La cour de Genève a tranché : Shakira ne doit rien à Antonio de la Rua. On juge qu’il n’y a pas assez d’éléments prouvant le droit à l’homme de piger dans le compte de son ex.
De la Rua dit ne pas avoir été que l’amoureux de la star pendant 11 ans, mais aussi son partenaire d’affaires. Il se dit responsable du succès de la pièce Hips Don’t Lie et prend le mérite pour l’entente de 300 millions pour la tournée de Shakira avec Live Nation.
Alors que de la Rua poursuit la chanteuse de 36 ans pour 250 millions de dollars, somme à laquelle il dit avoir droit en raison d’une entente professionnelle, un courriel est venu le trahir.
Dans ledit courriel, écrit en 2011, on peut lire : « Je ne suis pas partenaire dans aucune de tes compagnies. Tu es la seule propriétaire de chacune d’entre elles ».
Il semblerait que le fils de l’ancien président argentin trouve que l’entente verbale prise entre les deux parties en 2004 devrait primer. À l’époque, Shakira lui aurait promis une partie de sa fortune.
En plus, selon les documents de la cour, un contrat de relation a été signé entre eux en 2006, déclarant que chacun d’eux renonce à tout droit sur les revenus futurs de l’autre.