que 4 % d’eau, ces antioxydants ne sont pas dilués, comme c’est le cas avec les fruits et légumes qui contiennent en moyenne 90 % d’eau.
 
Une portion de maïs soufflé contiendrait 300 mg d’antioxydants, comparativement à 114 mg pour le maïs sucré et 160 mg pour une portion de fruits.
 
13 % de l’apport quotidien en antioxydants peut être donné par une simple portion quotidienne de maïs éclaté.
 
Attention toutefois, le problème est dans sa préparation et ses garnitures. Le maïs doit seulement être soufflé à l’air et consommé nature, sans beurre ni sel.
 
Le maïs soufflé est aussi un aliment riche en grains entiers. Une portion quotidienne fournirait 70 % de l’apport quotidien recommandé.
 
Catégories
Uncategorized

Les goûts alimentaires, ça se développe!

Un gâteau aux zucchinis n’est pas seulement un gâteau, tout comme un pâté de thon n’est pas qu’un simple pâté. Il faut dire les vrais termes et inciter l’enfant à goûter tôt pour développer une alimentation variée chez lui.

Selon une étude de chercheurs de la Columbia University, parue dans le numéro de mars/avril de la revue Journal of Nutrition Education and Behavior, il semblerait que les parents sous-estiment les goûts de leurs enfants et que de tels trucs sont inutiles.

Pour arriver à cette conclusion, un test de goût a été effectué auprès de 68 enfants de l’école élémentaire. Divers échantillons, aliments et plats leur ont été présentés en formule duo. L’un portait toujours son réel nom (ex. : pain d’épices au brocoli) et l’autre son nom partiel (ex. : pain d’épices), relate RelaxNews.

À ce test, il est ressorti que même s’ils ne savaient pas que les produits étaient identiques, les enfants n’avaient pas de préférence de goût, car nombreux savaient ce qu’était un brocoli pour en avoir déjà mangé.

En revanche, quand des biscuits aux pois chiches leur étaient présentés à côté de ceux dits aux pépites de chocolat, la plupart (81 %) ont dit préférer ceux au chocolat, car ils ne savaient pas ce qu’étaient des pois chiches et fonçaient vers un choix qui leur semblait familier et appétissant.

Pour Lizzy Pope, auteure principale de l’étude, il semblerait que pour ne pas influencer leur choix concernant le goût d’un produit, le légume utilisé pour sa confection doit être connu par les enfants. « Les résultats de cette étude coïncident avec les conclusions d’innombrables articles sur la néophobie selon lesquels les enfants sont moins à même et moins susceptibles d’aimer ce qu’ils ne connaissent pas », dit-elle dans un communiqué.

Catégories
Uncategorized

Camoufler les légumes dans l’assiette ne sert à rien

21 % seulement des enfants mangent au moins cinq fruits et légumes par jour, selon The Centers for Disease Control and Prevention’s Youth Risk Behavior Surveillance System, qui réalisent des enquêtent auprès des adolescents.
 
De nombreux enfants boudent les légumes. Les parents doivent alors trouver des astuces pour les obliger à en manger quotidiennement. Il existe même des livres de recettes pour les cacher dans l’assiette.
 
De nouveaux produits alimentaires contiennent même des portions de légumes, mais n’ont pas le goût des légumes. Cette technique sournoise a d’ailleurs été controversée.
 
En effet, cette méthode ne favoriserait pas la consommation de légumes, parce que les enfants ne savent pas qu’ils en mangent. Ils ne sont donc pas susceptibles de continuer la pratique à l’âge adulte.
 
En conclusion, cette étude de mars/avril publiée dans Journal of Nutrition Education and Behavior explique qu’il semble plus important d’introduire des légumes dans l’alimentation des enfants plutôt que de les cacher en permanence.
 
Catégories
Uncategorized

Des photos pour manger plus de légumes

Il s’agit d’une courte étude à petite échelle, et d’autres recherches devront être faites pour évaluer le succès de cette idée peu dispendieuse et bonne pour la santé des enfants.

L’idée de coller des photos de légumes sur des plateaux pour repas à l’école induit les enfants à manger davantage de légumes, déclarent les chercheurs.

La proportion (37 %) d’enfants d’écoles élémentaires qui ont choisi de se servir des haricots verts parce qu’il y avait une photo de haricots dans leur plateau a doublé (6 à 12 %), et le nombre de ceux qui ont pris des carottes a triplé, ont rapporté Marla Reicks et ses collègues de l’Université du Minnesota à Minneapolis.

Les photos avaient été placées à la base pour indiquer aux enfants quoi sélectionner, comment les placer et quelle portion de légumes devait aller dans chaque compartiment.

Les chercheurs sont cependant demeurés stupéfaits de l’effet que cela a eu sur l’augmentation de la consommation de légumes.

Publiée en ligne dans le Journal de l’American Medical Association, l’étude affirme que même si la consommation de légumes est restée faible après l’intervention, soit sous les recommandations du gouvernement, les chercheurs sont persuadés que l’image a une valeur pour les enfants. Cette pratique avec les photos ne nécessite aucune formation particulière et engendre des coûts minimes pour les écoles (environ 3 $ et 20 minutes de préparation par 100 plateaux).

Catégories
Uncategorized

Manger des légumes en échange de récompenses?

Selon une étude réalisée en Ukraine, une petite récompense, comme un autocollant, donnée aussitôt que l’enfant accepte de manger une toute petite portion d’un légume détesté connaîtrait un grand succès.

Les chercheurs de l’American Journal of Clinical Nutrition, quant à eux, ne sont pas en accord avec cette méthode qui pourrait se retourner contre le parent. Selon eux, c’est une mauvaise habitude. À court terme, l’enfant — toujours en attente d’une récompense — perdrait tout intérêt pour les autres aliments qu’il aime déjà.

Il semble que les récompenses matérielles ont beaucoup plus de succès que les beaux mots comme « Bravo, tu as tout mangé! » L’étude démontre que la sincérité des parents est sérieusement mise en doute par l’enfant, dans ces cas.

L’étude prouve également qu’en à peine 12 jours, le système de récompenses permet de faire changer l’attitude de l’enfant envers la nourriture et fait augmenter les portions dans l’assiette (moyenne de 5 grammes au départ et de 10 grammes à la fin). Au bout de trois mois, il a été prouvé que l’enfant mangeait gaiement et sans récompense.

173 familles ont participé à cette recherche. Elles étaient divisées en trois groupes dans un centre de recherches. Un groupe était celui des récompenses, l’autre était celui des beaux mots, et le troisième a été qualifié de « contrôlant », car on devait obliger les enfants à manger les légumes.

Catégories
Uncategorized

Les adolescents ne mangent pas assez de fruits et légumes

Les Centers for Diseases Control and Prevention dévoilent une étude dans laquelle on constate que les adolescents américains ne mangent pas assez de fruits et légumes.
 
Les données ont été recueillies auprès de 11 430 adolescents de 14 à 18 ans.
En moyenne, les filles consommaient 1,5 tasse de fruits par jour et 2,5 tasses de légumes. Pour les garçons, la consommation quotidienne était de 2 tasses de fruits et 3 tasses de légumes.
 
Comme référence, sachez qu’une tasse équivaut environ à une pomme moyenne ou à huit fraises.
 
Vous comprendrez que cela est bien en deçà des recommandations nutritionnelles, et cela n’est pas observé uniquement aux États-Unis. Ce n’est guère mieux ailleurs, comme au Royaume-Uni, où la même situation a été remarquée.
 
Pour que les adolescents mangent plus sainement, il est donc important de leur inculquer de bonnes habitudes dès leur jeune âge, et même de leur apprendre à cuisiner. Ces habitudes seront mieux conservées à l’âge adulte.