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Comment combattre un métabolisme lent

Le métabolisme lent est un problème fréquent, mais souvent peu diagnostiqué chez les gens qui en souffrent. Les personnes concernées par ce trouble de santé ont souvent été atteintes d’hyperthyroïdie, ont un mode de vie sédentaire, ou encore elles se sont pliées à un régime radical.

Il n’est pas facile de perdre du poids lorsque le métabolisme lent frappe à sa porte. Mais ce n’est pas mission impossible, selon le site Améliore Ta Santé.

En premier lieu, il y a l’eau qui est un excellent coupe-faim. Quelqu’un qui boit suffisamment d’eau est en mesure de mieux discerner la faim de la soif et d’évacuer les toxines et le sodium de son système.

Avec ses vertus anti-cancérigènes, la plante du thé vert est bonne pour le cœur et la perte de poids.

Favorisez un bol de soupe aux légumes en entrée plutôt qu’un repas entièrement solide. Cette démarche vous permettra de manger moins et brûler des calories plus rapidement.

Finalement, manger l’équivalent de trois petites pommes ou poires durant la journée vous aidera à perdre plus de poids lors d’un régime faible en calories et vous combattrez par le fait même votre envie de sucre.

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Courir quelques minutes par jour allonge la vie

Si vous n’avez pas le courage ou le temps de faire au moins trois heures d’exercice par semaine, tel qu’il est recommandé, faites au moins quelques minutes de course. Les séances n’ont même pas besoin d’être intensives pour être efficaces.

Le Dr Duck-chul Lee, auteur principal de l’étude de l’Université de l’Iowa parue dans le Journal de l’American College of Cardiology, le confirme : « Les gens qui ont couru moins d’une heure par semaine ont obtenu les mêmes avantages face aux risques de mortalité que ceux qui ont couru plus de trois heures par semaine », rapporte The Telegraph.

Les personnes qui courent quelques minutes de façon régulière et même à un rythme lent repoussent de 30 % les risques de mourir d’une crise cardiaque au cours des 15 prochaines années de leur vie. Chez les gens qui n’enfilent pas leurs espadrilles, les risques de mourir d’un AVC ou crise cardiaque au cours de la même période augmentent à 45 %.

Parmi le groupe de coureurs qui parcouraient jusqu’à six miles par semaine, le taux de mortalité dû à un AVC ou une crise cardiaque était réduit de 54 % par rapport à ceux qui ne faisaient pas d’exercice.

Il est également ressorti que courir pendant sept minutes par jour ou 51 minutes par semaine diminuait les risques de mort par AVC ou crise cardiaque de 55 %, et que courir à une vitesse optimale de 7,1 à 7,6 miles par l’heure réduisait les risques de 60 %. De plus, les gens qui persistaient et couraient pendant plus de six ans en moyenne voyaient encore plus d’avantages à la course sur leur santé.

Le Dr Chi Pang Wen, de l’Institut des sciences de la santé de la population à Taiwan, compare quant à lui la marche à la course : « Une course de 5 min est aussi bonne que 15 minutes de marche, et il faudrait marcher 100 minutes pour obtenir les mêmes résultats bénéfiques qu’une course de 25 minutes ».

 

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La vitesse de votre ordinateur influence votre taux de stress

Décider d’acheter un nouvel ordinateur plus performant pourrait réduire votre niveau de stress de façon considérable, selon ce que rapporte Top Santé.

Une étude-sondage en provenance des États-Unis propose quelques conclusions étonnantes sur le sujet, notamment qu’une majorité de propriétaires d’ordinateur perdent en moyenne deux heures par semaine de leur temps à attendre après une machine trop lente et désuète.

Ces attentes répétées et ces cassures dans le rythme du travail ou des loisirs feraient grimper les niveaux de stress en flèche, selon l’étude, à un point tel que les chercheurs recommandent de songer sérieusement à acheter un nouvel ordinateur si votre appareil actuel n’arrive plus à suivre la parade.

« La majorité des utilisateurs perdrait deux heures par semaine à cause d’ordinateurs trop lents. Si vous avez utilisé un ordinateur régulièrement ces dix dernières années, vous avez peut-être perdu plus d’un mois complet à attendre que votre ordinateur démarre, que les programmes s’ouvrent, se ferment, ou à effectuer des tâches qui sont normalement simples et rapides », résume Roddy McLean, qui dirige l’étude en question.

« Gagner 20 minutes par jour pourrait avoir des avantages énormes. Ce temps permettrait de mieux s’alimenter, de dormir plus ou de pratiquer une activité sportive », analyse quant à elle Kathy Kaehler, une entraîneuse et auteure.

45 % des 2025 personnes sondées ont avoué que le fait de rester devant un ordinateur trop lent épuisait plus qu’une séance intense de sport, ce qui n’est pas peu dire.

Bien sûr, le conseil vaut également pour les employeurs qui s’obstinent à ne pas renouveler le matériel électronique de leurs employés, et qui y gagneraient pourtant en productivité et en gestion du stress du personnel.

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Le diabète et son régime

Le site topsanté.com a tenté de répondre à cette question, et il semble que plusieurs mesures alimentaires peuvent être observées afin de réduire les risques de développer cette maladie.

Bien sûr, comme pour la plupart des maladies graves, l’hérédité est un facteur important. Bien que l’on ne puisse changer sa ligne d’ADN, on peut néanmoins être doublement vigilant lorsque vient le temps de s’alimenter. Et les autres ne sont pas en reste, car il est bien sûr conseillé à tout un chacun de bien manger.

D’abord, on parle de « sucres lents ». Il semble que contrairement aux perceptions de la population, le sucre retrouvé dans les aliments ne provoque pas toujours le diabète de la façon qu’on pourrait le croire. Certains sucres, les lents, sont à favoriser. On les retrouve notamment dans les pâtes de blé dur et les légumineuses.

Pour ce qui est des pâtes traditionnelles, du riz et du pain, auxquels on accolait le terme « sucre lent », il semble que cela dépende de la façon dont ils sont apprêtés.

Pour le reste, des tests de dépistage sont conseillés, que vous soyez à risque de façon héréditaire ou non.

Les trois autres principaux éléments de risque concernant le diabète sont l’âge (plus de 45 ans), le surplus de poids et l’hypertension.