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Le brocoli pour la longévité

Une nouvelle étude démontre que manger des fruits et légumes permettrait de vivre plus longtemps.
Selon cette étude, réalisée sur 135 000 Chinois questionnés sur leurs habitudes de vie et historique de santé, les plantes de la famille des brassicacées, comme le brocoli, le chou et le chou-fleur, seraient particulièrement bénéfiques, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
Toutefois, l’étude n’a pas permis de prouver que manger des fruits et légumes augmentait automatiquement l’espérance de vie. Certains spécialistes croient que les personnes qui en mangent le plus ont sans doute également de meilleures habitudes de vie en général.
 
Les légumes de la famille des brassicacées contiennent tout de même de nombreux nutriments et sont riches en vitamine C et en fibres. Les participants à l’étude qui en avaient le plus mangé avaient tendance à vivre un peu plus longtemps.

Des études plus approfondies doivent maintenant être réalisées pour prouver ces résultats.

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Comment lui faire manger ses légumes?

La méthode par excellence pour faire manger des légumes à nos enfants consisterait tout simplement à leur faire choisir. Ce geste simple aurait des répercussions très positives sur leur alimentation.

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont en effet démontré que la consommation de légumes d’un enfant était influencée par le choix proposé d’aliments.
 
Un enfant mangerait 80 % plus légumes s’il peut choisir lesquels.
 
Précisément, selon les résultats obtenus auprès de 150 enfants, cela représente une moyenne de 40 g de plus par jour, du dîner au souper. La quantité de légumes ingérés montait donc à 150 g, ce qui est beaucoup.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué que l’amertume du calcium contenu dans certains légumes pouvait faire en sorte que les enfants les aiment moins, donc qu’ils en consomment moins. Parmi ces légumes, on compte le brocoli, les épinards et les oignons.

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Surveillance accrue au Canada pour la bactérie E. coli

L’Agence canadienne d’inspection des aliments effectuera un contrôle accru aux frontières sur les importations de légumes provenant d’Europe. Le continent est touché par une grande contamination d’une souche plus virulente et jusqu’ici inconnue de la bactérie E. coli.
 
Le bilan continue de s’alourdir en Europe, où maintenant 1600 personnes sont malades et 18 sont mortes. Le plus grand nombre de personnes touchées se retrouve en Allemagne. La plupart des gens avaient surtout mangé des tomates et des concombres.
 
On ignore encore l’origine de cette contamination. Hier (2 juin), les autorités disculpaient les concombres espagnols, jusqu’ici pointés du doigt comme étant les grands responsables.
 
Au Canada, la bactérie ne nous touche pas encore, mais rien n’indique qu’on ne la retrouvera pas à un moment. Les autorités vont donc examiner les importations d’Europe et procéder à des tests pour déceler la présence de la bactérie E. coli.
 
En ce moment, vous pouvez manger des légumes sans crainte, d’autant plus que les importations de produits frais provenant de l’Union européenne ne représentent que 1 % des importations totales de tous les pays.
 
Le Globe and Mail rappelle que les personnes qui voyagent du côté de l’Europe devraient prendre les mêmes précautions que pour la diarrhée des voyageurs, soit éviter de consommer les légumes frais et l’eau dont on ignore la provenance. De plus, n’oubliez pas de vous laver les mains régulièrement.
 
Aux États-Unis, on rapporte deux cas de personnes touchées; elles avaient voyagé en Allemagne.
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Pas d’inquiétude au pays pour la bactérie E. coli

Alors que l’Europe est aux prises avec la bactérie E. coli et que l’on soupçonne les concombres espagnols d’être la source de la contamination, on se fait rassurant au Canada.
 
L’Agence canadienne d’inspection des aliments affirme qu’il n’y a pas de danger aux pays en ce moment. « Il n’y a pas de tomates, de concombres ni de laitues qui viennent d’Espagne au Canada en ce moment », a indiqué le porte-parole de l’Agence, Tim O’Connor, à La Presse.
 
La dernière livraison provenant de l’Espagne remonte à deux mois déjà. De plus, le Canada importe de l’Espagne surtout des produits comme le vin, le raisin, les olives, les poivrons, les mandarines et quelques légumes. En ce moment, on ne rapporte aucun cas de bactérie E. coli issu des légumes, donc aucun danger pour les Canadiens.
 
Le Canada importe plus de produits de l’Allemagne, où la bactérie a fait 14 victimes jusqu’à présent. On y importe du chocolat, de la bière maltée et d’autres préparations alimentaires.
 
Rassurez-vous, vous pouvez manger des légumes frais sans aucune crainte au Canada, nous ne sommes pas touchés par cette contamination.
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Un programme éducatif qui fait aimer les légumes

L’Université du Michigan a mené un programme pilote durant quatre auprès d’élèves de la sixième année provenant de cinq écoles du même État. Les résultats en sont si probants que l’on songe maintenant à étendre l’expérimentation à 14 écoles.

Les buts de ce programme étaient de manger plus de fruits et légumes et moins d’aliments gras, de faire de meilleurs choix de boissons, de faire au moins 150 minutes d’exercice par semaine et de passer moins de temps devant la télévision et l’ordinateur.
 
Tout un programme! Les effets bénéfiques ont pourtant été remarquables. Le taux de cholestérol des élèves avait beaucoup diminué après quatre ans, de même que le temps passé devant la télé ou l’ordinateur.
 
Après des améliorations et des baisses, le temps passé à faire de l’exercice s’est finalement stabilisé au bout de quatre ans, pour finalement être positif. Un phénomène semblable s’est produit quant à la consommation de fruits et légumes.

Il semble donc qu’un programme d’encadrement est tout désigné pour guider les enfants afin de préférer un mode de vie sain et une bonne alimentation.

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Les repas en famille préviennent l’obésité

Selon Pediatrics, on aurait démontré que les repas en famille font en sorte que les enfants mangent plus de légumes et se nourrissent en général de manière plus santé.

En fait, les enfants qui mangent avec leurs parents au moins 3 fois par semaine sont 12 % moins à risque de développer un surpoids, selon une recherche ayant porté sur près de 183 000 jeunes âgés de 2 à 17 ans. Elle a été dirigée par l’Université de l’Illinois.
 
De plus, les enfants étaient 20 % moins portés à consommer de la malbouffe et 24 % plus enclins à manger des aliments sains, comme des légumes. Il semble finalement que les jeunes couraient 35 % moins de risque d’avoir des troubles de l’alimentation.

Certains soutiennent toutefois qu’il ne s’agit ici que d’une simple corrélation. Malgré tout, s’asseoir en famille semble constituer une bonne avenue pour régler les problèmes de santé que sont le surpoids et l’obésité dans la société actuelle. Rappelons qu’en 2008, aux États-Unis, 1 fille sur 7 et 1 garçon sur 6 étaient considérés comme obèses.

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Les femmes enceintes exposées à certains pesticides donnent naissance à des enfants aux capacités intellectuelles inférieures

Encore aujourd’hui, des pesticides et insecticides hautement toxiques sont utilisés dans les cultures vivrières et leurs produits, fruits et légumes, se retrouvent dans les allées de nos épiceries. Health News nous informe des résultats alarmants d’une nouvelle étude sur les organophosphates.

La recherche a été menée auprès de 400 femmes du quartier de Harlem à New York. L’information récoltée concernait l’exposition de la femme enceinte à ce pesticide spécifique. Il en a résulté une baisse générale de 5,5 points du quotient intellectuel chez les enfants de 7 ans et plus.

L’étude démontre clairement que les enfants ayant été les plus exposés aux organophosphates durant la grossesse affichent la baisse la plus significative au niveau des capacités intellectuelles.

Brenda Eskenazi, professeure en santé maternelle et infantile à l’Université de la Californie, décrit l’impact comme étant substantiel. « Les conséquences signifient que de plus en plus d’enfants se retrouveront en difficulté d’apprentissage à l’âge scolaire et nécessiterons davantage l’aide de services spécifiques. »

L’utilisation de pesticides aux phosphates a baissé de plus de 50 % dans la dernière décennie, selon les chercheurs de Berkeley. Bien que les effets néfastes soient connus depuis longtemps, les organophosphates sont encore utilisés couramment, notamment en Grande-Bretagne.  

Les spécialistes encouragent les gens à bien rincer et essuyer les fruits et légumes avant de les consommer.

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Des patates pour lui faire manger plus de légumes!

Une étude américaine a fait une découverte amusante quant à la consommation de légumes des enfants. Il semble que si le repas d’un enfant comprend des pommes de terre, il sera porté à manger plus de légumes, selon UPI.

C’est que selon cette recherche, les plats comprenant la pomme de terre ont tendance à inclure d’autres légumes dans une meilleure proportion que les autres plats. Aussi, un tel repas contient plus de potassium qu’une banane.
 
D’autre part, il semble que les enfants qui mangent régulièrement des pommes de terre ont un régime alimentaire plus varié en général et ils mangent plus de légumes également. Il n’y a toutefois pas de différence quant au surpoids et à l’obésité si un enfant mange ou non des pommes de terre.
 
Ces données proviennent d’un sondage effectué auprès de 11 500 enfants âgés de 5 à 18 ans.

Toutefois, ladite pomme de terre ne doit pas être frite. Elle peut être bouillie, cuite au four, pilée ou rôtie.

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Un sourire lui fera manger ses légumes

Une récente recherche parue dans Obesity nous apprend que les parents sourient lorsqu’ils mangent un aliment qu’ils souhaitent que leur enfant mange lui aussi. Il semble que les enfants mangent en effet certains aliments sous l’influence d’émotions.

Pour en venir à cette conclusion, on a montré des photos de personnes arborant différentes émotions à des enfants qui mangeaient un de leurs aliments préférés. Il semble que les enfants en venaient à moins l’aimer si la personne sur la photo avait un visage dégoûté.
 
De plus, lorsque la personne avait un visage enjoué en mangeant un aliment que l’enfant ne connaissait pas, celui-ci était plus porté à vouloir l’essayer.
 
Une précédente étude datant de 2008 avait démontré que les parents pouvaient augmenter la quantité de fruits et de légumes que leur enfant mangeait s’ils en mangeaient eux aussi. De plus, si une personnalité connue que l’enfant aime dit ne pas aimer tel ou tel légume, il semble que l’enfant l’aimera moins.

On recommande finalement d’encourager les enfants à manger certains aliments en leur disant que c’est très bon, de ne pas en bannir et de les faire participer dans la cuisine dès le plus jeune âge.

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Jardiner permet de conserver une meilleure santé et un meilleur moral

Deux nouvelles études viennent d’être faites aux États-Unis sur l’entretien d’un potager et la santé des personnes âgées.
 
Dans un premier temps, sur un échantillon de 261 hommes et femmes de plus de 50 ans, dont 158 cultivaient un potager, on observe que ceux qui entretiennent un jardin ont plus tendance à consommer des légumes que ceux qui s’approvisionnent à l’épicerie ou dans les marchés. Ceci sans aucune différence entre le sexe, le nombre d’années d’expérience en jardinage et le nombre d’heures passées à s’occuper du potager.
 
Toutefois, on ne peut dire avec certitude s’il existe un lien entre le fait que les personnes font le choix de jardiner par plaisir et leur consommation accrue de légumes ou encore si jardiner finit par avoir une influence positive sur le mode de vie.
 
Une deuxième étude révèle que jardiner améliore le bien-être des personnes âgées. Elles sont plus satisfaites de leur vie et trouvent leur existence moins monotone ou ennuyante. De plus, ces personnes ont un sentiment d’accomplissement et se sentent moins vieilles et fatiguées.