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Mise en garde contre un médicament contre la leucémie

Santé Canada a émis une mise en garde contre le médicament Sprycel utilisé pour traiter la leucémie myéloïde chronique et la leucémie lymphoblastique aiguë.
 
Ce traitement est lié à un risque d’hypertension pulmonaire qui peut conduire à un état de choc et même à la mort.
 
Entre 2006 et juin 2011, 60 cas graves ont été rapportés, mais pour l’instant, aucun n’était au Canada.
 
Toutefois, les autorités canadiennes recommandent fortement aux patients qui utilisent le Sprycel de consulter leur médecin dès que possible afin de cesser convenablement la prise de ce médicament, sans que cela cause des problèmes de santé supplémentaires.
 
Si vous avez des essoufflements, de la fatigue, des battements de cœur plus rapide, il vous faut consulter. En cas de doute, il vaut mieux contacter votre professionnel de la santé également.
 
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Nouvel espoir contre la leucémie

Une nouvelle percée médicale sème de grands espoirs dans la lutte contre la leucémie. Selon le New England Journal of Medicine, pour la toute première fois, la thérapie génétique semble efficace pour lutter contre la maladie. 

Trois patients, trois hommes atteints d’une forme avancée de leucémie lymphoïde chronique, ont reçu des lymphocytes T modifiés. Ainsi, leurs cellules ont été transformées en « missiles » qui pouvaient repérer et détruire les cellules cancéreuses présentes et celles qui se formaient.
 
Un an après avoir reçu le traitement, deux des patients n’avaient plus aucune trace du cancer. Quant au troisième participant, il avait donné une réponse partielle à la thérapie.
 
En ce moment, le seul espoir de guérison pour ce type de leucémie est la transplantation de moelle osseuse ou de cellules souches, mais cela ne fonctionne pas toujours.
 
On espère pouvoir utiliser cette méthode pour vaincre d’autres cancers. Reste à savoir également combien de temps durera la rémission de ces patients.
 
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Des gènes pouvant prévenir la leucémie

Science Daily nous apprend qu’une nouvelle recherche offre des résultats concluants quant à la possibilité de prévention de la leucémie chez les enfants. Il s’agit d’une découverte faite par des scientifiques de l’Université Western Ontario.
 
La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est un cancer du sang qui se développe principalement chez les enfants en bas âge. Cette maladie est fréquemment associée à des mutations génétiques ou une anormalité des chromosomes qui surviennent pendant la grossesse, chez l’embryon ou plus tard dans le développement du fœtus.
 
Le responsable de cette étude, Rodney DeKoter, a trouvé deux gènes essentiels à la prévention de la cellule B, la forme la plus commune de la LAL chez les enfants (80 % des cas). Il s’agit des gènes PU.1 et Spi-B, qui agissent à titre de suppresseurs de la tumeur (cellule B).
 
« Vous pouvez comparer les cellules PU.1 et Spi-B à des freins sur une voiture. Si les freins principaux lâchent (PU.1), vous avez toujours le frein d’urgence (Spi-B). Sans ces deux freins, la voiture accélère et perd le contrôle », explique DeKoter.
 
Rodney DeKoter espère que cette recherche s’avèrera une alternative aux traitements toxiques administrés aux enfants, comme la chimiothérapie agressive.
 
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Un gène associé à une leucémie infantile

Une étudiante au doctorat de l’Université du Québec à Montréal, Cyndia Charfi, vient de mettre à jour un gène associé à l’apparition de la leucémie lymphoïde chronique.

Ce type de leucémie atteint le plus fréquemment les enfants. Elle se caractérise par la prolifération anormale de cellules B. Celles-ci produisent des anticorps qui défendent le corps des infections.

Sous la supervision de ses directeurs de thèse, madame Charfi a pu identifier, chez des souris puis dans des cellules humaines, l’activité anormale du gène Fmn2 chez les patients atteints de leucémie lymphoïde, surtout chez les enfants.

Ses résultats sont parus dernièrement dans Blood, une prestigieuse revue médicale.

La découverte de cette chercheuse permettra certainement de poser des diagnostics plus rapides, donc de traiter la leucémie plus rapidement.

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Avancée majeure pour les cancers du sang

Des chercheurs de l’Université de Stanford, en Californie, ont découvert que les patients avec la leucémie qui avaient des cellules souches cancéreuses actives voyaient leur chance de survie chuter.
 
Le Journal of the American Medical Association (JAMA) rapporte qu’on a examiné 1 000 personnes avec une leucémie aiguë myéloblastique, la plus agressive forme de cancer du sang. Elles possédaient ces cellules souches cancéreuses qui rendaient leur cancer presque insensible aux traitements et favorisaient même leur réapparition.
 
« Les implications cliniques de ce concept sont énormes. Si nous ne parvenons pas à concevoir des thérapies ciblant ces cellules capables de se régénérer et résistantes à la chimiothérapie, les malades continueront de subir des rechutes » explique le Dr Ash Alizadeh.
 
De plus, on a constaté que ces cellules souches étaient capables de s’autogénérer et de se diviser, tout comme les cellules souches normales.
 
On espère que cette découverte mènera à l’élaboration de traitements plus efficaces.
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Espoir pour les enfants atteints de leucémie lymphoïde chronique

Une étude publiée dans The Lancet nous apprend que certains enfants leucémiques retrouveraient plus facilement la santé s’ils étaient traités avec la mitoxantrone.

Produit par synthèse, ce médicament est déjà utilisé dans le traitement de certains cancers. 

Par comparaison, la mitoxantrone serait plus efficace que l’idarubicine, pour une proportion de 69 % de plus de survivants contre 45,2 % après 3 ans de traitements.

Il semble donc que tous les enfants atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC) auraient intérêt à recevoir ce nouveau médicament.

Rappelons que ce type de leucémie est une maladie cancéreuse du sang qui se reconnaît par la prolifération de lymphocytes.

L’étude comparative présente a porté sur des patients de 31 centres de l’Angleterre, l’Irlande, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

La mitoxantrone est par ailleurs un médicament moins cher et déjà accessible à tous les enfants atteints de cette leucémie.

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Pouvoir prédire l’issue d’une leucémie

Des chercheurs américains viennent de découvrir qu’une seule mutation génétique influençait l’évolution d’une leucémie myéloïde chronique (LMC). Ce type de leucémie est un cancer des cellules de formation du sang dans la moelle osseuse.
 
Le New England Journal of Medicine mentionne que cette découverte permettrait éventuellement de prédire comment une leucémie va évoluer, si cela sera rapide et fatal par exemple.
 
C’est une altération du gène DNMT3A qui déterminerait ce phénomène. On a constaté que cette mutation est souvent présente pour des patients qui sont décédés rapidement.
 
En moyenne, le taux de survie des personnes avec cette mutation génétique serait d’un an et demi, alors que ce taux est de près de trois ans chez les personnes qui n’ont pas cette altération.
 
Maintenant, les scientifiques vont poursuivre leurs recherches à plus grande échelle afin de confirmer les résultats. S’ils s’avèrent concluants, cela permettrait de développer un test capable d’évaluer l’évolution de la maladie dès le diagnostic et ainsi mieux adapter les traitements en conséquence.
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Le vin rouge contre certains cancers

Le journal Carcinogenesis nous apprend que le vin rouge pourrait prévenir certains types de cancers comme la leucémie, le cancer du sein ou des poumons.
 
Des chercheurs français ont en effet découvert les propriétés anti-inflammatoires et anticancéreuses du resvératrol, une substance présente dans le vin rouge. Toutefois, cet alcool ne peut traiter les cancers ni l’inflammation, rappellent les experts.
 
Le resvératrol est un polyphénol qui agit sur deux molécules (micro ARN) à l’origine de l’inflammation, qui favorisent aussi la naissance de cellules cancéreuses.
 
C’est la trop grande présence de ces molécules dans le sang qui est associée au développement de différents cancers.
 
« Grâce à cela, notre étude pourrait conduire à démontrer l’intérêt de l’emploi du resvératrol comme agent anti-inflammatoire. Si, par ailleurs, l’effet du resvératrol sur le TGF bêta se confirme, on pourrait imaginer le tester en clinique comme adjuvant de traitement anticancéreux, mais la route est encore longue », indique l’auteur principal des travaux, Norbert Latruffe.
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Nouvel espoir pour les cancers sanguins

17 personnes en rechute d’une leucémie ou d’un lymphome et n’ayant aucune option médicale ont participé à une étude française pour trouver un moyen de traiter les cancers sanguins.
 
Grâce à une nouvelle thérapie cellulaire, le tiers des personnes a vu sa rémission être prolongée de deux ans en moyenne.
 
Cette nouvelle technique utilise le système immunitaire pour s’attaquer au cancer. On injecte aux patients des lymphocytes (globules blancs) manipulés afin de les rendre anticancéreux.
 
Généralement, la leucémie et le lymphome peuvent être traités par une greffe de moelle osseuse. On remplace la moelle du patient par une moelle d’un donneur sain, mais cette technique ne donne pas toujours les résultats escomptés.
 
La nouvelle thérapie pourrait s’avérer être une option intéressante, selon le Science Translational Medicine. Naturellement, des tests devront être effectués sur un échantillon plus large de patients afin de confirmer les résultats.
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L’arsenic pour traiter la leucémie

Par le passé, des chercheurs chinois s’étaient déjà penchés sur l’efficacité du trioxyde d’arsenic dans le traitement de la leucémie, mais le mécanisme était jusqu’ici incompris.
Grâce à des chercheurs européens, nous sommes maintenant en mesure de savoir que l’arsenic s’attaque à la protéine qui est à l’origine des cellules souches cancéreuses de la maladie.
 
Selon la revue Cancer Cell, l’arsenic favorise la dégradation de cette protéine et accélère la destruction des cellules malades. « L’action de l’arsenic dans la leucémie promyélocytaire représente aujourd’hui l’un des meilleurs exemples de compréhension des bases moléculaires d’un traitement anticancéreux qui guérit définitivement les patients. Il constitue un modèle de thérapie ciblée pour d’autres cancers », affirme l’auteur de l’étude, Hugues de Thé.
 
Rappelons que la leucémie est due à une prolifération de cellules malignes dans la moelle osseuse et le sang. Les personnes atteintes de leucémie aiguë promyélocytaire ont une anomalie qui entraîne finalement la prolifération des cellules cancéreuses.