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Détecter autrement le syndrome du bébé secoué

Ce syndrome a été découvert pour la première fois en 1971 et a dès lors animé la controverse. Selon Parent central, pendant plusieurs années, les investigateurs se basaient sur 3 éléments du cerveau pour déterminer si la cause du décès était associée au syndrome du bébé secoué. Cette méthode a toujours été utilisée lorsqu’il n’y avait pas de signes de violence physique.

La perplexité des résultats, qui ont même remis l’existence de ce syndrome en question, a porté les sphères de la médecine à rechercher d’autres signes plus évidents. Le Dr Evan Matshes, pathologiste canadien, ainsi que d’autres de ses collègues font la lumière sur le cas.

Ainsi, des autopsies ont été pratiquées sur 35 nouveau-nés et enfants en bas âge décédés des suites du syndrome du bébé secoué. Ils ont noté des lésions communes au niveau des nerfs cervicaux affectant les fonctions du diaphragme.

Alors que certains médecins réfutent l’existence même du syndrome, cette découverte, publiée dans le journal Academic Forensic Pathology,allègera les démarches pour déterminer si la cause du décès est réellement reliée et évitera de s’étirer sur plusieurs années.

Certains pathologistes utilisent déjà cette méthode, bien que l’on déplore le délai nécessaire aux résultats, qui dépasse souvent les 3 semaines d’attente.

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Les charcuteries favorisent bel et bien le cancer du côlon

Une nouvelle étude de l’Institut national de recherche agronomique de Toulouse dévoile que certaines charcuteries peuvent augmenter les risques de cancer du côlon en raison de quatre facteurs.
 
Auparavant, on a cru que l’ajout de sel posait problème, mais c’est finalement tout le processus de transformation de la viande qui est pointé du doigt, car il favorise l’augmentation de lésions précancéreuses au niveau du côlon.
 
Les chercheurs ont identifié quatre facteurs de risque, soit la coloration des charcuteries, l’ajout de nitrite, la cuisson et l’oxydation.
 
Ce processus de transformation accroit de manière significative les lésions, favorisant donc l’apparition de la maladie. On croit que la transformation permet à des agents cancérigènes de se développer durant le processus. Une fois ingérés, ces agents peuvent donc accroître le risque de cancer.