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Hollywood PQ

Réal Béland aborde le décès de son père à 12 ans

Réal Béland était de passage récemment à l’émission Sucré Salé dans le cadre d’une entrevue menée par Mélanie Maynard.

La star en profitait pour aborder son enfance.

En effet, l’humoriste (et pro de la rénovation) acceptait notamment de se confier sur le décès de son père à un jeune âge et sur le fait que sa mère ait refait sa vie avec une femme, par la suite.

Un sujet qu’il abordait lorsque l’animatrice voulait savoir s’il se sentait parfois un peu seul, puisqu’il se trouve à être entouré de filles dans sa vie personnelle et professionnelle!

«Plusieurs jours (…) oui, plusieurs fois par jour», avoue-t-il.

«C’est pour ça que tu te pousses dans le bois et que tu vas rénover des affaires?», demande alors Mélanie.

«Bien, je vais te dire une affaire: j’ai été élevé, moi, par deux femmes. Quand mon père est décédé, moi, j’avais 12, ma mère s’est fait une blonde (…) et ces deux femmes-là m’ont élevé. À côté, mon voisin, mon parrain, est décédé six mois après mon père, donc il y avait ma tante qui m’élevait aussi. Dans le fond (…) j’ai eu trois mères», se confie Réal.

Il termine en avouant qu’il se sent très bien entouré de femmes dans sa vie!

«Je ne pense pas que je serais capable d’avoir la même vie si j’étais entouré d’hommes», estime en effet Réal Béland.

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Potins

Andréane Chamberland fait frissonner la France

Andréane Chamberland a décidé de s’expatrier en France et de mettre à profit son expérience en téléréalité pour se lancer dans l’aventure de Les Anges 8.

Voilà que la blonde starlette contribue largement au succès commercial de l’entreprise, elle qui se retrouve sur le devant de la scène de cette émission qui n’est pas sans rappeler les belles années de Loft Story, au Québec.

Dans Les Anges 8, Andréane Chamberland semble tomber progressivement amoureuse d’une autre femme, ce qui fait actuellement frissonner la France.

À la une de certains magazines et recevant une attention particulière, les projecteurs sont maintenant braqués sur Chamberland et sa nouvelle flamme, une certaine Aurélie.

« Je n’ai jamais ressenti ça pour une fille », lance notamment l’ancienne d’Occupation Double et mannequin dans une vidéo de l’émission disponible en ligne.

Il s’agirait de la première union ouvertement lesbienne de l’émission, qui connaît un beau succès en terme de cotes d’écoute actuellement.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Potins

Mike Ward présente ses excuses à Ariane Moffatt

L’événement se déroule sur Twitter. La chanteuse Ariane Moffatt a envoyé ce matin (17 mai) un message à l’humoriste Mike Ward qui a souvent l’habitude de l’écorcher sur scène.

La chanteuse, ouvertement lesbienne, a publié à l’attention du corrosif humoriste : « En ce jour de lutte contre l’homophobie, je souhaite dire à @MikeWardca que les jokes de grosses lesbiennes c’est ÇA qui est OUT en #2016. »

Rappelons que Mike Ward compare souvent sa propre silhouette à celle d’une lesbienne. Dans le numéro censuré par le gala des Olivier dimanche, et diffusé sur YouTube dans les dernières heures, Guy Nantel comparait Mike Ward, tout nu de dos, à Ariane Moffatt.

Mike Ward a donc choisi de présenter ses excuses à la juge de La Voix sur Twitter : « J’me fais souvent dire que j’ai l’air d’une "butch", c’était ma façon d’en rire. J’suis désolé de t’avoir offusqué. »

Dimanche dernier, Mike Ward a mérité deux trophées au gala des Olivier, dont celui de l’humoriste de l’année.

Photo : Facebook

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Potins

Amber Heard croit que sa bisexualité est un obstacle à Hollywood

Quelques années après avoir révélé être bisexuelle, l’actrice Amber Heard parle maintenant de sa nouvelle position à Hollywood.

Quelques jours à peine après la légalisation nationale du mariage gai aux États-Unis, Amber Heard estime que le combat est encore difficile. L’actrice croit cependant qu’il est « mal » de s’autocensurer ou de renier ce que l’on est vraiment dans le but de plaire.

« Je ne connaissais personne à ce moment-là qui était dans ma position et une actrice. Je ne veux pas devoir renier ma sexualité pour avoir le droit d’être moi. Mais, je ne veux pas être définie par ça. Je me bats, mais je ne devrais pas avoir à le faire », analyse Amber Heard.

La compagne de Johnny Depp est actuellement en vedette dans Magic Mike XXL et a profité du contexte du film pour transformer son personnage en femme bisexuelle, rapporte The Independant.

« C’est aussi intéressant parce que c’est un film à propos d’hommes qui recherchent de l’attention sexuelle. Ça donne la position de pouvoir aux femmes. La fonction de mon personnage n’a rien a voir avec sa sexualité », ajoute Heard.

Depuis sa sortie, plusieurs jeunes actrices ont elles aussi affirmé être bisexuelles ou homosexuelles, par exemple Cara Delevingne et Ellen Page.

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Potins

Amber Heard croit que sa bisexualité est un obstacle à Hollywood

Quelques années après avoir révélé être bisexuelle, l’actrice Amber Heard parle maintenant de sa nouvelle position à Hollywood.

Quelques jours à peine après la légalisation nationale du mariage gai aux États-Unis, Amber Heard estime que le combat est encore difficile. L’actrice croit cependant qu’il est « mal » de s’autocensurer ou de renier ce que l’on est vraiment dans le but de plaire.

« Je ne connaissais personne à ce moment-là qui était dans ma position et une actrice. Je ne veux pas devoir renier ma sexualité pour avoir le droit d’être moi. Mais, je ne veux pas être définie par ça. Je me bats, mais je ne devrais pas avoir à le faire », analyse Amber Heard.

La compagne de Johnny Depp est actuellement en vedette dans Magic Mike XXL et a profité du contexte du film pour transformer son personnage en femme bisexuelle, rapporte The Independant.

« C’est aussi intéressant parce que c’est un film à propos d’hommes qui recherchent de l’attention sexuelle. Ça donne la position de pouvoir aux femmes. La fonction de mon personnage n’a rien a voir avec sa sexualité », ajoute Heard.

Depuis sa sortie, plusieurs jeunes actrices ont elles aussi affirmé être bisexuelles ou homosexuelles, par exemple Cara Delevingne et Ellen Page.

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Bébé et cie

Une école secondaire proclame un couple de même sexe reines du bal

Les demoiselles en questions sont Shealynn et Charley, qui se proclament avant tout pansexuelles. Cela signifie qu’elles sont attirées par l’être humain, sans considération à son genre ou son sexe anatomique.

Lorsque leurs amis les ont encouragées à se présenter pour devenir reines du bal pendant la soirée de finissants, elles ont hésité. Pourtant, elles ont franchi le pas et reçu un soutien monumental de la part des élèves et du corps professoral.

Yvonne Stillman, la mère de Shealynn, est très touchée par cette ouverture, a-t-elle raconté lors d’une entrevue avec la presse locale. « Je crois que l’histoire de nos filles envoie un message d’espoir en ce qui a trait à l’égalité des genres ».

Les jeunes filles âgées de 16 ans ont craint que les étudiants soient rébarbatifs, mais au contraire, c’est avec un nombre de voix de loin supérieur aux autres nominations qu’elles ont été élues. Elles s’affairent déjà à trouver la robe pour le grand soir.

Il s’agit d’un pied de nez à l’histoire du couple de lesbiennes en Arizona qui, au contraire, s’était fait refuser la nomination à cause de l’orientation sexuelle.

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La violence conjugale encore plus fréquente chez les partenaires de même sexe

Une nouvelle étude menée par Northwestern Medicine affirme cependant que c’est le cas. Seulement, depuis les années 1970, les recherches se concentraient surtout sur les femmes victimes de violence de la part de leur partenaire de sexe masculin.

Selon Science World, le taux de partenaires gais, lesbiennes ou bisexuels qui subissent un abus physique ou verbal ou des menaces de leur tendre moitié pourrait aller jusqu’à 75 %, mais pour le moment, la vue d’ensemble est encore floue.

On affirme même que le taux pourrait être encore plus élevé. Richard Carroll, responsable de la recherche, explique cette violence du fait que ces couples représentent une « minorité sexuelle », ce qui « exacerbe la violence conjugale due au stress ».

Les spécialistes de la santé, indique Carroll, doivent s’ouvrir à cette possibilité. « Nous devons les éduquer à la présence de ce problème. »

L’étude a été publiée dans la revue Journal of Sex & Marital Therapy.

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Et si ma fille était lesbienne?

Pourquoi un tel souhait? Casey Carey-Brown exprime ses peurs sur le site She Knows. Elle-même en couple avec une femme, elle est l’heureuse maman d’une fillette de 5 ans.

Lorsqu’elle discute d’amour, de mariage et d’enfants avec sa fille, Casey voit bien que le fait d’avoir deux mères change la perception de la petite. Elle veut se marier avec une femme, de sorte que celle-ci ait les enfants à sa place.

« J’aurai deux bébés. Elles seront sœurs », explique la fillette à sa mère. Un monde rempli de femmes uniquement, mais est-ce réellement parce qu’elle sera aussi gaie ou simplement à cause de son environnement familial?

La femme explique qu’être homosexuelle et en couple est accepté, mais comporte de nombreux obstacles, lesquels elle préférerait que sa fille ne vive pas. Voilà ce qui la motive à souhaiter que sa petite soit hétérosexuelle.

Pourtant, de nombreuses études ont démontré qu’il n’existe pas de prédisposition, pour les enfants de parents homosexuels, à le devenir par « apprentissage », tel qu’indiqué sur ordrepsy.qc.ca.

Si les enfants de couples gais sont plus portés à tenter l’expérience homosexuelle ou même simplement y penser, le taux d’homosexualité chez ces enfants n’est pas plus élevé que dans les familles hétérosexuelles.

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Les traitements de fertilité concernent davantage les femmes hétérosexuelles

En fait, les femmes hétérosexuelles caucasiennes sont deux fois plus susceptibles de recourir à l’aide médicale pour tomber enceinte que leurs pairs homosexuelles ou de toute autre nationalité, lance une étude de l’Université de Virginie.

Les experts ont analysé les données d’une enquête effectuée auprès de 19 222 femmes âgées de 21 à 44 ans. Il appert que 13 % des femmes de race blanche hétérosexuelles ont profité de traitements de fertilité (assistance médicale, conseils de médecins spécialisés, chirurgie ou insémination artificielle).

Chez les femmes lesbiennes, ce sont 7 % d’entre elles qui ont eu recours à l’assistance médicale, et il en est de même pour les femmes de minorité visible. Chez les femmes bisexuelles ou homosexuelles de toutes autres nationalités, seulement 1 % d’entre elles ont profité de traitement de fertilité.

L’auteure principale de l’étude, Bernadette V. Blanchfield, suppose que l’une des principales raisons de cet écart constitue des assurances plus complètes chez les femmes caucasiennes.

L’étude parue dans le journal Health Psychology reproche au système d’être injuste et de manquer d’équité envers les femmes, rapporte Science World Report. 

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L’homoparentalité encore mal acceptée au Canada

De tels propos, de la part des répondants, nous projettent dans le passé, et ce, à cause des croyances de modèles féminins et masculins stéréotypés.

Samedi dernier (17 mai), rapporte La Presse, des dizaines de familles homoparentales ont souligné la Journée internationale de la lutte contre l’homophobie au Québec. Ils ont répondu à l’appel de GLBT Québec.

La réalité, malgré le bon vouloir de ces parents, c’est que leurs enfants doivent encore aujourd’hui justifier la « normalité » de leur famille, et donc faire preuve de beaucoup de maturité envers les autres enfants.

Si le débat reprend, malgré le droit d’adoption des parents homosexuels qui remonte à 2002, c’est à cause, entre autres, du questionnement soulevé par l’artiste Joël Legendre, qui a eu recours à une mère porteuse pour son second enfant.

De nombreux internautes ont remis en question cette légitimité, alors que la majorité des couples ayant recours à ce procédé sont hétérosexuels.

Qu’on se le dise, des parents homosexuels ne représentent aucunement un taux plus élevé de prévalence à l’homosexualité chez l’enfant, et ces données ont été appuyées dernièrement par une nouvelle étude québécoise.