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La marijuana utile pour les gens atteints de lésion traumatique cérébrale

Des chercheurs de l’Institut de recherche biomédicale de Los Angeles ont validé la présence ou l’absence de la molécule tétrahydrocannabinol (THC) dans l’urine de 446 patients ayant subi une lésion traumatique cérébrale (LTC).

Le THC est un ingrédient actif de la marijuana. Lors de tests effectués, dans le groupe dont le résultat était positif, le taux de mortalité était moins élevé (2,4 %) que chez ceux dont l’urine n’en contenait pas (11,5 %).

Le Dr David Plurad a expliqué : « Des études précédentes ont démontré que certaines composantes de la marijuana aidaient à protéger le cerveau des animaux après un trauma ».

La présente recherche est l’une des premières à associer le THC comme un facteur améliorant le taux de survie après des dommages cérébraux chez l’humain, indique Science World Report.

Jusqu’à présent, les recherches ont démontré que le THC stimule l’appétit, diminue la pression oculaire, réduit les spasmes musculaires, soulage la douleur ainsi que les symptômes du côlon irritable.

Le détail de l’étude a été publié dans The American Surgeon.

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La lésion traumatique cérébrale liée à un comportement néfaste chez les jeunes

Les adolescentes sont en effet plus à risque d’agir de manière à mettre leur santé en danger si elles ont subi une LTC (lésion traumatique cérébrale), selon Medical News Today.

Une nouvelle étude a analysé 13 comportements à risque tels que les idées suicidaires, fumer de la marijuana et surconsommer de l’alcool. En tout, 9288 adolescents ontariens ont participé au sondage.

« Les garçons comme les filles étaient plus à risque de divers comportements dangereux s’ils avaient un historique de LTC, mais les filles étaient plus nombreuses dans les 13 comportements, alors que les garçons se démarquaient dans 9 d’entre eux. »

Ainsi, selon Dre Gabriela Llie, « le genre est important lorsqu’il s’agit de lésion traumatique cérébrale ».

Dans la revue PLoS ONE, on peut lire que les filles étaient plus portées aux idées suicidaires, à fumer la cigarette, subir de l’intimidation et vivre une plus grande détresse psychologique.

Bien que ce type de lésion soit « invisible », informe Llie, ce n’est pas une excuse pour que les médecins, les intervenants scolaires et les parents ignorent les conséquences possibles.