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Bien dormir pour mieux manger

Une étude menée par l’Université Temple confirme que, comme chez l’adulte, les enfants manquant de sommeil sont plus enclins à souffrir d’obésité. Voici un survol des résultats publiés sur le site santelog.com.

Ce serait près de 150 calories en moins que les enfants ayant un sommeil adéquat consommeraient chaque jour. À la suite à ses recherches, le Pr. Chantelle Hart du Center for Obesity Research and Education démontre que, bien que la malbouffe et le manque d’exercice soient aussi à blâmer, le manque de sommeil est tout aussi coupable.

Ce sont 37 enfants qui ont participé à l’étude, dont 27 % étaient en surpoids ou obèses. Durant 3 semaines, leur temps de sommeil variait volontairement, afin d’en voir les effets.

Les résultats ont été clairs; au moment où les enfants dormaient plus, leur apport calorique diminuait de 134 calories quotidiennement, en plus de présenter une quantité inférieure de leptine, l’hormone de la faim.

En moyenne, les enfants ont aussi perdu 220 grammes par semaine, améliorant ainsi leur état de santé.

Le tout revient à ce qui est conseillé par les professionnels de la santé; maintenir une routine de sommeil suffisante et adéquate pour les enfants est primordial pour leur bon développement, leur santé et leur comportement.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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L’obésité se joue-t-elle avant la naissance?

Afin de mieux comprendre en quoi le développement fœtal peut influencer celui d’un futur surpoids, des chercheurs américains se sont penchés sur la question hormonale. Leurs résultats sont parus dans Endocrinology.

Il semble qu’un changement dans les taux de ces hormones altère, en quelque sorte, le développement fœtal, soit au niveau du cerveau. Une telle transformation de l’évolution cellulaire aurait un impact sur les fonctions cérébrales qui régissent l’appétit.

Bien que ces observations aient été effectuées sur des modèles animaliers, il est évident, selon les chercheurs, qu’elles peuvent être reportées chez l’humain. Cette découverte représenterait donc, selon eux, l’une des explications primaires de l’obésité.

Parallèlement, des niveaux de leptine et d’insuline déréglés ont été relevés chez des enfants dont la mère était obèse, souffrait de diabète de grossesse ou s’alimentait de façon inadéquate.